Matour

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Matour
Matour
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Saint Cyr Mère Boitier entre Charolais et Mâconnais
Maire
Mandat
Thierry Igonnet
2020-2026
Code postal 71520
Code commune 71289
Démographie
Population
municipale
1 158 hab. (2021 en augmentation de 8,43 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 28″ nord, 4° 29′ 00″ est
Altitude Min. 328 m
Max. 769 m
Superficie 27,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Chapelle-de-Guinchay
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Matour
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Matour
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Saône-et-Loire
Matour
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Matour
Liens
Site web matour.fr

Matour (Matô en patois charolais) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Elle est située dans une zone de revitalisation rurale[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Topographie[modifier | modifier le code]

Matour est une commune de moyenne et basse altitude. Le point culminant de la commune se situe au nord-ouest de celle-ci dans le massif du mont Saint-Cyr et atteint 769 mètres d'altitude[2], son point le plus bas étant de 328 m[3]. Très accidentée, la commune est dominée par de multiples monts arrondis et coiffés de forêts tels[4] que :
- Le point culminant de la commune, 769 m[5] ;
- La Grande Roche, en forêt de Botte, 669 m ;
- les Roches de Chau, dominant Auveau et Étiveau, 665 m ;
- les Roches de la Naude, au nord de la commune, 614 m ;
- le Signal d'Argaud, au sud-est, 599 m ;
- le Montillet, 587 m ;
- les Roches de Trécourt, 511 m.
L'essentiel des cours d'eau, comme le ruisseau de la Baize, du Petit Moulin et de Trécourt, alimentent vers l'est la vallée de la Grosne, relevant du réseau hydrographique du fleuve Rhône. Toutefois à l'ouest, le col de la Croix d'Auterre (557 m) constitue la ligne de séparation des eaux entre la Méditerranée et l'océan Atlantique. Une partie de son territoire est en zone Natura 2000.

Géologie[modifier | modifier le code]

L'essentiel de la commune de Matour repose sur un socle granitique ancien datant de l'ère Paléozoïque (Tournaisien, Viséen) semblable à la géologie d'une partie du massif du Morvan et de celui du Forez. La géologie locale se rattache d'ailleurs étroitement à celle du Massif central dont elle constitue le rebord nord-oriental. À l'est de la commune, on retrouve des dépôts sédimentaires allochtones au niveau de la forêt de Botte et de certains secteurs des monts Saint Cyr. Au sud, la partie sommitale des collines sont constituées de roches magmatiques tholéitiques peralcalines liées à un volcanisme plus ancien (Dévonien) et soulevées par le plissement de la partie est du Massif central lors de la formation des Alpes[6].

Habitat[modifier | modifier le code]

Matour, la place.
Répartition de la population

La commune de Matour a une occupation humaine semblable à celle de toute cette partie de la Bourgogne. Il s'agit d'un habitat dispersé et même très dispersé avec un bourg qui concentre l'essentiel des activités malgré le déclin de la commune. L'essentiel des hameaux sont des groupements de fermes.

La commune dispose aussi d'un habitat plus rurbain avec la construction de lotissements et d'ensembles pavillonnaires comme à Trécourt ou dans la partie sud du bourg (cité HLM).

Par ailleurs, la commune a lancé une opération de démolition, afin de raser certains bâtiments du centre bourg, très vétustes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 962 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 029,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,4 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Statistiques 1991-2020 et records MATOUR_SAPC (71) - alt : 415m, lat : 46°18'14"N, lon : 4°28'49"E
Records établis sur la période du 01-02-1989 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,5 −0,5 1,9 4,3 8 11,5 13,4 13,1 9,6 6,9 2,7 0,2 5,9
Température moyenne (°C) 3 3,7 7 9,9 13,9 17,6 19,7 19,5 15,4 11,6 6,7 3,7 11
Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,9 12,1 15,6 19,7 23,6 26 26 21,2 16,3 10,6 7,1 16,1
Record de froid (°C)
date du record
−13,5
12.01.03
−16,4
05.02.12
−15,2
01.03.05
−8
08.04.03
−2,2
15.05.1995
1,8
04.06.01
4,7
03.07.11
3,2
31.08.1995
0,1
30.09.1995
−6,1
29.10.1997
−10,7
22.11.1998
−14,9
20.12.09
−16,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,9
26.01.16
21,8
24.02.1990
25,7
24.03.01
27,5
25.04.07
32,8
20.05.22
37,1
27.06.19
39
24.07.19
39
24.08.23
34,1
10.09.23
30,4
09.10.23
23,9
07.11.15
20,2
16.12.1989
39
2023
Précipitations (mm) 82,9 71,3 74,4 79,8 100,8 79,6 82,9 76,4 83,1 96,5 109,3 92,8 1 029,8
Source : « Fiche 71289001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,5
−0,5
82,9
 
 
 
7,9
−0,5
71,3
 
 
 
12,1
1,9
74,4
 
 
 
15,6
4,3
79,8
 
 
 
19,7
8
100,8
 
 
 
23,6
11,5
79,6
 
 
 
26
13,4
82,9
 
 
 
26
13,1
76,4
 
 
 
21,2
9,6
83,1
 
 
 
16,3
6,9
96,5
 
 
 
10,6
2,7
109,3
 
 
 
7,1
0,2
92,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Matour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,9 %), forêts (37,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (2,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Industrie[modifier | modifier le code]

L'entrée du bourg de Matour se fait par la zone industrielle des Berlières. C'est le plus gros foyer d'emplois de la commune. Elle accueille une dizaine d'entreprises dont une fonderie.

En 2015, c'est sur le site de la fonderie qu'à la suite d'un accident industriel, un important rejet de dioxyde de soufre, gaz toxique et incolore, intoxique une dizaine de personnes, nécessitant la venue sur place de sapeurs-pompiers de 10 centres du département[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Au cours du XXe siècle, la gendarmerie et la perception quittent successivement Matour pour s'installer dans la commune de Dompierre-les-Ormes.

En 1992 la commune ainsi que certaines communes voisines forment la communauté de communes de Matour et sa région. Le siège est alors fixé sur la commune de Trambly.

En 2008, un important trafic de drogue est démantelé sur la commune, aboutissant à la saisie record de 23,5 kg d'héroïne, deuxième plus belle prise en France pour l'héroïne, ainsi que de nombreuses armes, montrant l'explosion des drogues dures en milieu rural, à Matour[20],[21].

La commune perd son statut de chef-lieu de canton en 2015 à la suite du redécoupage cantonal de la Saône-et-Loire, et intègre le nouveau canton de la Chapelle-de-Guinchay

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Matour Blason
D'azur à trois fasces d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Dates Nom Parti Notes
1995-2001 Alain Guérin
2001-2005 Armand Charnay PS Conseiller général depuis 2005
2005-2020 Thierry Igonnet DVG 1er vice-président de la communauté de communes de Matour et sa région

Enseignement[modifier | modifier le code]

On trouve sur la commune, une école maternelle, une école primaire et un collège.

Santé[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 158 habitants[Note 3], en augmentation de 8,43 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9222 0622 0322 1532 2462 3302 3312 3622 436
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5022 3362 2702 2582 2222 1672 2012 0201 884
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7441 6401 6311 5741 5161 4151 3021 2581 181
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1011 2061 2071 2311 0039981 0651 0741 043
2017 2021 - - - - - - -
1 1191 158-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture[modifier | modifier le code]

La commune compte un cinéma à salle unique, le CinéMatour[26], animé par l'équipe de cinéphiles bénévoles du C.A.R.T., le Centre d'animation rurale et touristique de Matour[27]. La salle est rénovée et inaugurée le en présence du réalisateur Patrice Leconte dont elle prend le nom[28].

Les 8 et , le cinéma organise le Printemps des Lumière, un événement en hommage à deux personnalités du cinéma, disparues respectivement en 2015 et 2016 : l'historien du cinéma Raymond Chirat et la critique et historienne Alice Chardère, qui ont notamment œuvré pour la création de l'Institut Lumière à Lyon[29].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Maison des Patrimoines en Bourgogne du Sud : écomusée et parc de sculptures contemporaines, inaugurée en . L'écomusée est installé dans un manoir dont les parties anciennes datent du XVe siècle (fours banaux). Les premiers possesseurs du domaine recensés sont les Foudras[30] qui l’utilisent comme important manoir dédié a la chasse à courre étant donné les très vastes territoires possédés attenants, mais aussi comme résidence seigneuriale. A la fin du XVIIIe siècle les comtes de Foudras, qui un siècle plus tôt reçurent par deux fois les honneurs de la Cour par Louis XIV en personne (une des trois plus anciennes familles de Bourgogne avec les Damas et d'Albon) sont alliés par leur dernière descendante de la branche aînée au Prince-Marquis Esprit de Castellane (également l'une des plus nobles et anciennes familles de Provence) à qui ils transmettent leurs biens. Il construit les pavillons symétriques à haute toiture. Les successeurs, la famille de Lacharme, ancienne et fortunée famille de robe sont les occupants au XIXe siècle. Ils continuent d'améliorer l'équipage de chasse à courre de Foudras réputé dans l'Europe entière pendant que les prairies du clos du manoir servent de repos aux yearlings de l'écurie de pur sang « à la casque cerise » célèbre sur les hippodromes (plusieurs chevaux remportèrent des prix et coupes internationaux). Le domaine, ses terres agricoles, fermes et les centaines d'hectares de forêts se déployant de Matour jusqu'au Mont Saint-Rigaud dans le Rhône échoient au début du XXe siècle à leur cousin en la personne de Me Louis Marie Victor Giraud, avoué, propriétaire, issu d'une ancienne famille de soyeux lyonnais, demeurant à l'époque en son hôtel particulier sis 29, cours des Chartreux à Lyon (actuellement 29, cours du Général-Giraud 69001), puis la famille Giraud directement descendante qui l'occupent jusqu'à la 5e génération au 1er janvier 2000. C'est aux XIXe et XXe siècles que se façonne l’aspect définitif du manoir et de son parc de près de 10 hectares totalement clos de murs.
  • La maison des patrimoines dispose à ce jour d'un peu plus de 800 m2 d'exposition décrivant trois espaces (histoire, tradition populaire et environnement).
  • Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste[31] : implantée sur la place principale du bourg elle a été construite entre 1863 et 1868. Sous l'ancien régime elle appartenait au diocèse d'Autun et à l'archiprêtré de Bois-Sainte-Marie. La construction de l'église actuelle fut réalisé sous l'autorité d'André Berthier, architecte à Mâcon. Le clocher de l'église fut foudroyé le . L'église se compose d'une nef de cinq travées, flanquée de collatéraux. Le chœur a un déambulatoire, sans chapelles rayonnantes.
Maison des Patrimoines en Bourgogne du Sud
Maison des Patrimoines en Bourgogne du Sud.

Tourisme[modifier | modifier le code]

L'une des antennes de l'Office de Tourisme du Haut Clunisois est installé dans le bourg du village sur la place de l'église.

Matour est le deuxième hébergeur touristique de la communauté de communes, elle dispose donc d'équipements d'accueil : chambres d'hôtes, gîtes de groupe, et terrain de camping.

Une piscine a été ouverte à la fin des années 1960 et, au cours de ses phases de modernisation, a été équipée du premier chauffage solaire de France : il s'agissait d'un projet national visant à équiper vingt-cinq piscines municipales extérieures d'un tel chauffage. Ce projet a été mené en 1979-1980 par le COMES (Commissariat à l’énergie solaire, devenu bien plus tard l'ADEME après fusions diverses). Il a été financé par la Commission Européenne (DG17). D'autres communes ont bénéficié du projet, comme Sézanne (Marne) ou Vauvert (Gard). Techniquement, il s'agissait de chauffage basse température par recirculation de l'eau dans un tapis souple de tubes en EPDM (source : archives COMES).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Caroline Otero (dite La Belle Otero), courtisane célèbre du début du XXe siècle, vécut à Matour entre 1939 et 1948 (Me Louis Marie Victor Giraud l'avait connue à la cour de Nicolas II tsar de Russie au début du XXe siècle et lui avait proposé les services de sa dame de compagnie qui était originaire du village).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raymond Barault, Matour, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 102 (), pp. 18–22.
  • Le patois matourin : parler d'autrefois (Maison des patrimoines en Bourgogne-du-sud).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Arrêté du 9 avril 2009 constatant le classement de communes en zone de revitalisation rurale
  2. Carte topographique IGN Top 25 2928 O
  3. Carte topographique IGN Top 25 2928 ET - Lieu-dit les Charmes
  4. Carte topographique IGN Top 25 2928 ET
  5. Non nommé sur les cartes topographiques IGN déjà citées, il est le pendant du véritable Mont Saint-Cyr, situé en commune de Montmelard, et atteignant 771 m.
  6. http://onegeology-europe.brgm.fr
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Matour_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Matour_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. [1]
  20. Le Figaro
  21. [2]
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « CinéMatour, le grand cinéma à votre porte », sur matour.scmb71.com, (consulté le ).
  27. « CinéMatour > Nous contacter », sur cine-matour.odavia.com, (consulté le ).
  28. « CinéMatour > Inauguration de la Salle Patrice Leconte à Matour », sur sortiramacon.com, (consulté le ).
  29. « Le cinéma de Matour crée le Printemps des Lumière », sur lejsl.com, (consulté le ).
  30. Panneaux d'information présents sur le domaine.
  31. Archives départementales de Saône-et-Loire, Canton de Matour, Conseil général de Saône-et-Loire, , 171 p., p. 94-97.

.