Briouze

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Briouze
Briouze
La mairie.
Blason de Briouze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Flers Agglo
Maire
Mandat
Jacques Fortis
2020-2026
Code postal 61220
Code commune 61063
Démographie
Gentilé Briouzains
Population
municipale
1 513 hab. (2021 en diminution de 1,88 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 56″ nord, 0° 22′ 01″ ouest
Altitude Min. 197 m
Max. 254 m
Superficie 17,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Athis-Val de Rouvre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Briouze
Géolocalisation sur la carte : France
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Briouze
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Briouze
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Briouze

Briouze est une commune française située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 513 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Bocage normand et est maintenant considérée comme la capitale du pays d'Houlme[réf. souhaitée]. Le site du marais du Grand Hazé est classé Natura 2000.

Le marais du Grand Hazé vu depuis le point d'observation ornithologique.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 866 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1974 à 2012 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records BRIOUZE (61) - alt : 215 m 48° 41′ 48″ N, 0° 21′ 36″ O
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-12-2012
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,3 3,1 4,3 7,8 10,4 12,3 12 9,5 7,6 4,2 1,9 6,4
Température moyenne (°C) 4,2 4,6 7,1 9,2 12,9 15,9 18 17,8 14,9 11,6 7,3 4,5 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,8 7,9 11,2 14,1 18 21,3 23,6 23,6 20,3 15,5 10,4 7,2 15
Record de froid (°C)
date du record
−23,5
08.01.1985
−14,5
10.02.1986
−9,5
03.03.1986
−5,8
11.04.03
−3,5
05.05.1979
−0,2
01.06.06
3,5
01.07.11
1,2
28.08.1974
−0,9
25.09.03
−6
30.10.1997
−8,5
30.11.1989
−12
29.12.05
−23,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
14,8
27.01.03
18,8
14.02.1998
23
19.03.05
28,2
30.04.05
30,8
27.05.05
35,8
25.06.1976
36
01.07.1976
39
10.08.03
32,8
04.09.05
29,2
02.10.11
19,5
02.11.1982
15,5
07.12.00
39
2003
Précipitations (mm) 101,1 72,6 74,5 60,5 72,3 53,4 60,3 48,1 70,5 94,6 91,9 105,9 905,7
Source : « Fiche 61063001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Briouze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,6 %), terres arables (28,8 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones humides intérieures (3,2 %), forêts (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Braiosa, Braosia, Brausia aux XIe et XIIe siècles[15],[16],[17], ou encore Breouze vers 1300[18].

Il s'agit d’une formation toponymique médiévale, Briouze représentant vraisemblablement le terme dialectal braioux (comprendre braious) > brioux (brious) « boueux » au féminin, correspondant à l'ancien français broieux de même sens. Braious est issu du bas latin bracosus « boueux »[19],[20]. Le radical Brai- procède du gaulois *bracu, qui a donné l'ancien français bray, brai « boue » > « terrain humide »[21],[17] cf. Bray (Eure) et pays de Bray normand.

Remarque : le suffixe -osus / -osa a régulièrement évolué en -ous (-oux cf. anglais -ous) / -ouse dans la partie ouest de la France, alors qu'en français standard -eux / -euse, rencontré plus au nord, s'est imposé. cf. la Boulouze (Manche, Boelosa 1144) « lieu planté de bouleaux » (ancien français boul « bouleau »[22].

Le gentilé est Briouzains[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le baron Renaud de Briouze est mentionné dans une charte de l'abbaye de Saint-Julien de Tours[24] en 1083.

En 1080, Guillaume de Briouze, père de Philippe de Briouze, fait promesse du don à l’abbaye Saint-Florent de Saumur ; des églises, dîmes et loyers des églises de St Pierre de Sela (Sele en Angleterre) et St Nicolas de Brenla (Brembre en Angleterre). Ces dons complètent leurs biens du prieuré de Saint-Gervais et Saint-Protais dont dépendait déjà la chapelle du château de Briouze[25]. Une chapelle du XIe siècle, vestige de l'ancienne église du prieuré subsiste toujours.

En 1096, Philippe de Briouze accompagne en croisade Robert Courteheuse, duc de Normandie[15]. De retour de croisade, en présence de sa femme Ainor et de son fils Guillaume, il confirme à l'abbaye de Saint-Florent les dons de son père[26].

Vers 1150, Guillaume de Briouze donne aux moines le droit d'élire et d'installer le prêtre de l'église de Sainte-Marie d'Écouché[27].

En 1202, lors de la guerre entre le roi de France et le roi d'Angleterre, Guillaume de Briouze fait prisonnier Arthur, duc de Bretagne[28].

En 1205, à l'issue de la conquête de la Normandie par le roi Philippe-Auguste et son rattachement au royaume de France, Briouze devient une baronnie royale. Le baron de Briouze opposé à Philippe-Auguste, abandonne sa baronnie et part rejoindre Jean sans Terre en Angleterre, où il possède des biens plus conséquents[29]. Le roi de France devient alors le seigneur Briouze. En 1222 puis 1231, sous Henri III d'Angleterre, un certain Reginald, puis Guillaume de Briouze luttent contre les Gallois autour de Montgomery[30].

En 1307, le roi Philippe le Bel donne la baronnie de Briouze et la terre de Bellou, à son maréchal Foucault du Merle/Mesle (ou Jehan de Merle) descendant de Fouques de Merle[31]. Le baron de Briouze est mentionné comme usager des bois royaux pour réparation de sa motte castrale (il y en aurait eu deux) [32].

En 1362, les grandes compagnies sont chassées par Duguesclin à la suite de leur défaite de Briouze[33].

En 1401, pendant la guerre de Cent Ans, Jean du Merle rend aveu au roi d’Angleterre. En 1433 le roi d'Angleterre possède les seigneuries de Briouze et de Bellou[34].

En 1540-1581, le chevalier Pierre de Harcourt est baron de Briouze, Rannes et Asnebec[35].

En 1563, François d'Orglandes est baron de Briouze[36]. On trouve ensuite Antoine d'Orglandes, comme baron de Briouze et seigneur de Saint-Martin-le-Hébert, qui épousa le , Marthe du Saussay, fille de Léobin du Saussay, seigneur de Barneville et de Guillemette Le Sens[37].

Un Jacques d'Orglandes, époux de Louise-Isabelle de Garaby ( 1656), est chevalier et baron de Briouze (cf. plaque funéraire de Louise-Isabelle de Garaby, dans l'église paroissiale Saint-Georges d'Étienville inscrite au titre objet aux monuments historiques[38].

Il existe aussi sur le territoire de la commune un château du début du XVIIe siècle détruit pendant la période révolutionnaire dont il reste un bâtiment situé route de Bellou-en-Houlme.

Fin des années 1950, un incendie a lieu dans les tourbières du marais de Briouze.

La légende du marais de Briouze[modifier | modifier le code]

La légende[39] raconte qu'un soir de Noël, de pauvres hères tentèrent de trouver refuge dans la commune auprès de moines. Ces derniers ne faisant pas preuve de charité chrétienne, une malédiction fut jetée sur cette petite commune. En guise de punition divine, un orage éclata, et il plut tant et si bien que le monastère fut dit-on enfoui dans le marais. Les anciens racontent que les nuits d'orage on entend encore dans ces lieux les cloches de ce monastère perdu…

La légende a sans doute comme fond de vérité un accident géologique du genre glissement de terrain.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Briouze

Les armes de la commune de Briouze se blasonnent ainsi :
D'azur à la foi d'or surmontée d'un oiseau d'argent sur des ondes alésées de sable d'où sort une touffe de roseaux aussi d'argent, à la bordure du même chargée de six losanges de gueules ordonnées 3, 2 et 1 et de huit mouchetures d'hermine de sable ordonnées 2, 2, 2 et 2[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1989 Jenny Corbeau UDF  
1989 mars 2001 André Villain SE  
mars 2001 [41] mai 2020 Jean-Pierre Salles[42] DVD Conseiller général
mai 2020[43] En cours Jacques Fortis SE Artisan chef d’entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[43].

Établissements scolaires[modifier | modifier le code]

  • Collège du Houlme (public).
  • Collège Notre-Dame (privé). Ce collège a fermé ses portes à l'été 2022[44].
  • Primaire Saint-Louis (privé).
  • Primaire de la Gare (public) devenue primaire publique du Grand-Hazé.
  • Maternelle du Val-du-Breuil (public).
  • Maternelle Notre-Dame (privé).

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

En 2021, la commune comptait 1 513 habitants[Note 6], en diminution de 1,88 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Briouze a compté jusqu'à 1 875 habitants en 1861.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
1 1589401 3911 3751 6021 5681 7701 8691 764
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 8751 8481 6771 6911 6841 6891 6691 6441 648
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 5911 6241 5361 5051 5911 5241 5181 5211 518
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 6851 7031 6901 6581 6201 5991 6001 5991 541
2019 2021 - - - - - - -
1 5171 513-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Saint-Gervais, romane, du XIe siècle : vestiges d'une ancienne église priorale dépendant de l'abbaye Saint-Florent de Saumur[49] raccourcie au XIXe siècle, à la suite d'un effondrement d'une partie de la nef. Ce qui subsiste n'est que l'absidiole, avec remise en place de la façade. Bâtie en granit, elle a des éléments de calcaire sur le chevet et des éléments sculptés en façade, presque totalement érodés. L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 24 mars 1975[50].
  • Église paroissiale de 1870.
  • Église de l'institut Notre-Dame, du XIXe siècle. Elle abrite une Vierge à l'Enfant classée au titre objet[51].
  • La gare de Briouze.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Olympique Club Briouzain fondé en 1956 est un club multi-sport constitué de neuf disciplines sportives (gymnastique, tennis de table, badminton, judo, pétanque, basket, football, cyclo-VTT et tennis).

Il y fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[52].

Le club de tennis fait évoluer une équipe féminine au plus haut niveau départemental ainsi qu'une équipe masculine, au niveau pré-régional.

Les clubs briouzains se distinguent par leur féminisation plus importante que la moyenne nationale ainsi que par le dynamisme de ceux-ci, qui permettent à la commune de proposer une grande variété d'activités sportives.

Manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 61063001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Appert et Bernier 1891, p. 328.
  16. Société des Antiquaires de Normandie 1879, p. 705.
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 117.
  18. Delesques, Lestringant et La Verderie de la Ferté Macé 1900, p. 66.
  19. Orne, encyclopédie Bonneton, p.211
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 80.
  21. Société historique et archéologique de l'Orne - 1903 - Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, Volume 22, Page 505.
  22. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 84 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425)
  23. « Ouest-france.fr - Mairie de Briouze » (consulté le ).
  24. Appert et Bernier 1891, p. 282.
  25. Société des Antiquaires de Normandie 1879, p. 84.
  26. Société des Antiquaires de Normandie 1879, p. 688.
  27. Société des Antiquaires de Normandie 1879, p. 694.
  28. Société Historique 1888, p. 546.
  29. Daniel Power 2020, p. 37-62.
  30. Matthaei Paris 1606, p. 312,368.
  31. Gilles-Andre de la Roque 1622, p. 1781.
  32. Delesques et Lestringant 1900, p. 65-LA VERDERIE DE LA FERTÉ-MACÉ.
  33. Société Historique de l'Orne 1883, p. 322.
  34. Gilles-Andre de la Roque 1622, p. 1513.
  35. Gilles-Andre de la Roque 1622, p. 1517-1518.
  36. Gilles-Andre de la Roque 1622, p. 1525.
  37. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN 2-9505339-1-4), p. 35.
  38. « Plaque funéraire de Louise-Isabelle de Garaby, et son cadre », notice no PM50000398.
  39. Orne, encyclopédie Bonneton, p.188
  40. « GASO, la banque du blason - »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  41. « Jean-Pierre Salles se présente pour un 3e mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  42. Réélection 2014 : « Briouze (61220) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  43. a et b « Municipales à Briouze. Jacques Fortis succède à Jean-Pierre Salles », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  44. Maxime Cartier, L'Orne combattante « A Briouze, le collège Notre-Dame va fermer ».
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. Orne, encyclopédie Bonneton, p.19
  50. « Chapelle Saint-Gervais », notice no PA00110755, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM61000236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – OC Briouze » (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (la) Matthaei Paris, Monachi Albanensis, Angli, historia major, , 1500 p. (présentation en ligne, lire en ligne Accès libre [PDF]), sur Google Livres. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • M.P. Marchegay, Chartes Normandes de l'Abbaye de Saint Florent de Saumur, , 123 p. (lire en ligne Accès libre [PDF]), sur Google Livres. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • J. Appert et P. Bernier, Revue catholique d'histoire, d'archéologie et littérature de Normandie, vol. 1, (présentation en ligne, lire en ligne Accès libre [PDF]), « Essai sur le prieuré de la baronnie de la Ferté Macé, d’après les chartes fertoises de l’abbaye de Saint-Julien de Tours », sur Google Livres. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Daniel Power, Anne Curry et Véronique Gazeau, La guerre en Normandie (XIe – XVe siècle): La chute de la Normandie ducale (1202-1204) un réexamen, Caen, Presses universitaires de Caen, , 366 p. (ISBN 9782381850092, présentation en ligne, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Société historique et archéologique de l'Orne, Bulletin de la société historique et archéologique de l'Orne Tome VII, Alençon, Renaut De Broise, , 616 p. (présentation en ligne, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Association normande, Annuaire des cinq départements de la Normandie, Caen/Rouen, Henri Delesques/Lestringant, , 522 p. (présentation en ligne, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
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  • Messire Gilles-André de la Roque, Histoire généalogique de la maison de Harcourt Tome II, rue saint jacques aux cigognes, Sébastien Cramoisy, , 1091 p. (présentation en ligne, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • G.Le Vavasseur, Comte Gérard de Contades et Abbé Gaulier, Bibliothèque ornaise - Canton de Briouze - Essai de bibliographie cantonale, Paris, H.Champion, , 102 p. (présentation en ligne)
  • Alfred Lemaître, Briouze à travers les âges : étude spéciale de la condition des cultivateurs et paysans briouzains sous le régime féodal, Paris, A.Pedone, , 428 p. (présentation en ligne, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Orne, [Collectif] ; Encyclopédie régionale Bonneton, 1995.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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