Colombier-Fontaine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Colombier-Fontaine
Colombier-Fontaine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Matthieu Bloch
2020-2026
Code postal 25260
Code commune 25159
Démographie
Gentilé Les Cros [1]
Population
municipale
1 195 hab. (2021 en diminution de 11,09 % par rapport à 2015)
Densité 156 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 12″ nord, 6° 41′ 25″ est
Altitude Min. 298 m
Max. 474 m
Superficie 7,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bavans
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Colombier-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Colombier-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Voir sur la carte topographique du Doubs
Colombier-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Colombier-Fontaine
Liens
Site web www.colombierfontaine.fr

Colombier-Fontaine est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Cros.

Géographie[modifier | modifier le code]

Colombier-Fontaine se trouve à 14 km de Montbéliard, 36 km de Belfort et 70 km de Besançon.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 348 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Medière », sur la commune de Médière à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 105,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Colombier-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Colombier-Fontaine, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 2 032 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Premières traces d'habitation[modifier | modifier le code]

De nombreuses trouvailles archéologiques ont été faites sur le territoire communal depuis le XIXe siècle ; celles-ci montrent que ce lieu a été colonisé par l'homme depuis plus de 2000 ans.

  • Au pied des Roches, au sud du village, on découvrit en 1876 divers objets de l'époque néolithique (silex taillés, pointe de flèche) avec un site probablement d'abri sous roche.
  • La période romaine a donné des vestiges plus abondants aux Neufs Prés le long de la voie romaine (Vesontio – Epomanduodurum : Besancon-Mandeure). Cette voie est portée sur les cartes dès le XVIIIe siècle (Cassini) et sur les cartes d’état-major. Les premiers témoignages furent trouvés lors du creusement du canal du Rhône au Rhin en 1825, près du village (restes de construction, tuileaux, lacrymatoire en verre contenant un anneau d’or, objets en bronze, fer et médailles). Vers 1885, sur le chemin d'Etouvans, à 1 km, des fouilles ont révélé de nouvelles constructions (avec chaudière en terre, une monnaie de l’empereur Antonin et une petite amphore - musée de Montbéliard).
  • En 1870, près du moulin Rayot (usine de filature), on découvrit quelques sépultures barbares isolées, éléments d’un cimetière mérovingien - burgonde probablement plus vaste.

L'origine du nom[modifier | modifier le code]

Colombier-Fontaine est d'abord nommé Colombier (Colombir et Colombeur dans les chartes du XIIe siècle), Colombier-Supérieur puis Colombier-Savoureux (qui signifie « habitations sur l'eau ») et enfin Colombier-Fontaine à partir du XVIIe siècle tout ceci pour le différencier de Colombier-Châtelot[18]. Il semble que les premiers habitants de Colombier-Fontaine, ainsi que ceux de Villars-sous-Écot soient originaire des tribus bourguignonnes qui s'étaient installées dans la plaine de Mathay[18].

Première mention du village[modifier | modifier le code]

Selon les historiens, la plus vieille charte mentionnant Colombier-Fontaine serait datée de 1141. Nous n'avons pas retrouvé ce document, mais il parait sûr qu'à cette époque, le village a été du ressort du comté de Montbéliard fondé aux IXe et Xe siècles. Par ailleurs, le 8 janvier 1147, l’archevêque de Besançon, par une charte, y confirme les possessions du prieuré de Lanthenans de l’ordre de saint Augustin[18]. Cette maison religieuse est située entre Colombier-Châtelot et le Lomont, à une distance de 8 km au sud-ouest. Le document dit ceci : « terram de Colombeyr superiori cum molendino », attestant de plus l'ancienneté des moulins sur le petit ruisseau. Un peu plus tard, le 4 mai 1177, une bulle du pape Alexandre III assure les mêmes possessions au même prieuré et désigne « ecclesiam de Colombier cum capella sua de Villar », c'est-à-dire l'église de Colombier avec sa chapelle de Villars-sous-Écot[18]. Il en ressort que Villars-sous-Ecot était à cette époque un hameau peu considérable, dépendant de Colombier-Fontaine[18]. Et il semble bien qu’une paroisse était constituée à Colombier, Villars en était la filiale et l’église-mère devait avoir une certaine importance dès le XIIe siècle, d'ailleurs le patronage de celles-ci bénéficiait aux seigneurs de Neuchâtel qu'ils transmirent en 1316 à Girard et Jacques de Guemonhans, aujourd'hui Goumois (Doubs), puis en 1370 au nouvel hôpital de Blamont[18].

Dix ans après, en 1187, le pape Grégoire VIII confirme également par une autre bulle les biens de l'abbaye de Lieu-Croissant (près de L'Isle-sur-le-Doubs) sur la demande de l'archevêque bisontin Humbert et en particulier des terres « terras in territorio de Colombiers »...

Le fief de Colombier-Fontaine[modifier | modifier le code]

Colombier-Fontaine fit partie en 1282 du démembrement du comté de Montbéliard qui constitua la seigneurie du Châtelot jusqu'en 1790[19].

À la différence de Colombier-Châtelot qui n’avait pas de fief. Colombier-Savoureux a été très convoité durant le Moyen Âge par les vassaux des Neuchâtel-Bourgogne, et un château y existait qui fut démoli après 1587[18]. Mais, avant eux, avant la formation de la seigneurie du Châtelot, Thierry et Renaud de Trémoins (70) fils de Guillaume, tenaient déjà un fief comtal à Colombier-Fontaine en 1273. En 1298, Wuillemin de Trémoins tenait toujours ce fief, malgré la formation de la seigneurie du Châtelot en faveur des sires de Neuchâtel-Bourgogne en 1282.

On sait aussi que Richard de Neuchâtel-Bourgogne, fils aîné de Thiébaud Ier épousa Marguerite de Montfaucon qui possédait déjà en 1273 Lougres, Etouvans et Colombier-Fontaine. Il est possible que ces terres formèrent sa dot.

En 1284, Humbert de Longevelle écuyer, fils d'Eudes, chevalier, reprit de Thiébaud III de Neuchâtel-Bourgogne un fief à « Colombier-Saveroux » qu'il avait acquis de Simon de Falon, et ce qu'il tenait en fief de Perrin de Montbéliard. Un peu plus tard, en 1299, Villemenet, fils de Joly de Trouvans, reprit du même sire de Neuchâtel ce qu'il avait à « Logres » à « Colombier Saveroux » et à Etouvans. D'autres vassaux des Neuchâtel apparaissent au XIVe siècle avec les seigneurs de Saint-Maurice[20]. Ainsi Jean Sauvageot de Saint-Maurice, chevalier, reprit de Thiébaud IV ce qu'il avait à Colombier-Savoureux, Saint-Maurice, Montussaint et Villars-sous-Ecot, en 1336[18]. Un autre document le mentionne en 1340 et on suit sa descendance en 1380 avec un Jean de Saint-Maurice qui confirma au XIVe siècle l'achat des terres qu'il avait fait auprès du seigneur de Neuchâtel pour Saint-Maurice et colombier-Fontaine[18]. Mais la branche mâle de la famille s'éteignit en 1490 et l’héritage échut à deux filles qui transmirent leurs biens à leurs héritiers.

En 1368, il y avait aussi la famille de Vaîtes. Jehan de Vaîtes et sa femme Marguerite, fille de Thiébaud de Roches, vendirent le meix qu’ils possédaient à Colombier-Fontaine à Thiébaud VI de Neuchâtel[18]. Catherine de Dampierre, épouse de Richard de Scey, donna toutes ses dîmes qui lui revenaient de l'église de Colombier-Fontaine à la chapelle de la Vraie-Croix à L'Îsle[18]. Au début du XVe siècle, deux vassaux des Neuchâtel, les nobles Henri de Villers et Thiébaud Berchenet tenaient des biens à Colombier. D’autres seigneurs en bénéficièrent encore aux XVe et XVIe siècles avant leur réunion au domaine direct du comte de Montbéliard dans le cadre de la seigneurie du Châtelot en 1561.

La réforme[modifier | modifier le code]

Le XVIe siècle fut marqué par l'introduction de la Réforme, ainsi en 1602 le duc Frédéric de Montbéliard institua Daniel Barthol pasteur à Colombier[19], et par la terrible invasion des Guise pendant l'hiver 1587-1588. D'horribles excès par le pillage, l’incendie et la torture, furent commis par les reîtres du duc de Lorraine. Les mêmes horreurs se répétèrent de 1633 à 1637 pendant la guerre de Trente Ans et durant 3 ans de 1635 à 1638, la peste anéantit la population du village, tant et si bien que la paroisse de Colombier mais aussi celles de Belverne et de Goumois (Doubs) furent supprimées faute d'une population suffisante[19].

Le pays tenta de se reconstruire mais de nouvelles menaces apparaissaient à l'horizon avec la conquête par la France de la Franche-Comté en 1674. Cela entraîna pour Colombier-Fontaine et la seigneurie du Châtelot des tribulations à la fois politiques et religieuses et qui se traduisirent de toute manière par une annexion française « de facto » en avril et mai 1700[21]. Dès lors, sur le plan administratif et souverain, le droit du roi prévalut sur le droit du prince de Montbéliard qui, après une période de séquestre jusqu’en 1748, ne retrouva que les droits utiles, mineurs, d’un vassal vis-à-vis d’un suzerain tout puissant.

L'annexion à la France[modifier | modifier le code]

En 1789, le prince de Montbéliard, seigneur du Châtelot, perdit tous ses droits seigneuriaux avec leurs revenus. En 1790, la seigneurie fut également supprimée et la commune de Colombier-Fontaine entra dans le département du Doubs et dans le canton de Mathay. Ce canton fut transféré à Écot en 1800, celui-ci fut supprimé le 19 octobre 1801 et remplacé par le canton de Pont-de-Roide. Les biens ecclésiastiques qui demeuraient à Colombier-Fontaine ceux de l’hôpital de Valentigney, ceux du prieuré de Lanthenans, furent vendus comme biens nationaux vers 1793-94.

Les invasions de 1814 et de 1815 furent néfastes à Colombier-Fontaine qui dut satisfaire à de nombreuses réquisitions et au logement de troupes chez l’habitant. Par contre la guerre de 1870 causa moins d’ennuis au village. Le pont sur le Doubs, construit en pierre en 1863, sauta (3 arches) comme tous les autres de la région en 1870, ce qui protégea d’une certaine manière Colombier-Fontaine et les villages de la rive gauche du Doubs où les Prussiens ne passèrent pas et où restèrent jusqu’en janvier-février 1871 des soldats français. Le pont fut rebâti par l’État en 1873.

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Colombier-Fontaine fut marqué par plusieurs faits de résistance en relation avec la « bataille du rail ». Entre Voujeaucourt et Colombier, la ligne de chemin de fer fut plusieurs fois coupée par le maquis en juillet et août 1944. Le pont sur le Doubs sauta encore au moment de la Libération, les 15 et 16 novembre 1944, à la suite des durs combats de Saint-Maurice. Il ne fut reconstruit qu’en 1950.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Colombier-Fontaine Blason
D'argent à la croix de gueules cantonnée au 1) d'une combe contournée du même et au 2) d'une colombe aussi de gueules[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Aimé Guillot    
mars 2001 juin 2013 Claude Villard[23]   décédé en cours de mandat
juillet 2013 mai 2020 Danièle Lefèvre[23]   Retraitée, ex-première adjointe
mai 2020 En cours Matthieu Bloch[23] LR Clerc de Notaire
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 195 habitants[Note 5], en diminution de 11,09 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
315313331388414409432413415
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
388442504505509469502486490
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
444497673787863938990887955
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1721 2361 3711 3701 5231 4821 4221 4081 356
2018 2021 - - - - - - -
1 2331 195-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé à Trévenans, dans le sud du Territoire de Belfort (département voisin)[28],[29].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Jean-l'Évangéliste.
  • Le temple protestant des XVIIe et XVIIIe siècles.
  • Une gare SNCF.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Doubs », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Colombier-Fontaine et Médière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Medière », sur la commune de Médière - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Medière », sur la commune de Médière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Colombier-Fontaine », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b c d e f g h i j et k recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel
  19. a b et c Précis historique de la réformation
  20. Nobiliaire universel de France
  21. Histoire des diocèses de Besançon
  22. « Accueil », sur colombierfontaine.fr (consulté le ).
  23. a b et c Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  29. Site officiel de l'HNFC.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Histoire des diocèses de Besançon et de saint-Claude, volume 2, Jean-François Nicolas Richard, 1851, p. 380.
  • Nobiliaire universel de France ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, volume 6, Nicolas Viton de saint-Allais, Bureau du nobiliaire universel de France, 1815, p. 180.
  • Précis historique de la réformation et des églises protestantes dans l'ancien Comté de Montbéliard et ses dépendances, Georges-Frédéric Goguel, 1841, p. 81, 92, 168.
  • Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel, au comté de Bourgogne, Jean François N.Richard, 1840, p. 66, 67, 69, 122, 138, 160, 167, 168, 182, 400, 426.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]