Crèvecœur-le-Petit

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Crèvecœur-le-Petit
Crèvecœur-le-Petit
Église Saint-Pierre et calvaire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau picard
Maire
Mandat
Philippe Hazard
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60179
Démographie
Gentilé Crépicordiens, Crépicordiennes
Population
municipale
156 hab. (2021 en augmentation de 14,71 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 40″ nord, 2° 30′ 16″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 127 m
Superficie 3,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Crèvecœur-le-Petit

Crèvecœur-le-Petit est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Crépicordiens et les Crépicordiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Crèvecœur-le-Petit est un village rural du Plateau picard, jouxtant au nord son ancien chef-lieu de canton de Maignelay-Montigny, situé dans l'Oise à 9 km au nord-est de Saint-Just-en-Chaussée, 23 km au nord-est de Clermont, 16 km au sud-est de Breteuil, à 10 km au sud-ouest de Montdidier.

Il est situé au croisement de l'ancienne route nationale 329 (actuelle RD 929 qui relie Saint-Just-en-Chausssée à Montdidier) et de la RD 47 qui permet de rejoindre Maignelay-Montigny.

En 1839, Louis Graves indiquait que Crèvecœur-le-Petit était une « petite commune en plaine, située à l'origine des ravins dont le prelongememi, constitue la vallée du Dom ; il n'y a pas d'eau coupante dans son étendue[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Ferrières, Maignelay-Montigny, Sains-Morainvillers et Welles-Pérennes.

Communes limitrophes de Crèvecœur-le-Petit
Welles-Pérennes Ferrières
Sains-Morainvillers Crèvecœur-le-Petit
Maignelay-Montigny Maignelay-Montigny

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records GODENVILLERS (60) - alt : 92m, lat : 49°35'10"N, lon : 2°33'15"E
Records établis sur la période du 01-11-1937 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 2,6 4,3 7,7 10,6 12,5 12,4 9,8 7,3 4 1,7 6,3
Température moyenne (°C) 3,9 4,5 7,4 10,2 13,7 16,8 19 18,9 15,6 11,7 7,3 4,4 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,6 8 12,2 16,2 19,8 22,9 25,4 25,5 21,5 16,1 10,5 7 16
Record de froid (°C)
date du record
−21,5
17.01.1985
−13,1
18.02.1969
−11
08.03.1971
−4,5
07.04.13
−2
03.05.1967
−0,5
01.06.1975
3,3
05.07.1964
2
28.08.1974
−2
25.09.1972
−5
29.10.03
−9,5
23.11.1998
−15
31.12.1970
−21,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,1
09.01.15
19,9
27.02.19
26,5
31.03.21
29
20.04.18
32
28.05.17
37,6
27.06.11
43
25.07.19
40,4
06.08.03
36,5
15.09.20
30
01.10.11
21,4
01.11.14
16,5
17.12.15
43
2019
Précipitations (mm) 59 49,5 49,3 45,9 61,3 59,9 60,5 64 50,2 63,2 60,4 78,7 701,9
Source : « Fiche 60276001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Crèvecœur-le-Petit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 61, alors qu'il était de 59 en 2013 et de 49 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crèvecœur-le-Petit en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Crèvecœur-le-Petit en 2018.
Typologie Crèvecœur-le-Petit[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 3,3 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 684, 6304 et 6309 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été dénommée Crèvecœur-lès-Ferrières (Crepicordium)[1].

Lieu ou la vie a été dure pour les paysans en raison du sol argileux et caillouteux ou des pentes relativement fortes qui rendent le travail de la terre pénible[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, l'abbaye Saint-Quentin-les-Beauvais détenait depuis 1680 la seigneurie sur la paroisse[1]

La commune de Crèvecœur-le-Petit, instituée lors de la Révolution française est fugacement réunie à Ferrières de 1827 à 1832[16],[1].

En 1839, la commune, qui dispose d'un presbytère et d'un terrain de jeu de tamis, compte un moulin à vent. Sa population est agricole[1].

Le Tour de France 1996 est passé dans le village.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Maignelay-Montigny[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton d'Estrées-Saint-Denis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard créée au .

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  juin 1995 Lucien Hazard   agriculteur
juin 1995 mars 2001 Guy Ricard   instituteur
mars 2001 En cours
(au 27 mai 2020)
Philippe Hazard DVD[17] agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[18]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée d'une nouvelle mairie et d'une salle communale, accessibles aux personnes à mobilité réduite, inaugurées le . Leur coût s'est élevé à 250 000 [19].

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'eau potable provient d'un puisage qui alimente également Ferrières et Domfront. La distribution d'eau est assurée en 2020 par Suez[20]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants du village sont scolarisés du regroupement pédagogique concentré de l'école des 8 villages Michel Hammid, implantée à Ferrières et qui accueille les élèves de Ferrières, Royaucourt, Godenvillers, Domfront, Dompierre, Sains-Morainvillers, Welles-Pérennes et Crèvecœur-le-Petit[21].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 156 habitants[Note 2], en augmentation de 14,71 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
144147166136175171162157137
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
13312712712711812410410197
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
11311477958696106116102
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
127165144103129117114127152
2021 - - - - - - - -
156--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 79 hommes pour 73 femmes, soit un taux de 51,97 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,1 
5,1 
75-89 ans
11,0 
10,1 
60-74 ans
8,2 
13,9 
45-59 ans
17,8 
26,6 
30-44 ans
24,7 
13,9 
15-29 ans
11,0 
30,4 
0-14 ans
23,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre : à l'intérieur se trouve le monument funéraire de Charles du Roger comportant un socle Renaissance avec épitaphe et écussons accompagné qu'un priant datant de 1643. Cet objet est classé monument historique[27].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 114 p. (lire en ligne), p. 36-37, sur Google Books.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Crèvecœur-le-Petit et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Crèvecœur-le-Petit », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 141.
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  18. « Nouveau conseil municipal : dans la continuité ou presque », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3604,‎ , p. 22.
  19. « Une mairie flambant neuve inaugurée en grande pompe », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3443,‎ , p. 18.
  20. Benjamin Merieau, « La population s’organise dans trois villages du Plateau picard ou l’eau ne peut plus être consommée : Suite à un problème de chloration ayant amené des bactéries dans l’eau potable, les habitants de Ferrières, Crèvecœur-le-Petit et Dompierre doivent se débrouiller avec des bouteilles d’eau », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Maxime Piquet, « Fini les mêmes papiers à fournir chaque année: à l’école des 8 villages de Ferrières, la vie des parents est simplifiée : Le syndicat scolaire intercommunal obtient désormais les informations des usagers en un clic, grâce à l’entremise de l’Adico », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Crèvecœur-le-Petit (60179) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  27. « monument funéraire de Charles du Roger », notice no PM60000687, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.