Wittelsheim

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Wittelsheim
Wittelsheim
La mairie.
Blason de Wittelsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Yves GOEPFERT
2020-2026
Code postal 68310
Code commune 68375
Démographie
Population
municipale
10 334 hab. (2021 en diminution de 0,48 % par rapport à 2015)
Densité 437 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 21″ nord, 7° 14′ 18″ est
Altitude Min. 239 m
Max. 285 m
Superficie 23,63 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wittenheim
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Voir sur la carte topographique du Haut-Rhin
Wittelsheim
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Wittelsheim

Wittelsheim (prononcé [vitəlsaim] Écouter ; en dialecte alsacien : Wittelsà) est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est (anciennement Région Alsace). Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ses habitants sont appelés les Wittelsheimois et les Wittelsheimoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Wittelsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[14] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (43,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,6 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (17,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), prairies (5,1 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Les vestiges découverts à Wittelsheim témoignent d’une occupation humaine depuis l’Âge du Bronze ancien (de -2 400 à -1 600) avec 24 sites répertoriant des découvertes allant d'objets isolés, comme d'épées de type « Rixheim » (Bronze final I-IIa ; -1 300 à -1 100), à une nécropole tumulaire datant de la période du Hallstatt et de La Tène et un tronçon de la voie romaine d'Epomanduodurum au Mons Brisiacus[20] La région est donc relativement peuplée lorsque les Romains conquièrent la Gaule. La plupart des historiens localisent entre Cernay et Wittelsheim la fameuse bataille d’Ochsenfeld (de l'allemand "plaine des bœufs") cadre de la victoire de César sur les guerriers suèves d'Arioviste en Une ère de paix commence, qui permet le développement de cette communauté agricole gallo-romaine.

Une stèle funéraire datant du IIe siècle et portant des noms d'origine celtique romanisés[21] a été mise au jour au lieu-dit Rothmoos-Langhurst[22].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

C'est en 1183 qu'apparaît pour la première fois, dans un texte écrit, la mention de Wittelsheim, alors écrit « Wittolsheim ». Par ce texte, le pape Luce III confirme au chapitre de Lautenbach ses possessions et ses privilèges parmi lesquelles figure cette commune. Wittelsheim est déjà alors une paroisse, possédant son église dont les chanoines nomment le curé. Pendant le Moyen Âge, Wittelsheim devient successivement fief de l'Évêché de Bâle[23], des seigneurs de Hagenbach, puis de la famille Rinck de Baldenstein.

Wittelsheim eut au Moyen Âge une léproserie « Gueten Leut Haus » (de l'all. « maison des bonnes gens »)[24].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution, Wittelsheim devient une commune.

En 1904, un gisement de potasse est découvert par Alfred et Amélie Zurcher, Jean-Baptiste Grisey et Joseph Vogt. Il assurera la prospérité de la région pour un siècle. En moins de trente ans Wittelsheim devient un grand centre industriel (MDPA). Sa population passe de 1 442 habitants en 1905 à 7 105 habitants en 1931, pour en compter plus de 10 000 dès 1968. Les cités minières, modèle d'habitat urbain, sortent de terre à partir des années 1920, afin d'héberger le flux de mineurs venus de Pologne, après que les puits de descente des hommes ou d'extraction du minerai aient été forés. Dès lors, toute l'organisation de la ville, son évolution sociale, son économie, le façonnement de son paysage. Wittelsheim vit au rythme de la mine.

Bien qu'en constante évolution, Wittelsheim a gravement souffert des vicissitudes des conflits du XXe siècle.

De 1914 à 1918, elle se trouva exposée aux feux des canons du Vieil Armand. A l'Armistice, le village est en ruines et déserté de sa population. La commune est décorée le de la croix de guerre 1914-1918[25].

Après la défaite de 1940, Wittelsheim subit l'occupation nazie jusqu'au , où elle est reprise par la 1ère Armée française, après dix jours de combats terribles. Le centre-ville est détruit à 90 %. L'Entraide Française du Cher se donne pour mission d'aider cette commune d'Alsace particulièrement meurtrie à se reconstruire. Le , Wittelsheim est décorée de la croix de guerre 1939-1945[26].

En 1982, Wittelsheim et Bürstadt, commune allemande du Land de Hesse, signent un pacte d'amitié et de jumelage

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Wittelsheim

Les armes de Wittelsheim se blasonnent ainsi :
« D'argent à la lettre majuscule W de sable brochante sur le fût d'une crosse de même. »[27]

Géographie[modifier | modifier le code]

Arrosée par la Thur, bordée au sud par le massif forestier du Nonnenbruch, Wittelsheim est située au carrefour des départementales 2 et 19, à 12 km de Thann, 12 km de Mulhouse intra-muros et 33 km de Colmar. La commune est incluse dans l'unité urbaine de Mulhouse.

Wittelsheim, est une commune du bassin potassique qui fait partie du Pays de la région mulhousienne. Elle est située au cœur de l'Ochsenfeld, et est fortement liée aux communes du nord-est (Staffelfelden, Pulversheim, Wittenheim, Richwiller, Reiningue, bassin potassique) de la région mulhousienne.

Industrie[modifier | modifier le code]

Mines[modifier | modifier le code]

Mine Amélie.

Découverte de la potasse en juin 1904.

A quelques centaines de mètres sous terre, les galeries s’effondrent peu à peu sur les 44 000 tonnes de déchets hautement toxiques du centre de stockage Stocamine et pourraient contaminer la plus grande nappe phréatique d’Europe[28].

Textile[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

À Wittelsheim, le vote du second tour de l'élection présidentielle 2017 a donné les résultats suivants : 56,37 % des suffrages pour Marine Le Pen (Front national) contre 43,63 % pour Emmanuel Macron (En marche !). Le taux d’abstention a été de 25,74 %[29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Paul Habold    
Jules Ebner[30] (1906-1976) MRP puis CD Ingénieur
Conseiller général du canton de Cernay (1958 → 1970)
René Arnold[31] (1932-2021) CD puis
UDF-CDS
Professeur de collège
Charles Wilhelm[32] (1934-2011) UDF-CDS Electromécanicien des mines retraité
Conseiller général du canton de Cernay (1993 → 2008)
Pierre Vogt (1949- ) DVG Professeur de sport retraité
Denis Riesemann[33] (1951-2016) UDI Pharmacien
En cours Yves Goepfert (1961- ) DVD Ingénieur
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Wittelsheim a la particularité d'être l'unique commune de la banlieue de Mulhouse à ne pas avoir intégré Mulhouse Alsace Agglomération en 2010. Lors de la dissolution de la communauté des communes du bassin potassique, elle avait également refusé d'intégrer l'ancienne CAMSA. La commune se voit finalement malgré tout obligée par décision du préfet du Haut-Rhin en de s'agréger à l'intercommunalité[34],[35]. Néanmoins, cette décision est contestée par la municipalité, dont le maire souhaite rester en dehors de toute intercommunalité, ainsi que par l'association « Oui Thur/Doller » qui quant à elle préférerait un rattachement à la communauté de communes de Cernay et environs ou à celle du Pays de Thann. La ville ainsi que cette association ont déposé en 2012 un recours devant le tribunal administratif de Strasbourg[36]. Par ailleurs, en date de , le site officiel de la M2A ne mentionnait pas encore la ville de Wittelsheim parmi ses communes membres[37]. Finalement, un arrêté préfectoral du officialise le rattachement de Wittelsheim à la M2A, et après les derniers recours rejetés par le tribunal administratif de Strasbourg en [38], la commune intègre officiellement l'intercommunalité à partir du [39].

Budget et fiscalité 2015[modifier | modifier le code]

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :

  • total des produits de fonctionnement : 9 693 000 , soit 905  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 8 858 000 , soit 827  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 4 614 000 , soit 431  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 5 185 000 , soit 484  par habitant ;
  • endettement : 4 866 000 , soit 454  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 11,33 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,79 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 78,48 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 10 334 habitants[Note 6], en diminution de 0,48 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8178978141 0581 1421 4001 5651 7101 778
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 7341 7771 6531 5701 5711 6281 6641 6111 556
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4361 4421 6291 9472 7707 1057 1547 1459 487
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 78210 08810 03210 17710 45210 22610 70810 33510 432
2021 - - - - - - - -
10 334--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Wittelsheim a deux collèges publics d'enseignement secondaire, le collège Charles-Péguy et le collège Jean-Mermoz (site du collège Mermoz) et un lycée public polyvalent, le lycée Amélie-Zurcher. Il y a aussi la possibilité de prendre un bus réservé aux élèves de l'école et collège privés Champagnat.

Environnement[modifier | modifier le code]

Il y aurait à Wittelsheim 42 000 tonnes d'amiante et de mercure (et de déchets électroniques), menaçant la nappe phréatique du Rhin[44]. Ces produits dangereux ont été stockés dans l'ancienne mine de potasse[45]. L'enquête publique a lieu du 7 au afin de statuer sur le devenir de ces déchets. Le dernier projet prévoyant de n'extraire que 1 760 tonnes de déchets mercuriels sur la totalité des déchets amiantés et terres polluées (métaux lourds) enfouies dans ces galeries mécontente les riverains[46].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Michel.
Wittelsheim, parc des Jardins du Monde, vue sur la fontaine du jardin espagnol.
  • L'église Saint-Michel[47],
son orgue de tribune[48],
et son orgue de chœur[49].
  • L'église de catholiques Notre-Dame-du-Rosaire[50].
  • L'église du Christ-Roi[51].
  • La chapelle Saint-Jean-Bosco de la cité Langenzuge[52].
  • Monuments commémoratifs[53],[54],[55].
  • Loisirs.
Wittelsheim possède un golf 18 trous ouvert toute l'année et un des plus grands bowlings d'Europe. Wittelsheim possède aussi une petite bibliothèque.
  • Le parc des Jardins du Monde[56].
Le , la ville a ouvert au public le « parc des Jardins du Monde » (47° 47′ 53″ N, 7° 13′ 48″ E), un parc thématique qui met en scène différents styles de jardins qui ont influencé l'Art des Jardins du Moyen Âge à nos jours : jardin espagnol (ou hispano-mauresque, héritier du jardin islamique), jardin japonais, jardin à l'italienne, jardin à la française et jardin anglais. L'ensemble de ces jardins thématiques sont unifiés par l'eau, véritable fil conducteur, à travers fontaine, canal, miroir d'eau, jet, étang et escalier d'eau.
Le parc est aussi composé d'un parc paysager d'inspiration anglaise, qui met en scène des essences botaniques en provenance des Amériques, d'Europe et d'Asie. Trois aires de jeux pour les enfants et des toilettes publiques sont également à disposition des visiteurs dans ce parc public unique en son genre.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Amélie Zurcher (1858-1947), instigatrice de la découverte de la potasse dans le sous-sol alsacien, elle a réalisée ses premiers forages à Wittelsheim. Le lycée de la commune et le puits Amélie sont nommés en son honneur ;
  • Maurice Picon (1931-2014), archéologue spécialiste de l’archéométrie, né dans la commune ;
  • Stanislas Curyl (1929-2017), footballeur, né dans la commune ;
  • Casimir Nowotarski (né en 1932), footballeur, né dans la commune ;
  • Pierre Rigoni (né en 1948), footballeur, né dans la commune ;
  • Albert Rust (né en 1953), gardien de but international de football et champion olympique, a commencé sa carrière au club de Wittelsheim ;
  • Alain Zemb (né en 1960), footballeur, né dans la commune.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
  2. Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
  3. Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Wittelsheim et Mulhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. Collectif des 12 Singes, « Wittelsheim : un site-carrefour sans Néolithique mais avec du Métallique », sur blog.com, ... à travers les âges, (consulté le ).
  21. Elle porte l'inscription DM CINTVSMUS CINTVGNATI, soit « Aux Dieux Mânes, Cintusmus, fils de Cintugnatus »
  22. aujourd'hui dans la cour de la caserne des pompiers
  23. Les armoiries "d'argent à la lettre majuscule W de sable brochante sur le fût d'une crosse de même" rappellent l'ancienne obédience du village à l'Evéché de Bâle et son appartenance aux grandes abbayes du Haut-Rhin.
  24. Charles Sauter: Wittelsheim de Jules César à Charles de Gaulle; Colmar, Ed. Alsa- tia, 1974, in-8°, 432 p.
  25. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  26. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
  27. Archives Départementales du Haut-Rhin
  28. « En Alsace, la plus grande nappe phréatique d’Europe est menacée par les « déchets ultimes » de Stocamine », sur Reporterre (consulté le ).
  29. « Résultats Wittelsheim - Présidentielle 2017 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  30. Notice NetDBA de EBNER Jules, alsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace.
  31. Notice NetDBA de ARNOLD René, alsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace.
  32. « Décès de Charles Wilhelm », Dernières nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne).
  33. « Wittelsheim : le décès de Denis Riesemann », L'Alsace,‎ (lire en ligne).
  34. [PDF]Schéma départemental de coopération intercommunale de décembre 2011 sur le site de la préfecture du Haut-Rhin, consulté le 18 décembre 2012
  35. [PDF]« Communiqué de presse du Préfet du Haut-Rhin sur la Commission départementale de la coopération intercommunale (CDCI) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site de la préfecture du Haut-Rhin le 22 décembre 2011, consulté le 18 décembre 2012
  36. « Intercommunalité: Deux recours contre le rattachement à la M2A », Journal l'Alsace du 19 septembre 2012
  37. Site officiel de Mulhouse Alsace Agglomération
  38. « Wittelsheim : « Oui Thur-Doller » voit son référé rejeté », lalsace.fr le 9 novembre 2013, consulté le 7 janvier 2014
  39. « Wittelsheim: La Ville prépare son entrée dans M2A », Journal l'Alsace du 22 décembre 2013, consulté le 7 janvier 2014
  40. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Que faire des 42 000 tonnes de matière toxique de Stocamine ?
  45. Stocamine : un poison en terre alsacienne
  46. Stocamine : début de l'enquête publique dans 9 communes du Haut-Rhin
  47. « Eglise paroissiale Saint-Michel », notice no IA68004731, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Wittelsheim, St-Michel (tribune)
  49. Wittelsheim, St-Michel (chœur)
  50. « église de catholiques Notre-Dame-du-Rosaire », notice no IA68004743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Eglise du Christ-Roi », notice no IA68004741, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Chapelle Saint-Jean-Bosco de la cité Langenzuge », notice no IA68004752, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. Monument aux morts
  54. « Le mobilier du cimetière », notice no IM68008146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Cimetière », notice no IA68004735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. Parc des Jardins du Monde