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Félicie

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Félicie is a play by French playwright Pierre de Marivaux. It was published for the first time in the Mercure de France in March 1757.

However, Pierre de Marivaux has not submitted this as a theatrical piece. This piece portrays the education and discipline of a young girl experiencing passionate love, who was stopped just in time by a fairy before her passion could get out of hand. The reason was that the dialogue in this piece was thought to be less likely to garner aesthetic appreciation and approval than if it were left to literary expression.

Characters

  • Félicie.
  • Lucidor.
  • La Fée, the Fairy, under the name of Hortense.
  • La Modestie, Modesty.
  • Diane.
  • Troupe de chasseurs, Troop of Hunters

The Synopsis

In a wonderland, a young girl, Félicie, is raised by a fairy. Her godmother can make her a gift, which is up to her to choose. Félicie chooses the gift of pleasing. The fairy grants her wish; and she places

Dans un pays enchanté, vit une jeune fille, Félicie, qui a été élevée par une fée, mais sa marraine ne peut lui faire qu’un don ; c’est à elle de choisir. Félicie demande le don de plaire. La fée le lui accorde ; elle place en même temps auprès d’elle la Modestie pour compagne et s’éloigne. Félicie entend le bruit d’une fête, elle voudrait bien aller de ce côté. La Modestie la retient et lui montre la Vertu, sous les traits de Diane, qui vient la rejoindre. La Modestie et la Vertu s’efforcent en vain de prouver à Félicie que, sans la réserve et la pudeur, les dons les plus heureux sont autant de dangers. Mais ce n’est pas là une compensation, et Félicie trouve Diane bien sévère. Elle sourit au contraire en apercevant un jeune homme qui s’avance vers elle. Lucidor l’admire, lui adresse des compliments qui lui vont au cœur : elle s’attendrit. La Modestie la gêne. Lucidor supplie Félicie de l’éloigner. Félicie y consent. Lucidor devient de plus en plus pressant. Elle est fortement tentée ; en sentant qu’elle va céder, elle fait un effort suprême, elle appelle à son aide la Modestie et Diane. Les déesses accourent, la fée aussi, et Félicie, honteuse de sa faiblesse, se jette dans ses bras pendant que Lucidor s’éloigne.