Caix

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Caix
Caix
L'église Sainte-Croix de Caix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Jean-Michel Sailly
2023-2026
Code postal 80170
Code commune 80162
Démographie
Population
municipale
696 hab. (2021 en diminution de 8,66 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 02″ nord, 2° 38′ 47″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 97 m
Superficie 11,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Caix
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Caix
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Caix
Liens
Site web http://www.caix.fr/

Caix [kɛ] est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Sept communes limitent le territoire : du nord au sud et dans le sens des aiguilles d'une montre, on trouve : Harbonnières, Rosières-en-Santerre, Vrély, Beaufort-en-Santerre, Le Quesnel, Cayeux-en-Santerre et Guillaucourt[1].


Description[modifier | modifier le code]

Caix est située, par la route, à 4 km de Rosières-en-Santerre, 22 km de Montdidier, 26 km d'Albert et 26 km d'Amiens, son chef-lieu de département[2].

À 90 km à vol d'oiseau de la côte picarde, le village s'est construit sur un sol accidenté[1].

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 47 et ligne no 59)[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La partie la plus élevée de la commune est constituée du limon des plateaux de la période éocène[1]. Au-dessous, se trouve un bief à silex.

La vallée de la Luce détermine un relief particulièrement prononcé dont le fond est couvert d'alluvions tourbeuses, au moins dans sa partie la plus basse[1].

En 1899, les puits sont alimentés par une nappe phréatique qui se situe d'1 m à 22 m de profondeur. Les sources de la Luce alimentent le cours d'eau à 1 000 m à l'ouest du village[1].

Le point culminant du territoire se trouve sur le chemin de Beaucourt, en limite communale[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte de la Luce.

La Luce, un sous-affluent du fleuve côtier la Somme par l'Avre, prend sa source à Caix.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Caix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,7 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), forêts (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 344, alors qu'il était de 331 en 2013 et de 323 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84 % étaient des résidences principales, 2,2 % des résidences secondaires et 13,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Caix en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,4 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Caix en 2018.
Typologie Caix[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 84 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,2 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 13,7 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu était dénommé Caium en 1131[16].

En passant par Cahys, Kaiex, Kais, Caiz, Quaits, le nom actuel a été adopté en 1733[16].

Le nom de la localité viendrait de « Casa », habitation[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des silex taillés, des poteries, des monnaies, des armes de fer et de bronze attestent d'une occupation antique des lieux. Ces objets sont rassemblés au sein de la collection Leblan, en 1899[1].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des substructions d'une villa gallo-romaine[17],[18], d'un fanum[19] et d'autres bâtiments[20] ont été relevées.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Caix, la rue d'Harbonnières, avant la Première Guerre mondiale.

Au XIXe siècle, le bourg compte une bonneterie, une brasserie et une fabrique de métiers à tricots[22].

La commune se trouve dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[23]. Un aérodrome militaire allemand a été aménagé entre Caix et Rosières-en-Santerre[24].

Le bourg a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 le [25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachement administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[26]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département[28].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[29],[30],[31]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[32], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [33].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[34].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1912   Télesphore Courtois[36] Républicain Fabricant de bonneterie
Conseiller général de Rosières-en-Santerre (1880 → 1886)
Officier d'Académie
1900 1912 Georges Capronnier[37]   Fabricant en bonneterie, gendre de Télesphore Courtois
Conseiller d'arrondissement de Rosières-en-Santerre (1889 → 1929)
Membre du tribunal de commerce et de la chambre de commerce d'Amiens (1903 → 1929)
Administrateur du journal Le Progrès de la Somme (1909 → 1929)
1912 1918 Charles Lefevre    
1918 1928 Georges Capronnier[37],[38]   Fabricant en bonneterie, gendre de Télesphore Courtois
Conseiller d'arrondissement de Rosières-en-Santerre (1889 → 1929)
Membre du tribunal de commerce et de la chambre de commerce d'Amiens (1903 → 1929)
Administrateur du journal Le Progrès de la Somme (1909 → 1929)
Chevalier de la Légion d'honneur
juin 1928 septembre 1928 Arthur Derbesse    
1929 1946 Arthur Houziaux    
1946 1965 Georges Devaux    
1965 1981 Maurice Desjardin    
1981 2001 Joseph Fontaine    
mars 2001 mai 2020[39] Daniel Mannens[40] SE Agriculteur
Vice-président de la CC du Santerre (2014 → 2016)
mai 2020[41],[42] juin 2023[43] Sabine Scribe   Adjointe administrative
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal[44] et sa propre démission[45]
juillet 2023[46] En cours
(au 14 janvier 2024[47])
Jean-Michel Sailly   Exploitant agricole

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune a disposé d'une école publique gérée par l'intercommunalité, et qui, au printemps 2017, a scolarisé 45 élèves[48].

Un regroupement pédagogique concentré à Harbonnières a été envisagé en 2014, mais n'a pas abouti[49].

L'école ferme à la rentrée 2019. Les écoliers se répartissent dans les communes voisines[50].

Le collège Jules Verne de Rosières-en-Santerne et le lycée Jean Racine de Montdidier assurent la suite de la scolarité[16].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

En 2021, la commune comptait 696 habitants[Note 3], en diminution de 8,66 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1001 1071 0871 1191 1821 2581 2991 3951 383
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3751 3501 3331 3811 4001 5271 5511 5861 368
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3421 2651 204824854768699743761
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
719722650611621658706701730
2014 2019 2021 - - - - - -
755699696------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

2016 : 758 habitants[54].

Économie[modifier | modifier le code]

Le bourg ne dispose plus, en 2017, que d'un seul commerce de proximité, une boulangerie, dont le maintien est menacé par un trop faible chiffre d'affaires[55].

La boulangerie ferme en début d'année 2019[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Croix, datant des XIIIe, XVe et XVIe siècles, classée aux monuments historiques[56], et ses fonts baptismaux du XVIe siècle[57].
  • Chapelle Notre-Dame du Bon Secours. Construite en 1828 et restaurée en 1931, sa façade est en pierre et ses murs en brique. Un pèlerinage devait favoriser la marche des enfants[58].
  • Chapelle à la Vierge, place du vieux château, collée à une habitation[58].
  • Cimetières militaires allemand, britannique, canadien de la Première Guerre mondiale.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j et k Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Hullin, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens, lire en ligne., sur le site des archives départementales.
  2. Viamichelin.
  3. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Caix et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c et d « Site communal, rubrique géographie et histoire » (consulté le ).
  17. « Photographie aérienne de Roger Agache : Substruction rectangulaire gallo-romaine (1974) », notice no ARR22_748022477ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  18. « Photographie aérienne de Roger Agache ; Villa (19xx) », notice no ARR22_sd802413ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  19. « Photographie aérienne de Roger Agache : Fanum (1979) », notice no ARR22_79802393ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  20. « Photographie aérienne de Roger Agache : enceinte (1966) », notice no ARR22_66802411ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  21. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. VIII : Bus à Cas, Évreux, impr. de C. Hérissey, , 418 p. (lire en ligne), p. 105-108 sur Gallica.
  22. Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies, t. II, Paris, Hachette, , p. 681
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Caix. Un carrefour », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 16, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. « Caix », sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  25. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17720.
  26. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  29. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  31. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  32. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  33. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  34. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  35. « Maires de la commune », sur caix.fr (consulté le ).
  36. Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 3e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 103.
  37. a et b Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 3e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 77.
  38. « CAPRONNIER, Georges Eugène », base Léonore, ministère français de la Culture
  39. Aude Collina, « L’au revoir du maire Daniel Mannens à Caix », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’agriculteur de 79 ans ne briguera pas de mandat supplémentaire ».
  40. A. R., « Daniel Mannens, ancien maire de Caix, est décédé : Premier magistrat de ce village du Santerre de 2001 à 2020, Daniel Mannens a succombé à une longue maladie le 24 décembre 2022 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Après le départ du maire, deux listes en lice à Caix : Jean-Michel Sailly et Sabine Scribe dévoilent leurs projets et le détail de leur liste pour l’avenir de Caix, bourg de 700 habitants proche de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté en ) « Le maire sortant, Daniel Mannens, cède sa place après trois mandats. C’est Jean-Michel Sailly l’un de ses conseillers qui reprend le flambeau au sein de l’équipe. Face à lui, une seconde liste portée par Sabine Scribe ».
  42. « À Caix, premier mandat de maire pour Sabine Scribe », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté en ) « Maire de Caix pendant trois mandats, Daniel Mannens n’était pas candidat aux élections de mars. C’est donc un nouveau maire qui a été élu lundi soir à huis clos dans la salle des fêtes. Seule candidate à ce siège, Sabine Scribe, ancienne conseillère de 40 ans et adjointe administrative a été élue maire ».
  43. Hugues Chaigneau, « La maire de Caix démissionne à son tour : Après la démission de six conseillers municipaux, c’est la maire Sabine Scribe qui a jeté l’éponge ce jeudi 1er juin 2023. Les électeurs de Caix sont appelés aux urnes le 25 juin. Il reste à trouver des candidats », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Anne Kanaan, « C’est reparti pour un tour à Caix : Le conseil municipal ayant perdu le tiers de ses membres, les habitants vont devoir retourner aux urnes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. ulien Benesteau-Tellier, « Appelés aux urnes pour la troisième fois en trois ans, les habitants de Caix sont désabusés : Six conseillers municipaux avaient jeté l’éponge ces derniers mois, auxquels il faut désormais ajouter la maire, Sabine Scribe, qui a posé sa démission le 1er juin. De nouvelles élections sont donc prévues le 25 juin à Caix pour reconstituer le conseil, au grand désarroi des électeurs, incrédules face à une telle situation. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Le village de Caix a son nouveau maire : Battu en 2020 face à Sabine Scribe, Jean-Michel Sailly s’empare du fauteuil de maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est Jean-Michel Sailly, ancien conseiller municipal battu aux élections de 2020 par Sabine Scribe, qui va occuper le fauteuil jusqu’à la fin du mandat. Il a obtenu neuf voix sur 15 ».
  47. Anne Kanaan, « Première cérémonie de vœux pour le maire de Caix, Jean-Michel Sailly : Élu en juillet 2023 après une année politiquement compliquée dans la commune, le nouveau maire a tout à construire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « L’école de Caix ne fermera pas en 2017 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Benjamin Merieau, « L’école de Caix ne disparaît pas, pour le moment : Les fermetures de classe ou d’école doivent être gelées pour trois ans avec la signature d’un contrat de ruralité pour l’intercommunalité Terre de Picardie. Ce qui ne fait que reporter les problèmes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. a et b « Courrier des lecteurs : Le monde rural du silence », Courrier picard,‎ , p. 7.
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. Commune de Caix.
  55. « La boulangerie de Caix est (aussi) menacée : Le village de Caix verrait-il disparaître son école et sa boulangerie ? C’est sa crainte », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. « L'église », notice no PA00116111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Les fonts baptismaux », notice no PM80000395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 244 (ASIN B000WR15W8).