Cappy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cappy
Cappy
L'église Saint-Nicolas, sur le côté de la place.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Gérard Legrand
2020-2026
Code postal 80340
Code commune 80172
Démographie
Gentilé Capytois
Population
municipale
551 hab. (2021 en augmentation de 6,37 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 55′ 44″ nord, 2° 45′ 32″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 96 m
Superficie 11,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cappy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cappy
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Cappy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Cappy
Liens
Site web https://cappy.fr

Cappy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Les habitants de Cappy sont appelés les Cappitois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Paysage sur la commune.

Le village est situé sur les berges de la Somme, entre Amiens et Péronne, de part et d'autre du canal de la Somme. Un hameau se trouve à Froissy.

Il est facilement accessible par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029) et les autoroutes A1 et A29.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 38 (Albert - Bray-sur-Somme - Péronne)[1].

Le sol est très accidenté : le relief est très accidenté suivant une ligne qui va du sud au nord. Le sol est calcaire, argileux, siliceux, tourbeux, suivant les lieux[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le fleuve côtier picard la Somme traverse des étangs assez importants et produit à sa sortie une chute peu importante[2].

Le canal de la Somme longe le fleuve. Une écluse est installée sur le canal[2].

Dans les années 1890, on notait que les puits étaient peu profonds. L'eau qu'ils fournissaient était alors de bonne qualité[2].

Environnement[modifier | modifier le code]

Une partie du territoire communal est compris dans le site Natura 2000 "Moyenne vallée de la Somme"[3],[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cappy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

La commune de Cappy a un habitat groupé autour de son église et sa mairie en bordure de la Somme. Un pont-levis permet le passage des bateaux sur le canal de la Somme.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), forêts (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), eaux continentales[Note 2] (4,4 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones humides intérieures (0,5 %), prairies (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est mentionné dès 877 par Capiacum ou Capriacum. On retrouve la même forme en 1191 et 1269, puis Cappi à partir du XIIIe siècle[17].

Selon une autre source, l'étymologie de Cappy viendrait de Caput Loci et indiquerait que, très tôt, il exista à Cappy une forteresse pour défendre le passage de la Somme[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le , le roi Charles le Chauve, fonda l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne et lui octroya la terre de Cappy où fut édifié un prieuré, le prieuré Saint-Médard, créé au sein même de la forteresse préexistante. C'est le berceau du bourg de Cappy.

En 1045, Robert, seigneur de Péronne est aussi seigneur de Cappy.

Le , Ratbod, évêque de Noyon, ayant reçu l'église de Cappy des mains de Robert de Péronne, la donne à l'abbaye de Cluny. L'abbé de Cluny concéda au prieuré Saint-Martin-des-Champs de Paris qui y fonda un prieuré.

En 1092, Eudes, fils de Robert, « très chrétien prince de Péronne, héritier et successeur des « princes » pervers et superbes qui, abusant de la patience de Dieu, s'étaient emparés des biens de l'Église après les invasions des Vikings, apprit, en visitant Cappy, qu'un territoire de cette paroisse se nommait par tradition Les Champs de saint Corneille. Eudes se rendit à la basilique de Compiègne, et prit connaissance des chartes de dotation. Il reconnut l'usurpation de ses aïeux, et obtint leur absolution rétrospective en restituant aux chanoines une partie de l'aleu donné par Charles le Chauve, que le chapitre lui rendit à son tour, moyennant un cens perpétuel de douze sols par an. Eudes, sa femme Lucie, les châtelains Eudes II de Ham, Effroi III et Roricon d'Encre, souscrivirent cet acte passé à Péronne, avec plusieurs membres du chapitre de la collégiale Saint-Fursy, le doyen André, le trésorier Étienne, le chancelier Gillain, le chantre Foulques[18].

Durant la guerre de Cent Ans, le village a été fortifié pour protéger le gué sur la Somme, l'un des quatre situés entre Bray et Cappy[19].

En 1228, Cappy bénéficie d'une charte communale[20] et s'engage par écrit à servir le roi envers et contre tous. Le sceau de la commune nous est connu par un document de 1228 déposé aux Archives nationales (n° 5 754).

En 1269, Jean d'Athies est seigneur de Cappy et bailli d'Amiens.

En 1360, Charles, comte de Dammartin, seigneur de Cappy, fait prisonnier par les Anglais à la bataille de Poitiers en 1356, échangea sa seigneurie de Cappy avec le connétable de Fiennes.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, Cappy est encore un lieu entouré de remparts et de fossés[21].

La famille d'Estournel de Suzanne acquiert la baronnie de Cappy en 1660[21] et le droit d'établir un péage sur les ponts et chaussées permettant de franchir la Somme[22].

Cappy a possédé un prieuré avec cinq moines et un prieur, ainsi qu'un hôpital annexé d'une chapelle Saint-Étienne[21].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1865, furent construites les écoles de Cappy.

A la fin du XIXe siècle, le port fluvial de Cappy connut une certaine activité avec le transport de phosphate de la carrière d'Éclusier-Vaux[23].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Cappy a énormément souffert lors de la Première Guerre mondiale[24]. En 1915, le village servait de cantonnement à l'armée française[25].

Un cimetière militaire français y était aménagé dès 1915[26],[27].

Entre Amiens (alors capitale de l’arrière-front) et la petite ville de Péronne (contrôlée par les Allemands), Cappy se situait sur la ligne des combats de la bataille de la Somme[28]. Afin de protéger la Somme, l'armée française y fit navigier des petites canonnières[29],[30] et le Génie construisit un nouveau pont levant[31],[32],[33].

C'est de Cappy, alors occupé par les Allemands que décolla le le Baron Manfred von Richthofen pour ce qui allait être son dernier vol, puisqu'il sera abattu vraisemblablement par un tir venant du sol et non pas par Arthur Roy Brown, as de l'aviation canadien, qui avait pourtant revendiqué avoir abattu le "Baron Rouge" et son Fokker Dr.I.

Afin de faciliter son effort logistique, l'armée française a installé une voie de chemin de fer militaire[34], dont une partie subsiste et constitue le Chemin de fer Froissy-Dompierre

Le village fut très largement détruit pendant la Guerre[35],[36],[37],[38],[39],[40], excepté le clocher de l'église[41], et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [42].

Le village fut reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bray-sur-Somme[43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Albert.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, créée fin 2001 sous le nom de communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.

Politique locale[modifier | modifier le code]

A la suite de dissensions au sein du conseil municipal concernant notamment l'acquisition d'une propriété jouxtant la mairie[44], cinq conseillers municipaux (dont le premier maire-adjoint) ont démissionné depuis les élections municipales de 2014, entraînant l'organisation d'élections partielles le [45] au terme desquelles la maire sortante, Noëlle Delebassée, a été réélue.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[46]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1989   Fernand Adriaenssens    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 2008 Didier Degrendel DVG[47] Exploitant agricole
mars 2008 juillet 2020[48] Noëlle Delebassée    
juillet 2020[49] En cours
(au 5 juillet 2020)
Gérard Legrand   Retraité de la fonction publique

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune a été récompensée en 2019 de ses efforts en matière de fleurissement par le 1er prix des communes de 300 à 1 000 habitants de la Somme au Concours des villes et villages fleuris[50].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 551 habitants[Note 3], en augmentation de 6,37 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9007811 0011 0421 0691 0801 1161 1531 110
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0871 1571 1431 1361 1681 009965973962
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
953920805471596561557518580
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
569549513510484485536551523
2018 2021 - - - - - - -
544551-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Pour l'année scolaire 2018-2019, la commune abrite une école primaire publique (maternelle et élémentaire) qui dépend de l'académie d'Amiens[54].

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune, outre l'agriculture, est le tourisme. Cappy est une base de départ pour le tourisme fluvial[55],[56],[57]. Gîtes touristiques et campings sont présents dans la commune. On compte aussi un restaurant., labellisé « bistro de Pays »[58]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Nicolas[59],[60],[61], érigée dans le bas-village. Son clocher à tourelles et contreforts date de 1654. Logo monument historique Classé MH (1913), il fut partiellement reconstruit dans les années 1920, après avoir subi des dégradations lors de la bataille de la Somme en 1916. L'église, elle, possède une nef romane.
Son origine est au hameau de Froissy.
Cappy et le tracé du chemin de fer Froissy-Dompierre (en rouge).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Manfred von Richthofen dit le Baron rouge, après avoir décollé du terrain de Cappy, fut abattu en vol et son avion s'écrasa sur le territoire de la commune de Vaux-sur-Somme, le 21 avril 1918.
  • René Carpentier, né en 1909, est un habitant du village fusillé par les Allemands en 1942. Une plaque sur le mur d'une maison de la place de l'église rappelle cet événement.
  • Henri Salvador a inauguré, en 1994, un boulodrome qui porte désormais son nom.
  • Pendant de nombreuses années, les Éclaireurs de France et les Éclaireurs Unionistes de France avaient à Cappy un camp-école où ils formaient les responsables d'unités.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cappy Blason
De gueules au pont crénelé d'argent, maçonné de sable, surmonté de deux tourelles couvertes d'argent, girouettées et maçonnées de sable, défendu par un homme d'armes d'or, la hache ensanglantée de gueules sur l'épaule, et soutenu d'une rivière ondée d'azur[63].
Détails
La commune de Cappy a, pour ses armoiries, repris le motif figurant sur un sceau rond de 1228 conservé aux Archives nationales. Sur ce sceau, le maïeur, revêtu d'une cotte de mailles, la hache d'arme sur l'épaule, se tient sur un pont crénelé, surmonté à ses extrémités de deux tourelles. Cappy s'était vu octroyer, au début du XIIIe siècle, une charte de franchises[64].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, tome 1, Amiens, 1865, Société des antiquaires de Picardie, reprise, Paris 1990, Res Universis, Le Livre d'histoire-Lorisse.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a b c d et e Notice géographique et historique sur la commune de Cappy, rédigée par Monsieur Morvillé, instituteur, 189?, Archives départementales de la Somme.
  3. « Natura 2000, Moyenne vallée de la Somme », sur moyennevalleedelasomme.n2000.fr (consulté le ).
  4. « FR2200357 - Moyenne vallée de la Somme », INPN Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Cappy et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, tome 1, Amiens, 1865, Société des antiquaires de Picardie, reprise, Paris 1990, Res Universis, Le Livre d'histoire-Lorisse
  18. Chanoine Morel, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Corneille de Compiègne, 1904, t. Ier, nº I, p. 1-6, et nº XVIII, p. 44-46.
  19. Hector Josse, « Histoire de la ville de Bray-sur-Somme : Destinée de la ville pendant les guerres du XIVe au XVIIIe siècle. », Mémoires de la société des Antiquaires de Picardie, t. XXVII,‎ , p. 268-304 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  20. Bertrand Le Boudec et Hélène Izembart, Direction régionale de l'environnement de Picardie, Atlas des paysages de la Somme, vol. 1 : Une approche thématique, Amiens, Direction régionale de l'environnement Picardie, , 228 p. (ISBN 978-2-11-097199-9, lire en ligne [PDF]), p. 34-35.
  21. a b c et d André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 234 (ASIN B000WR15W8).
  22. « Arrêt du conseil d'Etat qui confirme le marquis d'Estourmel dans un droit de péage sur les ponts et chaussées situés sur la Somme, dans le village de Cappy, proche Péronne », Extrait des registres du Conseil d'État, Imprimerie royale, (consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
  23. « recherche.archives.somme.fr/ar… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. Oswald Macqueron, « Cartes postales : A) Guerre 1914-1916 : Bataille de la Somme : [Cappy] installation d'une ligne téléphonique souterraine dans un village. - [Carte postale] LL., n°839. B) Cappy : vue prise sur le canal côté sud-ouest. - [Carte postale] P. D., n°111. Plaque Lumière. Coll. "La Picardie illustrée". C) Cappy, par Bray-sur-Somme : église. - [Carte postale] L. Caron, éd., Amiens. D) Cappy : le pont sur le canal et le village. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  25. Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Une ferme : cantonnement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  26. Cliché Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le cimetière militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  27. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Cimetière militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  28. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy (près). Poste d'observation du général Bonnier, commandant la 16e division d'infanterie coloniale », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  29. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le canal de la Somme et canonnière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  30. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le canal de la Somme et canonnière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  31. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Sur le canal. Nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  32. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Sur le canal : nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  33. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Canal de la Somme et nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  34. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Pont sur le canal de la Somme ; soldats transportant des rails (VAL 446/074) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  35. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village et pont sur le canal de la Somme (VAL 446/072) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  36. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  37. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village et pont sur le canal de la Somme », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  38. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le château », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  39. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. La mairie et école de garçons (VAL 446/106) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  40. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. L'église et ses abords (On y voit la voie ferrée militaire) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  41. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  42. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  43. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Emmanuelle Bobineau, « Le projet qui sème la zizanie au conseil municipal de Cappy : Quatre conseillers dont le premier adjoint ont démissionné récemment. Le projet d’achat d’une propriété est au cœur des tensions alors que des élections complémentaires sont prévues en mars », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Vincent Hery, « Élections municipales complémentaires à Cappy: six candidats élus : Les électeurs étaient appelés aux urnes, dimanche 17 mars, après plusieurs démissions au conseil municipal », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Les maires de Cappy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  47. Annuaire des Mairies de Somme, Cannes, EIP/Editions Céline, 2006/2007, 274 p. (ISBN 978-2-35258-180-2 et 2-35258-180-X, lire en ligne), p. 71, disponible sur Google books.
  48. Vincent Hery, « Noëlle Delebassée, maire de Cappy, s’exprime une dernière fois avant de quitter ses fonctions : Maire depuis 2008, elle ne sera pas candidate aux élections municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Vincent Hery, « Gérard Legrand, nouveau maire de Cappy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Membre du conseil municipal depuis 2014, il a occupé la fonction de deuxième adjoint depuis mars 2019 et les élections complémentaires. La liste de l’équipe sortante a remporté 14 des quinze sièges du conseil ».
  50. « Le fleurissement des villages et maisons récompensés à Millencourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  55. « Les plaisanciers se la coulent douce à Cappy : La halte nautique de Cappy accueille l’été, et parfois à l’année, de nombreux plaisanciers qui découvrent la région par voie fluviale. Rencontre avec ces touristes pas comme les autres… », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le port de plaisance de Cappy accueille une quinzaine de bateaux quotidiennement ».
  56. Vincent Hery, « Le port de Cappy libéré, délivré (provisoirement)… du myriophylle : La plante invasive a pris ses aises dans le canal de la Somme, rendant la navigation quasiment impossible pour des plaisanciers pris au piège et mécontents », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Vincent Hery, « Pour le président des Amis du fleuve Somme, basés à Cappy, «le canal n’est pas assez fréquenté» : Benoît Lamotte veut renforcer la notoriété de la navigation fluviale sur la Somme », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. Emmanuelle Bobineau, « Le Graal de Cappy espère attirer une nouvelle clientèle grâce au label Bistrots de pays : Le restaurant rejoint le club très fermé des Bistrots de pays. Il a appris la bonne nouvelle le 13 décembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  59. Oswald Macqueron, « Aquarelle :Église de Cappy, d'après nature, 16 juin 1874. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  60. Oswald Macqueron, « Aquarelles : A) Chapiteaux de l'église de Cappy, d'après nature, 16 juin 1874. B) Fonts baptismaux de l'église de Cappy, d'après nature, 14 juin 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  61. Cliché Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  62. « Opération au port contre le myriophylle », Courrier picard,‎ , p. 2.
  63. http://www.paysducoquelicot.com/cappy.htm
  64. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).