Eshmun inscription

Modern Hebrew transcription and French translation of the inscription

The Eshmun inscription is a Phoenician inscription on a fragment of grey-blue limestone found at the Temple of Eshmun in 1901.^[1] It is also known as RES 297.^[2] Some elements of the writing have been said to be similar to the Athenian Greek-Phoenician inscriptions.^[1] Today, it is held in the Museum of the Ancient Orient in Istanbul.^[3]

The inscription reads:


(line 1)		... W’Š]MNYTN BN YTNṢD BN SNR		[... and Esh]munyaton, the son of Yatontsid, (grand)son of SNR,
(2)		... (L’LNM) L]’ŠMN YBRKM		[and ... (more names) dedicated this object to (the god), to] Eshmun. May he bless them!

Bibliography

Lidzbarski, Mark, Ephemeris für semitische Epigraphik, volume II, 54-55
Lagrange, M. J. “NOTES D’ÉPIGRAPHIE SÉMITIQUE.” Revue Biblique (1892–1940), vol. 11, no. 1, Peeters Publishers, 1902, pp. 94–99, https://www.jstor.org/stable/44100617.
Clermont-Ganneau, Dédicace phénicienne à Echmoun provenant de Sidon, Receuil d’Archéologie Orientale 5, 1903, 34-35
Lagrange, M. J. “NOTE SUR LES INSCRIPTIONS TROUVÉES PAR MACRIDY-BEY A BOSTAN-ECH-CHEIKH.” Revue Biblique (1892–1940), vol. 11, no. 4, Peeters Publishers, 1902, pp. 515–26, http://www.jstor.org/stable/44100674.

^ ^a ^b Lagrange, 1902, "4. Muse impérial de Constantinople. Calcaire gris bleu. La pièce est incomplète et difficile à décrire. L'inscription est cassée par devant. L'écriture est normale. Le iod affecte la forme des inscriptions d'Athènes et du Pirée (CIS. 115, 116, 117, 119)"
^ Vogüé, M. de (1905). Répertoire d'Épigraphie Sémitique, Vol 1. Paris: Imprimerie Nationale. pp. 244–245. Retrieved 31 May 2022. (archive.org)
^ Clermont-Ganneau, Dédicace phénicienne à Echmoun provenant de Sidon, Receuil d’Archéologie Orientale 5, 1903, 34-35: “On a transporté, il y a quelque temps, au Musée de Constantinople, un fragment d’inscription phénicienne qui aurait été trouvé parmi les fameuses inscriptions du temple d’Echmoun récemment découvert auprès de Sidon. Le P. Lagrange vient de le publier d’après une simple copie, et seulement en transcription…”