Franleu

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Franleu
Franleu
Le bâtiment de la mairie, au fond de sa cour.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CA de la Baie de Somme
Maire
Mandat
Bertrand Martel
2020-2026
Code postal 80210
Code commune 80345
Démographie
Gentilé Franleusiens
Population
municipale
512 hab. (2021 en diminution de 4,48 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 05′ 56″ nord, 1° 38′ 28″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 90 m
Superficie 8,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-2
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Franleu
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Franleu
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Franleu
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Franleu

Franleu est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. La commune fait aussi partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Franleu est un village picard du Ponthieu proche du littoral de la Manche, situé à 17 km à l'ouest d'Abbeville, à mi-distance entre cette ville et Le Tréport.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

En 2019, Franleu est desservi par la ligne d'autocars no 2 (Mers-les-Bains - Friville - Abbeville) et la ligne no 8 du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 851 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Franleu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,4 %), prairies (13,8 %), zones urbanisées (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Francorum locus en 861 ; Fransleus en 1146 ; Franslues en 1166 ; Franleu en 1175 ; Franlus en 1176 ; Franlues en 1301 ; Francus-locus en 1320 ; Franleux en 1475 ; Franlieu en 1610 ; Fransleux en 1648 ; Fransleu en 1638 ; Francleu en 1696 ; Clanleu en 1701 ; Frans-Leux en 1753 ; Franleuse en 1764[16].

Les érudits du passé, tel dom Grenier, y ont vu un Francorum locus « lieu des Francs »[17].

Il s'agit plus vraisemblablement de l'ancien picard franc + leu « lieu », d'où le sens global « lieu franc » c'est-à-dire « lieu jouissant de franchise »[18],[19]. Cette formation toponymique est analogue à celle de Fransart « terre libre défrichée » dans le même département[18],[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Au XVIIIe siècle, le village de Franleu, du bailliage d'Abbeville, tiers en Ponthieu comptait soixante-dix-huit maisons, mille six cent quinze journaux de terre, relevait du doyenné de Saint-Valery. Valines était sa succursale[réf. nécessaire].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En mai 1825, un incendie ravage plusieurs maisons. Son importance émeut la duchesse de Berry qui adresse 200 francs au sous-préfet d'Abbeville pour soulager les familles les plus éprouvées[20].

En 1828, la communauté des sœurs de la Sainte-Famille d'Amiens bénéficie de dons provenant de Franleu, accordés par un propriétaire d'une part, Sanson de Frière qui lui cède un terrain sur lequel s'élève un bâtiment, et par la fabrique de la paroisse d'autre part, qui lui alloue 1 200 francs[21].

En 1838, la foudre tombe sur l'église et endommagea le clocher.

Seconde Guerre mondiale

Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille d'Abbeville, du 1er au les soldats du 7th Bn Argyll & Sutherland Highlanders se retranchent dans Franleu. Après plusieurs combats dans le village, les Écossais réussissent à traverser l’encerclement allemand, au prix de plusieurs victimes dans leurs rangs, et de la mort de plusieurs civils[22].

Un vitrail de l'église signé du maitre-verrier amiénois, Pierre Pasquier rend hommage aux victimes de mai-juin 1940[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Après avoir été chef-lieu de canton de 1793 à 1801, Franleu faisait partie depuis lors du canton de Saint-Valery-sur-Somme[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Abbeville-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Franleu était membre de la communauté de communes Baie de Somme Sud, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, celle-ci fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de la Baie de Somme dont Franleu est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1912 mai 1935 Louis Rasse gauche Victime civile de la guerre 1939-1945[25]
mai 1935 octobre 1947 Joseph Rasse gauche  
octobre 1947 mars 1959 Arsène (Joseph) Rasse gauche  
mars 1959 mars 1989 Pierre Rasse gauche  
mars 1989 mars 2014 Lionel Rasse   Commerçant
mars 2014 En cours
(au 8 octobre 2020)
Bertrand Martel   Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 512 habitants[Note 3], en diminution de 4,48 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
714674696672705720721723691
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
704758771723695647660648665
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
614584561485510457442471481
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
497515571550514523501505513
2015 2020 2021 - - - - - -
536519512------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le maximum de la population a été atteint en 1866 avec 771 habitants.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 269 hommes pour 272 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,49 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,1 
6,2 
75-89 ans
11,1 
18,6 
60-74 ans
14,2 
21,3 
45-59 ans
19,9 
17,8 
30-44 ans
18,0 
15,1 
15-29 ans
18,8 
20,9 
0-14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département de la Somme en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
6,4 
75-89 ans
9,2 
16,9 
60-74 ans
17,8 
19,9 
45-59 ans
19,1 
18,3 
30-44 ans
17,5 
19,4 
15-29 ans
18,1 
18,4 
0-14 ans
16,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Jusqu'en juin 2019, la commune faisait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), géré par un syndicat intercommunal à vocation scolaire, (SISCO), qui regroupait les écoles de trois communes : Franleu, Ochancourt et Valines.

En 2019, un nouveau RPI est créé, associant les communes de Boismont, Franleu, Mons-Boubert et Saigneville. À la rentrée de septembre, deux classes de maternelle seront à Mons-Boubert, les autres communes accueilleront une classe élémentaire. La communauté d'agglomération Baie de Somme attend 110 enfants à la rentrée de septembre. Un service de repas pour le midi sera mis en place dans chaque collectivité[33]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La mairie est non loin de l'église. Contrairement à beaucoup d'autres villages, ce n'est pas une grande place qui les sépare mais une petite rue.
  • Église Saint-Martin[34],[35],[36] :
    L'église était autrefois plus vaste et comportait deux bas-côtés ; celui du nord n'existe plus. L'édifice est principalement en pierre. Son chevet à cinq pans est en brique. Il a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2014[37]
  • Monuments dans le périmètre de l'ancien cimetière
    Comme partout ailleurs, le cimetière d'origine entourait autrefois l'église. Depuis le transfert imposé par l'administration préfectorale et pour suivre les recommandations relatives à l'hygiène, le cimetière actuel se trouve à la sortie du village, en direction de Campagne et de Quesnoy-le-Montant.
    • Tombes subsistant près de l'église : Les seules tombes sont celles de Benoît Alexandre Gabriel de Bonijol du Brau (décédé le 21 mars 1887, à 77 ans) et de Jeanne Gabrielle Josèphe Marie de Bonijol du Brau (décédée le 10 juillet 1906, à 30 ans). Des écus sont accolés.
    • Croix sur fût de pierre : Une grande croix remarquable, en pierre, est formée d'un fût cylindrique, monolithe, sur un pied qui passe du cylindre à l'octogone.
    • Tombes militaires : L'autre entrée (face à la mairie) permet d'accéder directement, à gauche, aux tombes des soldats britanniques morts pour la libération de la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Les 28 stèles sont dressées sur deux lignes, contre la clôture nord du périmètre de l'ancien cimetière, face à l'église.
    • Monument aux morts et stèle :
      Juste à l'entrée principale avec ses quelques marches, sur la gauche et un peu en avant des deux tombes restées, se dresse le monument aux morts, dédié aux soldats et civils tués lors des deux guerres mondiales. Il est de facture assez sobre et décoré d'une simple et très classique Croix de guerre 1914-1918 qui le surmonte.
      Sur la droite, près du chevet de l'église, une stèle dédiée à la mémoire des anciens combattants d'Algérie, de Tunisie et du Maroc fut inaugurée le 11 novembre 2004.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Les seigneurs successifs, dont les noms nous sont parvenus sont

* 1256 : Eustache de Franleu, chevalier

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • « Gazette franleusienne de l'EPJE », numéro de 2004 (Brochure d'une douzaine de pages, éditée par l'association Entente-Plaisir-Jeunesse-Espoir, 2 numéros parus)
  • Bulletin municipal (2 numéros parus : 2006 et 2007)
  • Archives communales de Franleu

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Franleu », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Franleu et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 398 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Abbé E. Caron, Histoire de Saint-Valery, extrait consultable en ligne.
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 302b - 303a.
  19. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, p. 1490, n° 27049 (lire en ligne)
  20. L'ami de la religion et du roi, tome 46, page 253 consultable en ligne.
  21. Bulletin des lois, consultable en ligne.
  22. Benjamin Radeau, « Bataille en 1940. Des dessins d'écoliers en attendant une nouvelle plaque à Franleu : Des Écossais périssaient à Franleu (Somme) en juin 1940. Une cérémonie devant révéler une nouvelle plaque a été annulée à cause de la Covid-19. Les écoliers ont pris le relais », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Vitraux commémoratifs des deux guerres mondiales », Patrimoine des églises, Le Petit patrimoine en Pays de Somme (consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. a b c et d « Liste des "Morts pour la France" de Franleu », sur le site Mémorial - Morts pour la France - Somme (consulté le ).
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 15..
  27. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Franleu (80345) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
  33. Matthieu Herault, « Un nouveau regroupement d’écoles entre Boismont, Saigneville, Franleu et Mons-Boubert : La communauté d’agglomération Baie de Somme a entériné la création du nouveau regroupement pédagogique intercommunal de Boismont, Franleu, Mons-Boubert et Saigneville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La fermeture des écoles de Boismont et Saigneville avait été évitée en 2018 au prix d’un projet de regroupement pédagogique intercommunal (RPI) regroupant les écoles de Boismont, Franleu, Mons-Boubert et Saigneville : jeudi 27 juin, la communauté d’agglomération Baie de Somme a officiellement entériné la création du fameux RPI ».
  34. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Franleu, d'après nature, 4 juillet 1850 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  35. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Franleu : 2e vue, d'après nature, 16 novembre 1881 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. Culture.gouv.fr pour accès en ligne à quatre photos anciennes sur verre de l'église.
  37. « Église Saint-Martin », notice no PA80000079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.