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User:Albacore60/sandbox/sandbox2

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Albacore60/sandbox/sandbox2
OccupationArchitect

Biographie[edit]

Architecte néo-classique et baroque roumain, Niculae Gheorghe Socol est originaire de Transylvanie, en l'Autriche-Hongrie[1], natif du village de Berivoiul-Mare [ro][c 1], dans le pays de Făgăraș, il s'établit en Valachie (Roumanie) à Ploiești entre vers 1840-1846[a 1] · [d 1] · [a 2]. Il a fait ses études d'Architecture à Vienne[a 3] · [d 2]. C'est en 1846 qu'il commence sa carrière d'architecte maître d’œuvre[2]. Après avoir quitté l'Empire Austro-hongrois pour la Roumanie, dès son arrivée à Ploiești, il changera son nom pour Nicolae G. Socolescu, afin d'épouser les consonances roumaines. Il sera l'un des principaux architecte bâtisseur du comté de Prahova au milieu du XIXème siècle. Il est mort en 1872[3] et est enterré dans la cour de l'église Sfântul Spiridon, à Ploiești.


Généalogie[edit]

La famille Socol de Berivoiul-Mare [ro], anciennement partie du territoire de Făgăraș ou Pays de Făgăraș est une branche de la famille Socol de Munténie (Muntenia), qui habita dans le județ de Dâmbovița. Un Socol, grand boyard et gendre de Michel Ier le Brave (1557-1601), avait deux fondations religieuses dans le județ de Dâmbovița, encore existantes, celles de Cornești et Răzvadu de Sus [ro]. Il fit construire leurs églises (ainsi qu'une autre église dans la banlieue de Târgoviște). Ce boyard fut marié à Marula, fille de Tudora din Popești, sœur du Prince Antonie-Vodă. Marula fut reconnue par Mihai Viteazul comme sa fille illégitime, issue d'une liaison extra-maritale avec Tudora. Marula est enterrée dans l'église de Răzvadu de Sus, où, sur une dalle de pierre[4] richement sculptée, son nom peut être lu.

Nicolae Iorga, le grand historien roumain et ami de son fils Toma T. Socolescu, a trouvé des ancêtres Socol[b 1] · [b 2]parmi les fondateurs de la Ville de Făgăraș. Vers 1846, cinq frères Socol viennent en Munténie, depuis Berivoiul-Mare, dans le territoire de Făgăraș, où le nom de famille Socol est très répandu.

{{citation}}: Empty citation (help)[a 4] · [d 3].

L'un de ces cinq frères est le maître architecte Nicolae Gh. Socol (?? - décédé en 1872). Il s'installa à Ploiești vers 1840-1845 et se nomma Socolescu. Marié avec Iona Săndulescu, issue de la banlieue Sfantu Spiridon, il eut une fille (décédée en bas âge) et quatre garçons[a 5] · [d 4], d'entre lesquels deux grands architectes : Toma N. Socolescu et Ion N. Socolescu [ro].

Arbre généalogique
Nicolae Gh. Socol (18??-1872) architecteIoana Săndulescu
Alexandrina Nicolau (1860-1900)Toma N. Socolescu (1848-1897) architecte en chef de PloieștiNicolae N. Socolescu négociant en boisGhiță N. Socolescu artiste-peintre, décédé lors de ses études supérieuresIon N. Socolescu [ro] (1856-1924) architecte
Florica Tănescu (1887-1969)Toma T. Socolescu (1883-1960) professeur-architecteFlorica T. SocolescuSmaranda T. SocolescuIoan T. SocolescuCoralia-Ioana-Margareta T. Socolescu
Mircea Socolescu (1907-1978) installé en France en 1945, marié sans enfantsToma Gheorghe Barbu Socolescu (1909-1977) architecteIrena Gabriela Vasilescu (1910-1993) artiste peintre, professeur
Mihai Ștefan Marc Socolescu (1942-1994) professeurMaria Lois (1942-2021) professeur
Laura Socolescu (1967) installée en France - docteur ès sciences et professeur de tango


Œuvre architecturale[edit]

L'époque à laquelle Socol s'installe en Valachie correspond à volonté politique et culturelle, très largement partagée dans le pays, de rapprochement de l'occident et d'éloignement de la culture orientale. Une véritable volonté d'assimilation des valeurs occidentales infusait toute la société roumaine. L'architecture en a évidemment été l'une des expressions les plus visibles. Ainsi, la demande de constructions de style néo-classique ou baroque, architectures, en vogue en Europe occidentale, a rapidement pris le dessus sur les autres[5]. Appliquant les concepts et le style appris lors de ses études d’architecture viennoises, les œuvres de Socol sont néo-classiques et néogothiques mais aussi éclectiques[c 2]. Il sera le premier architecte roumain installé à Ploiești, et ayant pratiqué 30 ans l'architecture dans la région dès 1840[a 6] · [d 5]. La plupart des architectes exerçant en Roumanie à l’époque étaient étrangers[6], souvent de Transylvanie, et peu atteignaient le niveau des architectes étrangers amenés par les princes et souverains de l'époque[a 3] · [d 2]. Il faut rappeler que la première formation en architecture dans le pays ne date que de 1864, par la création de la section d'Architecture au sein de l’École des Beaux-Arts, une section crée par l'architecte Alexandru Orăscu[a 7] · [d 6]. L'architecte a répondu à une forte demande d'occidentalisation et aussi de transformation des auberges traditionnelles (hanul) en maison plus confortable avec étage, voire en hôtels haut de gamme. Il a par ailleurs construit de nombreux magasins et boutiques des marchands de Ploiești. Il fut l'un des fondateurs et constructeur de l'église Sfântul Spiridon, dans le faubourg proche du centre de la ville, où il a vécu[c 3].

Constructions à Ploiești[edit]

  • La maison familiale située dans le faubourg de Ploiești dénommé Sfântul Spiridon[a 8] · [d 7] · [c 3], vers 1846. Elle sera détruite lors de la construction des Halles Centrales [ro] dans les années 1930[b 3].
  • L’hôtel Europa, à l'origine boutiques au rez-de-chaussée et appartements d'habitation à l'étage[a 9] · [d 8] · [c 3], construit par les frères Radovici, personnages qui ont joué un rôle politique de premier plan à l'époque : Alexandru G. Radovici, homme politique d'envergure nationale fut député, sénateur, maire de Ploiești, mais aussi ministre de l'industrie et du commerce et vice-président de la chambre des députés avant 1914, pour finir Directeur de la Banque Centrale pendant la guerre[d 9] · [7], et son frère le Dr. Ioan G. Radovici[d 10]. Rénové plus tard et ré-haussé d'un étage et mansarde par son petit fils Toma T. Socolescu avant 1914, Il sera très endommagé par les bombardements américains de 1944[8], mal reconstruit, puis finalement détruit dans les années 1960-70 par les communistes pour faire place au palais administratif.
  • L'hôtel Victoria, sur lastrada Romană, qui fut un temps propriété de Tane et Panait Tănescu[a 10] · [d 11].
Hotel Carol, vers 1926.
Hotel Carol, vers 1926.
L'hôtel Victoria vers 1937.
L'hôtel Victoria vers 1937.
L'hôtel Europa dans les années 1930.
L'hotel Europa dans les années 1930.
Les hôtels de Niculae Gh.Socol.
  • Le palais de la famille Bărcănescu ou palatul Bărcănescu dans la commune de Bărcâneşti[a 3] · [d 2].
  • L'auberge d'Hagi Petre Buzilă ou hanul Hagi Petre Buzilă, en 1858[a 11] · [d 12]. L'ancien Tribunal s'y installera en novembre 1860 en louant ses locaux[a 12] · [d 13]. Elle fut bombardée en 1944 puis détruite immédiatement après la guerre[9] · [10].
  • L'auberge d'Hagi Niţă Pitiși, en 1857[a 13] · [d 14], au croisement de la calea Câmpinii[11] et de la strada Romană. Elle est du même style que l'auberge Hagi Petre Buzilă[a 11] · [d 12]. En 1937, Toma T. Socolescu fait un descriptif du maître de maison[a 14] · [d 15] :
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    Le bâtiment a disparu[12] depuis les années 30, période où il existait encore.
  • Une grande maison de boyard pour le commissaire Panaiote Filitis[a 15] · [d 16], situé calea Câmpinii[11]. Maison qu'il restaurera aussi plus tard pour le nouveau propriétaire : Dumitru D. Hariton, maire de Ploiești de mai 1892 à août 1894[a 3] · [d 2]. La bâtisse a été démolie depuis.
  • Un magasin abritant plusieurs boutiques, situé à l'intersection de la calea Romană et la calea Câmpinii[11] pour Hagi Petre Buzilă, vers 1852[a 6] · [d 5]. Son petit-fils Toma T. Socolescu décrira son architecture 70 ans plus tard dans on ouvrage L'architecture à Ploiești, étude historique :
    {{citation}}: Empty citation (help)[a 6] · [d 5].
    La moitié sera détruite ultérieurement pour une autre construction. Il n'existe plus de nos jours.
Auberge de Hagi Niţă Pitiși.
Auberge de Hagi Niţă Pitiși.
Auberge de Hagi Petre Buzilă.
Auberge de Hagi Petre Buzilă.
Auberge de Hagi Petre Buzilă, aile.
Auberge de Hagi Petre Buzilă, aile.
Les auberges de Niculae Gh.Socol.

Constructions hors de Ploiești[edit]

Mairie de Câmpina vers 1900, anciennement demeure de Zaharia Carcalechi.
Mairie de Câmpina vers 1900, anciennement demeure de Zaharia Carcalechi.
  • A Câmpina, la maison Zaharia Carcalechi, originaire de Brașov, journaliste et éditeur. Elle deviendra plus tard, en 1877, la mairie de Câmpina[a 3] · [d 2]. Restaurée par son fils Toma N. Socolescu vers 1880[c 1], elle était située à l'intersection de l'avenue Doftanei[13], et du boulevard central de la ville, le boulevard Carol I[14]. Elle fut démolie et une autre mairie fut construite sur le même lieu, en 1922[15].
  • De nombreux immeubles à Târgoviște[a 3] · [d 2].

Œuvres attribuables[edit]

L'absence d'archives et de traces écrites au XIXème siècle rend difficile l'attribution de certaines œuvres. Malgré le travail de Toma T. Socolescu, dans son étude historique sur l'architecture de Ploiești, et en particulier ses recherches, vers 1937, dans les archives du tribunal de la ville ainsi que dans celles de la mairie[a 16], afin de retrouver des éléments probants sur les constructions anciennes, il n'existe pas toujours d'actes ou de documents probants indiquant l'architecte ou le constructeur. L'auteur, fin connaisseur de l'architecture roumaine depuis le XVIIème siècle, a donc fait une analyse du style des bâtiments et s'est reposé sur des témoignages de descendants[a 3] · [d 2].

Hanul Călugăru.
Hanul Călugăru.

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Nous pouvons ainsi lister les œuvres attribuées à Nicolae Gheorghe Socolescu par Toma T. Socolescu :

  • L'hôtel Moldavia, issu de la transformation d'une auberge de poste pour la famille de Nica Filip, toujours sur pieds en 1937[a 17] · [d 17].
  • L'hôtel de luxe Carol Palace après transformation de la demeure du Dr I. Radovici[a 18] · [d 18]. Situé à l'intersection des strada Unirii et strada Romană. Il a été détruit par les communistes dans les années 80 pour faire place à l'extension du nouveau bâtiment des télécommunications, ce dernier sera à son tour abandonné dans les années 1990[16].
  • La maison Petrache Filitis[a 3] · [d 2], sur la calea Câmpinii[11], au croisement de la strada Carpați, devenue plus tard celle de N. Rășcan. Dégradée au fil du temps par une succession d'évènements tragiques : le tremblement de terre de 1940, les bombardements américains de 1944, puis la dépossession avec les communistes, elle finira comme la plupart des maisons non entretenues ni consolidées par les communistes : détruite dans les années 1980[17].
  • L'église Sfântu Spiridon dans le faubourg du même nom qu'il habitait[a 3] · [d 2]. L'église a été consacrée le 11 décembre 1854[a 1] · [d 1].
  • Une rangée de boutiques pour P. P. Panţu, anciennement propriétés d'Hagi Jecu, dont les façades ont été transformées ultérieurement[a 3] · [d 2].
  • Deux bâtiments qui auraient été construits par Nicolae Socol et son fils Toma N. Socolescu sur la strada I. G. Duca (devenue Romană), la première au coin avec la strada Negustori, ayant boutiques au rez-de-chaussée, et la seconde une petite maison d'habitation sur la même rue I.. G. Duca au n° 108. Sur leur frontispice, sont dessinés les deux lions retrouvés dans d'autres édifices de l'époque, le tout dans un style néo-classique délicat[a 19] · [d 19]. La première maison située désormais au coin des strada Romană et de la strada Ştefan Greceanu, est toujours visible, il s'agit de l'auberge Călugăru ou hanul Călugăru. L'aile située strada Romană est bien reconnaissable[a 20] · [d 20], avec sa grille d'entrée inchangée depuis l'origine, même si le fronton de l'entrée des charrettes et carrosses a été défiguré. Cette construction serait donc la seule encore existante et reconnaissable aujourd'hui à Ploiești, réalisée par Niculae Gheorghe Socol.

Héritage[edit]

Influencé par les styles classiques et baroques autrichiens qu'il a pu observer à Vienne, Nicolae G. Socolescu reste un architecte néo-classique. En Roumanie, dans le monde de l'architecture, il sera parmi les premiers architectes roumains actifs, au XIXe siècle. Il participera au mouvement de modernisation du pays dans l'architecture et la construction civile. Comme les architectes de son époque, tous formés en Europe de l'ouest, il transmettra au pays ce qu'il a vu et appris lors de son séjour à Vienne. Un style qui était d'ailleurs très prisé par les commerçants de Prahova, ses principaux clients, avides eux-aussi de s’occidentaliser et désireux de se détacher de l'influence orientale et en particulier de celle de l'ancien protecteur : l'empire ottoman, dont le pays était en train de se libérer totalement. Socol a marqué Ploiești de son style pendant près de 100 ans (1846 à 1944), et son art était encore bien présent jusqu'en 1970.

La quasi-totalité de ses œuvres ont été malheureusement détruites ou radicalement transformées au fil du temps, et des évènements tragiques qu'a dû traverser la Roumanie. La construction des halles Centrales (1935-1936) a d'abord nécessité la destruction de certaines de ses œuvres. Mais ce sont les bombardements américains de 1944 qui détruiront une partie substantielle de ses réalisations, alors debout pour la plupart d'entre-elles. Enfin, la systématisation communiste donnera le coup de grâce et effacera la presque totalité des traces visibles de son travail architectural. Seul persiste[12] le bâtiment de l'ancienne auberge Călugăru, à Ploiești.

Socol a toutefois posé les fondations de l'activité créatrice et novatrice de ses descendants : Toma N, Ion N. puis Toma T. Socolescu. Son aisance financière a aussi été un marchepied pour ses deux fils qui ont repris le flambeau de l'architecture : Ion N. Socolescu et Toma N. Socolescu et marqueront profondément l'architecture roumaine.

Magasin d'Hagi Petre Buzilă.
Magasin d'Hagi Petre Buzilă.
Plan du magasin d'Hagi Petre Buzilă.
Plan du magasin d'Hagi Petre Buzilă.
Les boutiques de Niculae Gh.Socol.

Sources[edit]

  • (in French) et (in Romanian) Archives de la famille Socolescu (Paris, Bucarest) dont un fonds photographique.
  • (in Romanian) Manuscrits des Mémoires, Amintiri, de Toma T. Socolescu, écrits entre 1949 et 1959.
  • (in Romanian) Manuscrits de Fresca arhitecților care au lucrat în România în epoca modernă 1800 - 1925 de Toma T. Socolescu, écrits entre 1949 et 1954.
  • (in Romanian) Arhitectura în Ploești, studiu istoric[18], étude historique de Toma T. Socolescu sur la ville de Ploiești, imprimeur : Cartea Românească, Bucarest, Préfacé par Nicolae Iorga, 1938, référence : 16725, 111 pages.
  • (in Romanian) Fresca arhitecților care au lucrat în România în epoca modernă 1800 - 1925[19], {Toma T. Socolescu, Editura Caligraf Design, Bucarest, 2004, 1 vol., 209 pages.
  • (in Romanian) Monografia orașului Ploești, Mihail Sevastos, Editura : Cartea Românească, Bucarest, 1938, 1 vol., 905 pages.
  • (in Romanian) Documents officiels des institutions roumaines, dont le journal officiel roumain (Monitorul Oficial).
  • (in Romanian) Bibliothèque de l'université d'architecture et d'urbanisme Ion Mincu[20].
  • (in Romanian) Bibliothèque Centrale Universitaire Carol I de Bucarest[21].
  • (in Romanian) Lucian Vasile, historien, expert et chef de bureau à Institut d'enquête sur les crimes du communisme et la mémoire de l'exil roumain, Président de l'Association pour l'éducation et le développement urbain [22], habitant originaire de Ploiești et auteur du site spécialisé sur la ville et son histoire : Republica Ploiești.
  • (in Romanian) Gabriela Petrescu, architecte à Bucarest, auteur d'une thèse de doctorat : ARHITECŢII SOCOLESCU 1840-1940 - Studiu monografic, dédiée aux architectes Socolescu, publiée à l'Université d'architecture et d'urbanisme : Ion Mincu, 2014, 330 pages. La thèse est disponible à l'UAIM - Résumé de la thèse de Gabriela Petrescu.

Bibliographie[edit]

Liens externes[edit]

  • (in Romanian) RepublicaPloiesti.net est un site spécialisé sur l'histoire architecturale de la ville de Ploiești. Il contient de nombreuses photographies de la ville prises entre le début du XXe et 1945. Plusieurs œuvres de Toma T. Socolescu y sont présentées.
  • (in Romanian) Association pour l'Education et le Développement Urbain. Association ayant pour objectifs : la préservation et la mise en valeur du patrimoine urbain, l'organisation d'activités éducatives et culturelles dans le domaine de l'histoire, du développement durable et de la protection des droits de l'homme.
  • (in Romanian) Atunci și acum Blog permet de comparer, sur plusieurs villes roumaines, des vues de rues et de maisons d'hier et d'aujourd'hui.
  • (in English) et (in Romanian) Historic Houses of Romania. Un site de référence sur les plus belles demeures roumaines, réalisé par Valentin Mandache, expert du patrimoine architectural historique roumain. Une version roumaine existe aussi : Case de Epoca.
  • (in Romanian) Trois sites roumains consacrés essentiellement à l'histoire et l'architecture de l'ancien Bucarest :
- Bucureștii Vechi și Noi
- locuri în București...și istorii despre ele
- Unknown Bucharest
- Liste officielle des monuments historiques de Roumanie : Lista Monumentelor Istorice, 2015.
- Liste officielle des monuments historiques de Prahova : Lista Monumentelor Istorice Prahova, 2015.
- Liste officielle des monuments historiques de Bucarest : Lista Monumentelor Istorice București, 2015.

Notes et références[edit]

  • (a) (in Romanian) Toma T. Socolescu, Arhitectura în Ploești, studiu istoric[18], Editura : Cartea Românească, Bucarest, Préfacé par Nicolae Iorga, 1938, référence : 16725, 111 pages.
  1. ^ La Transylvanie en faisait alors partie.
  2. ^ Gabriela Petrescu, ARHITECŢII SOCOLESCU 1840-1940 - Studiu monografic, Université d'architecture et d'urbanisme : Ion Mincu, 2014, page 25.
  3. ^ (in Romanian) Enciclopedia Cugetarea de L. Predescu, pages 792-793, édition de 1940.
  4. ^ (in Romanian) Inscription de la croix située sur la pierre tombale de Răzvadu de Sus : {{citation}}: Empty citation (help), d'après la version roumaine faite par G.D. Florescu en 1944 à partir de la version originale en slavon : « A răposat roaba lui Dumnezeu Marula clucereasa jupanului Socol fost mare clucer, fiică a răposatului Io Mihai Voevod și a jupînesei Tudora la anul 1647 în zilele lui Ion Matei Basarab voevod în luna decembrie 17 zile spre al zecilea ceas din noapte crugul solar temelia 21. »
    (in Romanian) FLORESCU, G.D., "Un sfetnic al lui Matei Basarab, ginerele lui Mihai Viteazul", în Revista istorică română, XI–XII, 1941-1942, pages 88 et 89.
  5. ^ (in Romanian) Johann Schlatter: cultură occidentală şi arhitectură românească (1831-1866), Horia Moldovan, 2013, Ed. Simetria, 260 pages, 326 illustrations, ISBN 978-973-1872-26-1 - Disponible à la bibliothèque De l'université d'Architecture Ion Mincu sous la référence III 5369 Lien direct.
  6. ^ Gabriela Petrescu, ARHITECŢII SOCOLESCU 1840-1940 - Studiu monografic, Université d'architecture et d'urbanisme : Ion Mincu, 2014, page 24 - {{citation}}: Empty citation (help)
  7. ^ Alexandru G. Radovici fut Maire de mai 1898 à mai 1899, puis président de la commission intérimaire de février à avril 1901; Ion N. Radovici de juin 1876 à juin 1877.
  8. ^ (in Romanian) Lucian Vasile, site Republica Ploiești, Ploiești, septembre 2012 - Hotel Europa.
  9. ^ Lucian Vasile, site Republica Ploiești, Ploiești, août 2009 - Cladirile Primariei din Ploiesti
  10. ^ Lucian Vasile, Orașul sacrificat. Al Doilea Război Mondial la Ploiești, Asociatia pentru Educatie si Dezvoltare Urbana, Ploiești, 2014 (ediția I), 1 vol., 336 pagini, ISBN: 978-973-0-17576-9 - Referințe ale cărții disponibile pe site-ul magazinului Republica Ploiești - Page 336 : photo du bâtiment juste après les bombardements américains de 1944.
  11. ^ a b c d e Devenue le Bulevard Republicii.
  12. ^ a b En 2022.
  13. ^ dénommée alors allée Telegii, puis I.C Brătianu.
  14. ^ (in Romanian) Historique et photographies sur le site de Câmpina TV - Câmpina, România 100. Casa Carcalechi, de ieri, primul sediu al Primăriei Câmpina, aceeaşi zonă în zilele noastre.
  15. ^ (in Romanian) Informations et photographies sur le site de Câmpina TV - S-a întâmplat în Câmpina, de-a lungul timpului, la data de 17 octombrie et Câmpina, România 100. Primăria din perioada interbelică, blocurile de astăzi. Autres informations sur le site de la mairie de Câmpina - photographie de la mairie après 1922.
  16. ^ (in Romanian) Lucian Vasile, site Republica Ploiești, Ploiești, janvier 2011 - Histoire de l’Hôtel Carol : Palatul Telefoanelor - Informations et photos complémentaires sur les pages suivantes :
  17. ^ (in Romanian) Lucian Vasile, site Republica Ploiești, Ploiești, janvier 201 - Photographies et histoire de la dégradation de la maison Rășcan : Inapoi pe Calea Campinii.
  18. ^ a b c Traduction : l'Architecture à Ploiești, étude historique.
  19. ^ traduction : Fresque des architectes qui ont œuvré en Roumanie à l'époque moderne de 1800 à 1925.
  20. ^ (in Romanian) Bibliothèque de l'université d'architecture et d'urbanisme Ion Mincu.
  21. ^ (in Romanian) Bibliothèque Centrale Universitaire Carol I de Bucarest (Biblioteca Centrală Universitară Carol I).
  22. ^ (in Romanian) Asociația pentru Educație și Dezvoltare Urbană CV de Lucien Vasile.
  23. ^ Traduction : Mémoires.
  24. ^ L'œuvre est consultable :
  25. ^ traduction : Fresque des architectes qui ont œuvré en Roumanie à l'époque moderne de 1800 à 1925.
  26. ^ L'œuvre est consultable :
  27. ^ Le livre est disponible :
  28. ^ traduction : Monographie de la ville de Ploești.
  29. ^ La monographie est disponible :
  • (b) (in Romanian) Toma T. Socolescu, Manuscrits et livre : Amintiri[1], Editura Caligraf Design, Bucarest, 2004, 1 vol., 237 pages.
  1. ^ Cite error: The named reference Amintiri was invoked but never defined (see the help page).
  • (c) (in Romanian) Toma T. Socolescu, Manuscrits et livre : Fresca arhitecților care au lucrat în România în epoca modernă 1800 - 1925[1], Editura Caligraf Design, Bucarest, 2004, 1 vol., 209 pages.
  1. ^ traduction : Fresque des architectes qui ont œuvré en Roumanie à l'époque moderne de 1800 à 1925.
  • (d) (in Romanian) Mihail Sevastos, Monografia orașului Ploești, Editura : Cartea Românească, Bucarest, 1938, 905 pages.


  • Autres notes et références :


Catégorie:Architecte roumain Catégorie:Architecture néo-classique Catégorie:Décès en 1872
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