Jump to content

User:EmyP/List of Psalters

From Wikipedia, the free encyclopedia

List of Psalters that need adding to Wikipedia (as per the Psalter article)

[edit]
Significant / Illuminated psalters
  1. Canterbury Psalter, 1147
  2. Salaberga Psalter
  3. Psalter of Lothaire
  4. Stavelot Psalter
  5. Bosworth Psalter
  6. Aethelstan Psalter
  7. Codex Vossanius
  8. Heidelberg Psalter
  9. Vatopedi Psalter
  10. Theodore Psalter: external, 1066, at the British Library
  11. Eadui Psalter
  12. Tiberias Psalter
  13. Vitellius Psalter
  14. Shaftesbury Psalter
  15. Camaldoli Psalter
  16. Gough Psalter
  17. London Psalter
  18. Psalter of Lambert de Bègue
  19. Grandisson Psalter: article and digitisation at the British Library
  20. Huth Psalter
  21. Oscott Psalter
  22. Alphonso Psalter
  23. Rutland Psalter
  24. Psalter of Robert de Lindesey
  25. De Lisle Psalter
  26. St. Omer Psalter
  27. Ormesby Psalter
  28. Vienna Bohun Psalter
  29. Burnet Psalter: external at University of Aberdeen
  30. Potocki Psalter, 13th century
  31. KBR MS 9296 - psalter? "Marguerite d’York exécutant les sept œuvres de miséricorde. Benois seront les misericordieux. Le Maître du Girart de Roussillon, enlumineur, Bruxelles (?), vers 1468. Parchemin, 213 f., 375 × 267 mm, 2 miniatures à mi-page. Bruxelles, KBR, ms. 9296, f. 1. Comme l’indique le prologue (f. 1 vo-2), Nicolas Finet, chanoine de Cambrai et aumônier de Marguerite d’York, a traduit ce texte ascétique à partir d’un original latin de la chartreuse d’Hérinnes, près d’Enghien, à peu près à l’époque où il a écrit, pour la même commanditaire, un traité intitulé le Dialogue de la duchesse de Bourgogne à Jésus Christ (Londres, BL, ms. Add. 7970) et enluminé dans le même atelier. Dans la première miniature du Benois seront les misericordieux (f. 1), divisée en huit parties, Marguerite d’York, le Christ à ses côtés, accomplit les sept oeuvres de miséricorde : distribuant du pain à des pauvres, offrant à boire à un pèlerin, vêtant un homme nu, offrant l’hospitalité, parlant à des prisonniers, visitant un malade et assistant à un enterrement. Dans le compartiment inférieur le plus à droite, elle s’agenouille à un prie-dieu décoré de ses armoiries. Les différentes scènes sont délimitées par de fines baguettes dorées, aux intersections desquelles figurent les armes de Bourgogne ainsi que les initiales C et M, pour Charles le Téméraire et son épouse. Ces initiales situent la réalisation du livre entre le mariage de Marguerite avec le duc, en juillet 1468, et la mort de Charles dans les plaines de Nancy, en janvier 1477. Comme l’a démontré de façon convaincante Scot McKendrick, le fait que Marguerite soit évoquée dans le prologue en tant que soeur du roi Édouard VI d’Angleterre et femme de Charles le Téméraire, plutôt que comme duchesse de Bourgogne, suggère que la réalisation du codex suit de peu leur mariage. Au folio 17, Marguerite d’York est une nouvelle fois représentée en prière devant un livre ouvert posé sur un prie-dieu . Émergeant d’un dragon, derrière Marguerite, se trouve sa sainte patronne et homonyme. Les deux femmes sont séparées du paysage environnant par un double muret. Les quatre Pères de l’Église complètent la scène : saint Grégoire au premier plan, coiffé de la tiare papale, saint Jérôme accompagné du lion, saint Augustin portant le coeur perforé trois fois et enfin saint Ambroise et sa ruche. Les quatre saints désignent une église, que les chercheurs ont rapidement identifiée comme la collégiale Sainte-Gudule, à Bruxelles. Commencée par son extrémité orientale en 1226, la nef date du xve siècle. Les étages supérieurs ont été édifiés vers 1475, époque à laquelle les fenêtres extérieures des chapelles latérales ont été coiffées de pignons triangulaires percés de grands trèfles. En 1480, seules les parties supérieures de la tour nord restaient inachevées. Dans la miniature, la tour sud semble plus haute que la tour nord, les pignons des nefs latérales sont absents et la partie supérieure des arcs-boutants en claire-voie manque toujours. On peut en déduire que l’église représentée, évocation symbolique peut-être de la Jérusalem Céleste, remonte à la fin des années 1460 ou au début des années 1470. L’autre église, placée sur la gauche, serait Notre-Dame du Sablon et le paysage urbain sur la droite pourrait être la ville de Bruxelles avec, au centre, la tour de l’Hôtel de Ville, mais l’image n’est pas assez détaillée pour que ces identifications soient certaines. Il peut n’y avoir là que des allusions imagées aux cités céleste et terrestre de saint Augustin. L’exécution picturale homogène des deux miniatures laisse en tout cas peu de doute sur leur attribution à l’atelier responsable des Livres du roy Modus et de la royne Ratio (Bruxelles, KBR, ms. 10218-19) et du Ci nous dit (Bruxelles, KBR, ms. 9017). La description de Marguerite d’York dans le prologue et l’état de l’église Sainte-Gudule de Bruxelles invitent à dater le manuscrit des environs de 1468. --> BNF Expo page
Printed psalters
  1. Psalterium Romanum, 1457 [Mainz], Johann Fust and Peter Schöffer. The first printed psalter.[1] - Currently redirects to https://en.wikipedia.org/wiki/Latin_Psalters#Roman_Psalter
  2. Psalterium Benedictinum, 1459 [Mainz], Johann Fust and Peter Schöffer. The second printed psalter.[2]

Others

[edit]

References

[edit]
  1. ^ Margaret Stillwell, The Beginning of the World of Books: 1450 to 1470, New York, 1972, no. 18.
  2. ^ Margaret Stillwell, The Beginning of the World of Books: 1450 to 1470, New York, 1972, no. 27.

Last updated:

[edit]

EmyP (talk) 14:34, 20 December 2013 (UTC)