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Sfhsfhwdf/sandbox
CountryFrance
ArrondissementArrondissement de Vesoul (chef-lieu)
CantonVesoul-1 et Vesoul-2 (chef-lieu)
Population
Template:Dernière population commune de France
Time zoneUTC+01:00 (CET)
 • Summer (DST)UTC+02:00 (CEST)
INSEE/Postal code

Vesoul (prononcé traditionnellement Template:MSAPI[1]) est une commune du Grand Est de la France, préfecture du département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté et chef-lieu de cantons et d'arrondissement. La ville est aussi le siège de la communauté d'agglomération de Vesoul et du pays de Vesoul et du Val de Saône. Commune la plus peuplée et la plus dense de Haute-Saône, Vesoul intra-muros compte Template:Nombre en 2013. Son aire urbaine totalise Template:Nombre, ce qui fait d'elle la plus importante du département. Ses habitants sont appelés Vésuliens.

Établie sur la colline de la Motte, la cité a été fondée peu avant le premier millénaire, sous le nom de Castrum Vesulium, au centre de plusieurs anciens camps romains. Siège d'une vicomté puis capitale d'un bailliage, la ville appartient successivement au Saint-Empire romain germanique puis aux Habsbourg, avant d'être rattaché à la France au 17th century. Vesoul devient rapidement, au fil des siècles, un bourg fortifié, une place commerciale, un centre judiciaire, une cité religieuse et va jusqu'à acquérir des fonctions administratives et politiques, plaçant son importance au niveau national.

Classée « Cité Patrimoine », la ville possède un quartier historique doté d'une architecture distinctive, représentée par de remarquables monuments médiévaux, modernes et contemporains. Pourvue d'un riche patrimoine naturel, la commune bénéficie de sites protégés d'intérêt, en associant plaines, collines et plans d'eaux, conférés par un microclimat et des situations géologiques et topographiques notables. La ville compte une inspection académique, de nombreux établissements culturels de qualité ainsi que plusieurs instituts d'enseignement supérieur réputés.

Capitale européenne de la logistique automobile, Vesoul est le centre mondial des pièces détachés du constructeur PSA Peugeot Citroën. Disposant de chambres consulaires et de vastes zones d'activités, la ville est l'un des principaux pôles commerciaux et industriels de la région. Immortalisée par une chanson de renommée internationale de Jacques Brel, la ville de Vesoul a reçu de multiples labels qui témoignent de l'investissement qu'elle apporte à sa vie commune et de ses progrès économiques et technologiques.

Géographie

Localisation

Template:Carte avec géolocalisation

Vesoul et son agglomération.

Vesoul est situé dans le Grand Est de la France, à environ une centaine de kilomètres de la Suisse et de l'Allemagne, entre le massif jurassien et le massif vosgien. La ville se trouve au centre du département de la Haute-Saône, dans le nord de la région Bourgogne-Franche-Comté. La commune est également localisée au cœur du pays de Vesoul et du Val de Saône, structure géographique composée de paysages variées dont essentiellement des zones urbanisées, boisées et vallonnées[M 1].

À vol d'oiseau, la ville est distante de Template:Unité de Lure et de Luxeuil-les-Bains, de Template:Unité de Besançon, de Template:Unité de Nancy et de Template:Unité de la capitale Paris. Il est aussi à noter que Vesoul se trouve quasiment au milieu d'un segment Dijon-Mulhouse ; ces deux communes étant distante de 90 kilomètres de Vesoul en distances orthodromiques[2]. Ses coordonnées géographiques sont 47°61'97 de latitude Nord et 06°15'42 de longitude Est.

La commune de Vesoul fait partie du pôle métropolitain Centre Franche-Comté, entité constituée des plus grandes unités urbaines de la partie centrale de la Franche-Comté[3]. Comprise dans l'Espace urbain Est, l'agglomération de Vesoul ne se trouve qu'à quelques dizaines de kilomètres au nord de l'axe diagonal de la métropole Rhin-Rhône, espace métropolitain multipolaire européen[4].

Template:Centrer Template:Localisation ville

Hydrographie

Vesoul est traversée par quatre cours d'eau : les rivières du Durgeon et de la Colombine et les ruisseaux de la Méline et de la Vaugine. Ils sont des affluents et sous-affluents de la Saône, la cinquième rivière la plus grande de France, longue de Template:Unité[5] et qui coule à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Vesoul[6]. La ville totalise plus de Template:Nombre de berges de rivière.

Le Durgeon, affluent de la Saône, traverse le centre-ville d'est en ouest, depuis le nord de la commune, et représente la frontière entre Vesoul et Noidans-lès-Vesoul[7]. La Colombine, affluent du Durgeon, franchit également le centre-ville d'est en ouest, mais coule depuis l'est de Vesoul. Le confluent de ces deux dernières rivières s'effectue à l'extrême sud-ouest du territoire vésulien, dans une zone urbanisée[8] · [9]. La Vaugine, également affluent du Durgeon, traverse uniquement une petite zone au nord de la ville[10]. La Méline, affluent de la Colombine, passe dans la partie extrême sud-ouest du territoire vésulien pour rejoindre la Colombine[11].

Un [[lac de Vesoul - Vaivre|lac de plus de Template:Unité]] est situé dans l'agglomération ouest de Vesoul. C'est un lac artificiel qui a été creusé de 1976 à 1978 et qui est contourné par un sentier de Template:Nombre[A 1].

Il est également à noter la présence de deux sites naturels importants liés au réseau hydraulique de l'agglomération : la Font de Champdamoy et le Frais-Puits, qui forment l'un plus grands réseaux d'eau immergés d'Europe.

Géologie

Carte de Vesoul.

La ville est placée sur une zone appelée « Plateaux jurassiques de Vesoul », localisée au sud de la dépression sous-vosgienne et au nord des faisceaux des Avant-Monts et des collines préjurassiennes[N 1] · [N 2].

La commune de Vesoul est majoritairement élevée sur des formations du Toarcien de la période du Lias (dont le gisement de schiste bitumineux de Haute-Saône[12]), cependant le plus ancien étage géologique du sous-sol vésulien est le Domérien, partie supérieure de l'étage du Pliensbachien (il y a environ Template:Nombre d'années). L'agglomération vésulienne est traversée par plusieurs failles[13].

La colline de la Motte, qui occupe toute la partie centrale de la ville, est constituée de différentes roches sédimentaires qui sont délimités par les quartiers des Haberges à l'ouest, du Grand Grésil à l'est, du Montmarin au nord et du centre-ville au sud. La première couche est composée de calcaires marneux du Domérien, la deuxième est caractérisée par des schistes bitumineux du Toarcien inférieur, la troisième est constituée de marnes micacées et bleues du Toarcien moyen et supérieur et la dernière couche est formée de calcaires et de marnes sableuses du Toarcien supérieur et de l'Aalénien. Des schistes bitumineux sont également présents au quartier des Rêpes. Les quartiers sud de Vesoul et, en partie, les quartiers Est, arrosés par le Durgeon et la Colombine, sont composés d'alluvions fluviatiles de l'Holocène. Toute la zone nord/nord-ouest/nord-est du territoire communal est caractérisée par des limons du Cénozoïque[13].

Reliefs

La Motte, colline surplombant Vesoul.

Le territoire vésulien, s'étendant sur Template:Unité[14], est situé sur un site géographique naturel relativement particulier : la commune est dominée sur plus de Template:Unité par la Motte, colline de calcaire située au centre de la ville, dont le sommet est à Template:Unité d'altitude, point culminant de Vesoul[15] · [A 2]. En effet, c'est sur cette colline que la cité s'est d'abord établie. Par la suite, Vesoul s'est étendu en contrebas, au sud de la Motte, puis tout autour, dans les vallées du Durgeon et de la Colombine[15], dans un demi-creux topographique d'une altitude moyenne d'environ Template:Unité à Template:Unité ; l'altitude minimale de la commune est de Template:Unité[14]. Les secteurs sud et est de l'agglomération sont composées de collines tandis que les zones nord et ouest sont constituées de plaines[16] · [6].

La ville de Vesoul est entourée par plusieurs collines, présentant ainsi une hétérogénéité topographique : le plateau de Cita au sud (Template:Unité d'altitude)[17], le camp de César au sud-ouest, (Template:Unité d'altitude)[P 1] et le plateau du sabot de Frotey à l'est (Template:Unité d'altitude)[P 2], trois sites occupés dès la Préhistoire.

Le site topographique de la commune a représenté une situation adaptée pour la fondation et le développement de la cité notamment sur le plan militaire et économique.

Risques naturels

Une inondation au centre-ville de Vesoul en 2009.

La ville est soumise à différents risques naturels à chaque saison, dû à sa situation géographique.

Le risque des mouvements de terrains existe dans l'agglomération vésulienne. Les principaux types sont l'affaissements et les effondrements liés aux nombreuses cavités souterraines de l'agglomération de Vesoul, les glissements de terrain (notamment sur les pentes de la Motte) et les tassements différentiels. Il est à noter qu'une partie importante du territoire de Vesoul présente des risques de retrait-gonflement des argiles[18].

La commune a connu une douzaine d'inondations et de coulées de boues entre 1982 et 2015, déclarées comme étant des « catastrophes naturelles ». Certaines années, le Durgeon peut être soumis à des crues, qui causent par la suite des inondations. Les plus importantes crues à Vesoul ont survenu dans le Durgeon, en octobre 1999 et en novembre 2000.[19].

Au niveau de la sismicité, la ville se Vesoul se trouve en zone de sismicité modérée, ce qui signifie que le risque de séisme n'est pas négligeable[20].

Vesoul, comme pour d'autres villes françaises, peut être touché par des risques météorologiques importants comme des vents violents (Template:Unité), des précipitations continues (Template:Unité), des chutes de neige (Template:Unité) ou encore des orages violents et des pluies verglaçantes[18].

Climat

Le climat à Vesoul est de type semi-continental[21]. La ville de Vesoul à l'atout de disposer d'un microclimat, dû notamment à sa situation topographique. Ainsi, ce site naturel fait effet de « régulateur thermique »[22].

Template:Climat

Template:Météo France

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Transports et communications

Grâce à sa situation géographique, la ville de Vesoul est reliée, par des systèmes de transport et des voies de communication, aux plus grandes villes de l'Est de la France et des pays limitrophes.

Gare SNCF de Vesoul.

Les transports routiers constituent le principal moyen de transport dans la commune. Vesoul est situé à la croisée de deux grands axes routiers qui sont reliés par un échangeur routier : les routes nationales N 57, axe nord-est/sud raccordant Metz à la Suisse et N 19, axe nord-ouest/est reliant Paris à Belfort[A 3] ; cette dernière voie est fréquentée chaque jour par plus de Template:Nombre au niveau des quartiers du Montmarin et du Grand Grésil[23]. L'agglomération n'est actuellement pas desservie par l'autoroute, cependant, un projet d'autoroute a été annoncé : la construction de l'A319 afin de relier Langres à Vesoul[N 3]. L'autoroute la plus proche est l'A36, située à environ Template:Unité au sud de Vesoul. De plus, l'agglomération de Vesoul est composée de plusieurs radars automatiques.

Situation routière et ferroviaire de Vesoul, en Franche-Comté.

Les transports ferroviaires représentent une autre possibilité pour se déplacer entre Vesoul et d'autres communes. La gare SNCF de Vesoul[24], mise en service le 22 février 1858, est située sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville et est desservie par des trains Transport express régional Franche-Comté[25]. Elle est équipée d'un pôle d'échanges multimodal moderne. La gare de Franche-Comté TGV est localisée à environ Template:Unité au sud de Vesoul, sur la ligne à grande vitesse Rhin-Rhône[B 1]. Deux anciennes lignes ferroviaires (Besançon-Viotte à Vesoul et Vaivre à Gray) sont localisées au sud de la ville. De 1910 à 1938, la ville était desservie par plusieurs lignes des chemins de fer vicinaux de Haute-Saône, un ancien réseau de chemin de fer secondaire à voie métrique et traction vapeur[26]. La gare des tramways départementaux de Vesoul était le siège des chemins de fer vicinaux et gérait plusieurs centaines de kilomètres de lignes[27].

En matière de transport aérien, la ville dispose de l'aérodrome de Vesoul - Frotey, accessible aux avions de tourisme et d’affaires. Rénové en 1989, il possède des équipements de qualité dont une piste goudronnée de Template:Unité et des locaux spacieux[28]. L'aéroport international le plus proche de Vesoul est celui de Dijon, situé à Template:Unité. L'EuroAirport, quant à lui, est localisé à Template:Unité de la ville[29]. Enfin, les aéroports de Paris sont aisément accessibles par la ligne de chemin de fer Paris Est desservant Vesoul.

La rocade de Vesoul.

L'agglomération de Vesoul compte près de Template:Unité d'aménagement cyclable, répartis en cinq grands axes qui permettent aux cyclistes de se déplacer dans les axes nord-sud et est-ouest[A 4]. Deux voies vertes, balisées avec des indications kilométriques, franchissent l'agglomération de Vesoul : le Chemin vert (Template:Unité)[30] et la Trace du Courlis (Template:Unité)[31], qui sont reliées par les pistes et bandes cyclables de l'agglomération.

Concernant les transports en commun de bus, la commune dispose du réseau d'autobus « VBus+ », mis en place dans les années 1990. Doté de quatorze véhicules Mercedes-Benz Citaro, il est utilisé, annuellement en moyenne, plus d'un million de fois et totalise près de Template:Unité parcourus dans l'agglomération[32]. Plus de Template:Nombre et poteaux d'arrêt du réseau VBus+ sont répartis dans Vesoul et son agglomération. La ville est aussi desservie par les Lignes saônoises, réseau de bus départemental qui gère de nombreuses lignes passant à Vesoul[33]. Livéo assure quant à lui la liaison avec Besançon.

Plus de Template:Nombre de stationnement sur parking sont présentes au centre-ville de Vesoul. Jusqu'à janvier 2010, Vesoul était l'une des seules préfectures à ne pas être pourvue de parking payant, politique encouragée par l'ancien maire Alain Joyandet[34].

Urbanisme

Morphologie urbaine

Quartiers

La ville est divisée en plusieurs quartiers. Parmi les zones les plus importantes, on trouve notamment le centre historique du Vieux-Vesoul, la zone urbaine sensible du Montmarin, la zone de services des Haberges… Les différents secteurs de la ville sont dotés de maisons de quartier[A 5].

Liste des quartiers de Vesoul
Quartier Date de
construction
Superficie Nombre
d'habitants
Vieux-Vesoul - Centre-ville 15th century-19th century 50 hectares Template:Nombre
Saint-Martin 19th century 20 hectares Template:Nombre
Quartier du Boulevard 1880-1950 80 hectares Template:Nombre
Les Rêpes 1957-1961 85 hectares Template:Nombre
Grand Montmarin 1967-1973 45 hectares Template:Nombre
Grand Grésil Années 1970 10 hectares Template:Nombre
Quartier du Stade Années 1980 45 hectares Template:Nombre
Lotissements ouest Années 1980 10 hectares Template:Nombre

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Tissu urbain

La place du palais de justice, située à l'Est du centre ancien.

On remarque quatre principales époques de développement urbain à Vesoul[35].

Vesoul s'est tout d'abord établi et développé durant le Moyen Âge, sur la colline de la Motte. La cité n'est alors qu'un château fort portant le nom de Castrum Vesulium et son enceinte occupe une bonne partie de la butte. Puis, du 15th century au 17th century, les premières habitations formant un quartier historique majoritairement tracé en plan milésien et constitué de rues étroites, ont commencé à se construire derrière les murailles du château, au pied de la Motte[E 1]. Au début du 17th century, plusieurs bâtiments importants sont édifiés à l'extérieur de la cité, c'est ainsi que trois faubourgs naissent et se développent tout autour du centre ancien jusqu'au 19th century : le faubourg Saint-Martin à l'ouest, le faubourg Haut à l'est et le faubourg Bas au sud[L 1] · [H 1].

Du 18th century aux années 1850 correspond à la deuxième phase d'urbanisation : des immeubles sont édifiés à la périphérie du Vieux-Vesoul. Les rues aménagées étaient plus larges et des places spacieuses voient le jour.

De 1860 à 1939, la ville double sa surface bâtie en construisant de nouveaux quartiers tout autour de l'hôpital Paul-Morel, de la gare, ainsi que dans le quartier du Boulevard, qui est composé principalement de constructions datant de la fin du 19th century aux années 1930.

La dernière époque d'urbanisation de la ville se fait de la Seconde Guerre mondiale à aujourd'hui. Après la guerre, l'essor démographique est important, de nouvelles zones s'urbanisent : de larges boulevards et une rocade viennent cerner la ville et des quartiers sortent de terres autour de la colline de la Motte. Principalement dans les années 1960-1970, des quartiers majoritairement composés de grands ensembles et de lotissements, sont construits : Les Rêpes (1957 à 1961), Montmarin (1967 à 1973)[36], Grand Grésil (années 1970)… Par la suite, plusieurs zones d'activités sont aménagées à la périphérie de la ville : Espace de la Motte (milieu des années 1970), Technologia (fin des années 1990), Les Haberges (début des années 2000)[A 6] · [A 7].

Vesoul est aujourd'hui la ville-centre d'une agglomération composée de Template:Nombre[M 2] et d'une aire urbaine comprenant Template:Nombre[M 3]. Les habitations des communes de Noidans-lès-Vesoul, d'Échenoz-la-Méline et de Navenne sont accolées à celles de Vesoul.

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Voies urbaines et ponts

La place de la République.

La ville se compose de nombreuses voies de circulation dont certaines présentent un intérêt historique, géographique ou même architecturale.

La rue Paul-Morel est la rue principale parcourant le centre-ville de Vesoul du nord au sud à l'image du cardo maximus dans les grandes métropoles anciennes. Anciennement appelée rue Carnot, la rue Paul-Morel est prolongée au nord par la rue d'Alsace-Lorraine, dont les habitations sont majoritairement composée d'arcades. Le centre ancien est également constitué de rues étroites, larges que de quelques mètres, comme la rue de Mailly et la rue du Châtelet. La rue du Breuil, quant à elle, est la seule rue uniquement piétonne du centre-ville. La majorité des rues du centre-ville datent du 18th century telles que la rue Saint-Georges et la rue des Boucheries. D'autres rues anciennes peuvent faire l'objet d'une mention comme la rue Baron-Bouvier, la rue Georges-Genoux et la rue du docteur Gevrey[L 2].

De vastes places représentent le patrimoine urbain de la ville, qui sont en général accompagnées de fontaines ou d'autres éléments ornementaux. La place de la République, qui portait auparavant le nom de place Neuve, était initialement un jardin clos qui a été aménagé en place en 1818. Les places qui ont été aménagés avant le 19th century sont la place de l'Église, la place du Grand-Puits et la place du Palais[L 3].

Du fait qu'elle soit traversée par de multiples cours d'eau, Vesoul compte de nombreux ponts et passerelles réparties dans toute la ville. Le plus historique est le pont de Pontarcher, vestige de l'ancienne route royale datant de 1730[E 2]. On peut également mentionner le pont du Durgeon, appelé autrefois pont de l'hôpital ou encore la passerelle Meillier, installée en 1891.

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Architecture

Template:Galerie détaillée

Pierres calcaires de l'hôtel Thomassin, édifice du centre ancien.

Hétérogène au cours du Moyen Âge, l'architecture vésulienne commence à se développer de façon uniforme à partir du 16th century[B 2].

Le principal matériau avec lequel a été construit la majorité des édifices du centre-ancien est la pierre calcaire oolithiques, une pierre de couleur beige et bleue-grise provenant de carrières situées à proximité de Vesoul. Cette pierre calcaire a été imposé au 16th century pour l'édification des bâtiments dans le but de les rendre plus résistants aux nombreux incendies que subissait la cité pendant cette époque. Une devise latine a été gravée sur un porche, rappelant cette volonté de rendre les édifices plus résistants et de les faire perdurer : « Moderata durant », qui signifie « ce qui est modéré dure »[B 2].

Les bâtiments anciens de la ville sont dotés de divers éléments d'architecture. Au 17th century, afin d'acquérir plus de lumière à l'intérieur des habitats, des grandes baies vinrent remplacer les fenêtres à meneaux. Également, la plupart des maisons de la vieille ville sont constitués de tuiles vernissées et de grilles d'entrée et de fenêtre en fer forgé[B 2]. Quelques demeures du centre ancien sont aussi constituées d'arcades comme la maison Barberousse, ainsi que de passages, appelés « treiges », qui permettent de passer d'une rue à une autre[E 3].

Certains styles architecturaux se démarquent de plusieurs immeubles du Vieux-Vesoul comme l'architecture classique, néo-byzantine et gothique. Durant la Belle Époque, des édifices art moderne, art nouveau et Art déco s'élèvent à proximité du centre-ville. La commune en compte plusieurs comme le bâtiment de la caisse d'épargne, situé place Rénet[E 4] · [B 2].

Logement

La ville compte de nombreux quartiers majoritairement composés de logements sociaux. Le nombre total de logements dans la commune en 2009 était de 9,206 dont Template:Nombre (soit 90,7 %), Template:Nombre et logements occasionnels (soit 1,9 %) et Template:Nombre (soit 7,3 %)[D 1]. La ville comptait Template:Nombre et Template:Nombre en 2009, alors qu'elle totalisait Template:Nombre et Template:Nombre en 1999[D 2]. Les quartiers les plus pourvues en logements sont le Vieux-Vesoul (Template:Nombre) et le Montmarin (Template:Nombre).

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était en 2009, de 31,6 %, en légère augmentation par rapport à 1999 (30,7 %)[D 3]. La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 30,4 % en 1999 et de 31,7 % en 2009[D 4]. Sur les Template:Nombre habitant la commune en 2009, Template:Nombre vivent à Vesoul depuis moins de deux ans, Template:Nombre depuis deux à quatre ans, Template:Nombre depuis cinq à neuf ans, et Template:Nombre depuis plus de dix ans[D 5].

Concernant le nombre de pièces des résidences principales, 623 en ont une soit 7,5 %, 1,631 en comptent deux ce qui représentent 19,5 %, 2,192 en abritent trois soit 26,2 %, 2,079 en totalisent quatre soit une part de 24,9 % et 1,827 en comptent plus de cinq, soit un taux 21,9 %[D 6].

Projets d'aménagements

Le site de l'hôpital Paul-Morel.

La ville de Vesoul à mis en place plusieurs projets d'opérations de rénovations et de réhabilitation, depuis les années 2000. L'un des principaux est la réhabilitation et le réaménagement du site de l'ancien hôpital Paul-Morel, bâtiment désormais désaffecté. En octobre 2008, le conseil municipal de Vesoul décide d'y créer une zone d'aménagement concerté ; elle est baptisée zone Paul-Morel. La reconversion de ce site de Template:Unité se traduira par la création de plus de Template:Nombre et des emplois tertiaires pour un total d'environ Template:Unité de surface construite, tout en favorisant la protection de l'environnement[B 3]

Parmi les grands projets d'urbanisme, la commune s'est également lancée dans la construction et la réhabilitation de plusieurs centaines de logements de deux quartiers importants. Le premier est le Montmarin dont les travaux ont débuté en 2009 pour un coût total s'élevant à €10200000 et le deuxième et le Vieux-Vesoul dont les travaux de plus de coût €2600000 ont commencé en 2015[37].

Histoire

Toponymie

La place de l'église Saint-Georges.

Une première mention écrite de la ville la désigne par le terme de Castrum Vesulium (en latin, Castrum signifie « fortification » et Vesulium vient de « montagne ») en 899. Au cours des siècles, la cité connaît de multiples changements de nom dont Vesullum et Visulium, pour prendre le nom de Vesoul en 1242[38]. Plusieurs explications ont été données sur l'origine du nom de Vesoul, l'une des plus significatives cite la racine celtique ves (montagne, élévation), remarquable également sur le nom de Mont Vésuve. Vesoul est donc un loin dérivé de « montagne » en référence à la Motte, colline où s'est établie et développée la ville[E 5].

Selon le savant Éloi Johanneau, le nom de Vesoul est composé des mots gaéliques : bez (construction), nez (tombeau) et houl (soleil), soit littéralement « tombeau du soleil »[39] · [F 1].

D'après une autre explication, Vesoul viendrait du mot tudesque besul, qui signifie pointu, en référence à la forme conique de la colline de la Motte[F 2].

Préhistoire

  • Premières traces d'habitat

Certaines traces et empreintes confirment que Vesoul et son agglomération ont été occupés durant la Préhistoire. Des objets laissés par les populations certifient que des hommes ont fabriqué et utilisé des outils dans la région vésulienne, pendant les différents l'âges préhistoriques.

Des objets préhistoriques, principalement des outils, ont été retrouvés sur les différents flancs de la colline de la Motte. Aussi, autour de Vesoul, des objets ont été découverts au camp de César et au plateau de Cita[17], deux sites situés au sud de la ville qui ont fourni de nombreux restes d'armes de pierres préhistoriques. Le dolmen de la Pierre-qui-Vire, un mégalithe situé à Template:Nombre à l'est de Vesoul, est daté entre 3,500 et 3,300 Template:Av JC[F 3]. Dans la grotte de la Baume, localisée au sud de Vesoul, un outillage lithique moustérien a été trouvé démontrant ainsi une occupation continue de tous les niveaux du Würm ancien. Dans la galerie sud de la cavité naturelle, une occupation de l'âge du bronze final III a également été démontrée[40].

Antiquité

Durant l'époque gallo-romaine, un petit campement s'est établi sur la colline de la Motte et plusieurs voies romaines passe sur ce site. Des archéologues ont découvert sur cette butte, des dizaines d'objets datant de l'Antiquité, dont des monnaies et des médailles à l'effigie des premiers empereurs romains. Certaines zones de l'agglomération de Vesoul telles que le camp de César, le plateau de Cita et le plateau de Frotey étaient également occupées durant cette période de l'histoire[F 4] · [41]. Le territoire de l'actuelle ville de Vesoul appartenait au peuple gaulois des Séquanes, qui avaient en leurs possessions un secteur compris entre le Rhône, la Saône, le Jura et les Vosges[42].

Reproduction du Castrum Vesulium, le château de Vesoul au Moyen Âge.

Lorsque les Romains ont colonisé la Séquanie, ils ont été marqués par les avantages défensifs que donnait la colline de la Motte et y construisent un fortin militaire. À cette époque, le territoire de Vesoul appartient au pagus Colerensis, qui avait pour chef-lieu Corre et qui s'étendait de la Vôge jusqu'aux portes de Besançon[L 4] · [F 5]. À la fin de la domination romaine, le chef-lieu du pagus est transféré à Port-Abucin et se renomma alors pagus Portuensis, puis prit le nom, plus tard, de comté de Port[F 6] · [43].

Moyen Âge

En 899, le premier document historique évoquant l'actuelle ville de Vesoul est attesté. À cette époque, c'est un important lieu fortifié nommé Castrum Vesulium (château de Vesoul), établi sur la Motte[G 1] · [F 6] · [39]. Ce château fut érigé par les comtes de Portois, qui ont délaissé Port-sur-Saône afin de fuir à la menace des guerres féodales[E 6]. Vesoul est ainsi devenu l'un des principaux bourgs du comté de Port, comté qui est devenu par la suite, avec la fusion de trois autres, le comté de Bourgogne. En 988, le château connut l'un de ses premiers sièges, effectué par le duc Henri Template:Ier de Bourgogne et le comte Lambert de Chalon[F 7].

En 1333, Vesoul devient capitale du Bailliage d'Amont.
  • Siège de vicomté

Certainement reconnue comme une place importante et stratégique, Vesoul fut érigé en vicomté au début du 11th century par le comte palatin Otte-Guillaume[F 8] · [G 2]. En 1019, le premier vicomte de Vesoul est mentionné : il s'agit de Gislebert Template:Ier, seigneur de Faucogney[L 5] · [F 9] · [39]. À la mort de Rodolphe III, en 1032, Henri II du Saint-Empire hérite de ses biens bourguignons et c'est ainsi que, Vesoul, comme tout le comté de Bourgogne, est rattaché au Saint-Empire romain germanique. En 1092, le vicomte de Vesoul Gislebert II fonde le prieuré du Marteroy, monastère qui deviendra, quelques siècles plus tard, l'un des plus considérables du comté de Bourgogne grâce aux multiples donations de bourgeois[L 6] · [39] · [G 3]. Le premier maire de l'histoire de Vesoul est élu en 1140[F 10]. En 1183, la comtesse Béatrix reconnut, par acte, tenir le château de Vesoul comme fief de l'Église de Besançon[F 11].

À la fin du 13th century, la famille noble qui fut subvenu au prévôt prit le nom de famille de Vesoul. Au 14th century, la cité vésulienne apparaît comme une place commerciale importante, fréquentée par de nombreux commerçants juifs arrivés dès 1306 et notamment les Héliot, riche famille de banquiers qui a des clients en France et dans de nombreux autres territoires en Europe[44] · [F 12]. En 1333, le bailliage d'Amont, le plus vaste des bailliages de Franche-Comté, est institué par Philippe VI de France ; Vesoul en devient la capitale, confirmant ainsi son statut de ville à vocation administrative[6] · [F 13]. La vicomté de Vesoul disparaîtra au 14th century, étant donné que la maison de Faucogney n'eut pas de descendant mâle[F 14] ; le dernier vicomte de Vesoul était Henry de Faucogney, en 1347[F 15] · [G 4].

  • Les hostilités de la guerre de Cent Ans

En 1348, la peste noire se répandit sur l'ensemble du comté et l'épidémie tua de nombreuses personnes à Vesoul. Des Juifs sont accusés d'empoisonnement des puits de la ville ; par la suite, quatre-vingt Juifs de Vesoul furent torturés[F 15]. En 1360, des Écorcheurs décimèrent la quasi-totalité de la population et en 1369, une troupe d'Allemands détruisit la cité : en l'espace d'une dizaine d'années, le bourg a subi de lourds dégâts et perdit une bonne partie de sa population mais le château Castrum Vesulium est toujours debout. À la suite de ces événements, les ducs de Bourgogne aidèrent à la reconstruction de la cité et à l'élaboration de fortifications militaires[G 5] · [F 16] · [L 7]. Le prince Philippe le Bon créé à Vesoul, en 1430, un corps d'échevinage composé de quatre échevins[F 17] · [G 6]. En 1442, Jean Sardon, lieutenant général du bailliage d'Amont, fonde sur ses terrains l'hôpital de Vesoul[L 8] · [F 18] · [G 6]. En 1479, le Castrum Vesulium est lourdement assiégé par les troupes de Charles Template:Ier d'Amboise, général de Louis XI[G 7] · [F 19].

Temps modernes

Vesoul en 1615 - Dessin d'Étienne Martellange.

À la Renaissance, plus précisément en 1493, la Franche-Comté appartient à l'Empire germanique des Habsbourg d'Espagne[G 8]. En 1525, l'archiduchesse d'Autriche ordonne à son procureur de mettre Vesoul sous les armes pour repousser l'apparition du protestantisme à Vesoul[L 9] · [G 9]. Par lettres patentes du 16 avril 1540, l'empereur Charles Quint érigea la ville de Vesoul en mairie et la fit bénéficier de tous les rangs de la justice[G 10] · [H 2]. En 1557, la population de la cité est d'environ Template:Nombre[45]. En 1586, la peste apparaît dans le bourg et décima une part importante de la population vésulienne[G 11] · [H 3].

  • La destruction de la forteresse et la conquête française

Le 17 janvier 1595, Henri IV de France déclare la guerre à l'Espagne et envahit la Franche-Comté. En février de la même année, il attaque plusieurs cités franc-comtoises. Certaines parviennent à résister mais Vesoul est assiégé et considérablement dévasté par une armée de 5,000 à Template:Nombre : le château Castrum Vesulium, qui surplombait la cité depuis plusieurs siècles, est totalement détruit. Les épidémies et les sièges dévastant Vesoul se sont révélés tragiques puisqu'en l'espace de dix ans, la population de la ville a diminué considérablement[G 11] · [H 3].

À la suite d'un pacte de neutralité conclu entre la province de Franche-Comté et le royaume de France en 1611, un temps de paix s'installe dans la ville. Au début du 17th century, de nombreux religieux s'installent à Vesoul et c'est ainsi que trois couvents sont édifiés, durant ce siècle[H 4] · [G 12] · [6]. Dans un mémoire de 1613, la cité est qualifiée de « petite bourgade dénuée de forteresse »[G 12] · [H 3] et recense, en 1614, Template:Nombre[45]. De 1635 à 1644, se déroule la guerre de Dix Ans, épisode comtois de la guerre de Trente Ans, qui oppose la France aux Habsbourg d'Espagne. Cet événement provoqua dans la cité, la peste, la famine mais surtout une grande misère[H 5] · [E 7]. Très affaiblit, la ville est assiégée le 11 mars 1674[46], par le duc de Navailles, général de Louis XIV[G 13] · [H 6]. Le traité de Nimègue, signé le 10 août 1678, rattache la ville de Vesoul de même que toute la Franche-Comté, au royaume de France. L'incorporation de la Franche-Comté à la France sous le pouvoir de Louis XIV a permis de mettre fin à de nombreuses guerres et pillages. À la suite de l'annexion, la cité garda tout de même son administration municipale et son rôle de capitale du bailliage d'Amont[47] · [G 14] · [H 2]. En 1688, la population de la ville s'élève à environ Template:Nombre[47]. Louis XIV dota la ville d'une maîtrise particulière des eaux et des forêts (1692) et d'un présidial (1696)[H 7] · [L 10].

Vesoul au 17th century.
  • Une période de paix et de développement

Le 18th century offre une ère de prospérité à la ville ainsi qu'à tout le département, tant sur le plan démographique qu'économique. Avec une population doublée en l'espace d'une soixantaine d'années (de Template:Nombre en 1716, à Template:Nombre en 1784)[45], Vesoul connait l'une des plus importantes croissances de son histoire. Durant le cours du 18th century, la ville suscitera l'attention de quelques médecins et auteurs grâce à l'émergence des eaux minérales des Rêpes, situées proche de l'actuel quartier des Rêpes[L 11] · [48]. L'édification, pendant ce siècle, d'hôtels particuliers et de bâtiments publics dans la cité attestent d'une certaine prospérité. La construction du palais de justice (1765-1771) et la venue de plusieurs dizaines de magistrats et d'avocats réputés permit à Vesoul de se forger une importante renommée en matière judiciaire[G 15] · [B 4]. Au 18th century, Vesoul est avant tout un centre agricole qui associe le commerce des grains, des bois et des animaux, grâce notamment à l'organisation des multiples marchés et foires[47] · [E 8].

Époque contemporaine

Vesoul en 1881 - Gravure de Charles Barbant à partir d'un dessin de Hubert Clerget.
  • Vesoul, ville administrative et commerciale

À la suite de la suppression des bailliages de Franche-Comté en 1790, la ville perd son titre de capitale du bailliage d'Amont qu'elle avait acquis au cours du 15th century. En 1791, la ville devient siège de la circonscription ecclésiastique du diocèse de Vesoul. Sous la Révolution, Vesoul se caractérise tel un bourg de taille modeste avec une population de Template:Nombre (1793)[14]. Au début du 19th century, la principale activité de la commune est la viticulture ; Vesoul est pourvu d'une centaine d'hectares de vigne et est l'un des plus importants centres viticoles de la région[49].

Le 12 mars 1800, la ville de Vesoul devient préfecture de la Haute-Saône, notamment grâce à sa position géographique centrale dans le département[50]. Classé « Bonne ville » sous le Premier Empire[51], Vesoul fut, du 27 janvier au 6 juin 1814, capitale d'un État tampon, situé entre la France et l'Allemagne, composé de l'ancienne province de Franche-Comté, du département des Vosges, des principautés de Montbéliard et de Porrentruy[52]. Durant la colonisation de l'Algérie par la France, en 1853, quelques pieds-noirs de Vesoul et de sa région fondent le village de Vesoul-Bénian, située au nord de l'Algérie. En 1857, la chapelle Notre-Dame-de-la-Motte, monument emblématique de la ville, est érigée au sommet de la Motte[53]. En 1858, la gare de Vesoul est inaugurée sur la ligne de chemin de fer Paris-Bâle, plaçant ainsi la ville au centre d'un important réseau ferroviaire[L 12].

Sous la Troisième République (1870-1940), Vesoul voit sa population accroître considérablement (augmentation d'environ 50 %, en passant de Template:Nombre en 1872 à 11,926 en 1936)[14]. À cette époque, Vesoul est le siège de diverses institutions telles que le consistoire israélite de l'Est, dès 1872. À la fin du 19th century, le vignoble de la ville est anéanti par le phylloxéra et les vignerons se dirigent vers les nouvelles industries et les cultures maraîchères[B 2]. Le 27 septembre 1887, le [[11e régiment de chasseurs à cheval|Template:11e régiment de chasseurs à cheval]], composé de plusieurs milliers d'hommes, est installé dans une caserne de Vesoul et y restera près d'une cinquantaine d'années et marqua la ville tant économiquement que démographiquement[54]. Au cours de la Première Guerre mondiale, la ville de Vesoul contribua aux opérations militaires mais ne fut pas attaquées.

Vesoul en 1918.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, la Wehrmacht prend Vesoul le 16 juin 1940. La ville, ainsi qu'une considérable partie de la Franche-Comté, se retrouve en zone réservée ; la ligne de démarcation n'est localisée qu'à Template:Nombre au sud de Vesoul, à la frontière des départements du Jura et du Doubs[55]. Pendant les premières années de la guerre, la résistance à Vesoul s'organise individuellement ; en 1943, elle commença à se former autour d'Yves Barbier, qui sera rapidement considéré comme le chef de la résistance en Haute-Saône[56]. Vesoul est notamment connue durant la guerre pour abriter le Frontstalag 141, le camp de prisonniers de l'Armée allemande pour les indigènes coloniaux de l'armée française[57]. La ville de Vesoul est libérée le 12 septembre 1944 par la [[3e division d'infanterie (États-Unis)|Template:3e division d'infanterie US]][58].

  • L'expansion économique et démographique

Après la guerre, la ville de Vesoul, comme la France entière, connait une prompte croissance ; l'essor démographique de la commune est particulièrement important. En effet, la ville passe de Template:Nombre en 1946, à Template:Nombre en 1975, soit une augmentation de plus de 50 %, en l'espace d'une trentaine d'année[14]. C'est en 1955 que la société Udime (Union des industries métallurgique de l'Est), une filiale de Peugeot, investi dans les bâtisses de l'ancienne usine Dollé, une des plus grandes manufactures françaises de machines agricoles, active de 1908 à 1953. Après la venue d'Udime, de nombreuses autres sociétés s'installèrent et construisirent leurs ateliers sur le site de l'ancienne usine Dollé comme Indenor en 1959, puis Peugeot SA en 1965. C'est ainsi que, dès 1965, plus de Template:Unité d'ateliers s'élevèrent sur le site et l'usine PSA[C 1]. Le rachat de Citroën par Peugeot quelques années plus tard accentua le développement de l'usine[59].

Afin de répondre aux besoins en logements du fort développement démographique, la ville fait construire deux grands quartiers au nord de la Motte, constitués de centaines de logements et destinés à accueillir plusieurs milliers de personnes : Les Rêpes (1957 - 1961) et le Montmarin (1967 - 1973)[36]. Dès 1976, le lac de Vesoul - Vaivre est aménagé sur plus de Template:Unité ; site qui est actuellement le centre d'une vaste zone de loisirs. Durant les trois dernières décennies du 20th century, des zones d'activités d'intérêts sont implantées à la périphérie de Vesoul : Espace de la Motte, Technologia et Les Haberges[A 6].

Au début du 21st century, la ville de Vesoul joue un rôle majeur dans la logistique automobile en Europe, en comptant sur son territoire l'un des plus gros sites du constructeur PSA Peugeot Citroën qui totalisait plus de Template:Nombre en 2003[C 1] · [E 9] et en étant le centre mondial de pièces détachées, ce qui permet à la commune, tant économiquement que socialement, de prospérer[60] · [A 8].

Template:Centrer

Administration et politique

Municipalité

Salle du conseil municipal de la mairie de Vesoul. L'actuel maire de Vesoul est Alain Chrétien (UMP)[A 9], élu en 2014 et qui succéda à Alain Joyandet, ancien secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie. Plusieurs hommes politiques réputés ont occupé la fonction de maire de Vesoul comme Pierre Chantelat, Harold Fachard, Alphonse Noirot, Paul Morel et Antoine de Mailly.

Conformément aux dispositions relatives aux communes peuplées de 10,000 à Template:Nombre, le conseil municipal de Vesoul est formé de trente-trois élus[61]. Constitué de neuf adjoints au maire, le conseil est divisé en quatre groupes : le groupe « Vesoul c'est vous » représente la majorité et est doté d'un effectif de seize membres, le groupe « Vesoul, votre ville » composé de trois personnes et les groupes « changer Vesoul avec vous » et « Vesoul, autrement ! » qui sont chacun constitués de deux membres[A 10].

La mairie de Vesoul est située au numéro 58 de la rue Paul-Morel, dans le centre-ville. La municipalité siège dans ce bâtiment depuis le 29 mai 1938[A 11]. Autrefois, de 1768 à 1938, l'administration municipale exerçait ses activités dans l'hôtel des Salives, situé rue Paul-Petitclerc.

Résultats et tendances politiques

Hôtel de préfecture de la Haute-Saône.

Traditionnellement, l'électorat de la commune est plutôt ancré à droite, tendance prouvée par les résultats des scrutins locaux et nationaux de ces dernières années. Vesoul relève de la première circonscription de la Haute-Saône, qui a majoritairement été représentée au 20th century, par des députés de droite à l'Assemblée nationale[62].

Au référendum sur le traité constitutionnel pour l'Europe du 29 mai 2005, le pourcentage de vésuliens qui ont voté contre la Constitution européenne est de 56,50 %[T 1], alors qu'il est de 63,22 % pour la Haute-Saône[T 2] et 54,67 % pour la France[T 3]. Quant aux taux d'abstention, celui de Vesoul (29,40 %) est sensiblement le même que celui de la France entière (30,63 %).

À l'élection présidentielle de 2007, le taux de participation au premier tour atteint 83,37 % à Vesoul ; Nicolas Sarkozy (UMP) obtient 32,31 % des voix, Ségolène Royal (PS) 28,95 % et François Bayrou (UDF) 15,73 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy obtient 51,42 % des suffrages exprimés et Ségolène Royal 48,58 %[T 4]. Lors de l'élection présidentielle de 2012, le premier tour a vu se démarquer le socialiste François Hollande en tête avec 32,17 % suivis de Nicolas Sarkozy avec 27,69 % et de Marine Le Pen (FN) avec 16,48 %. Lors du second tour, 55,17 % des électeurs vésuliens ont voté pour François Hollande et 44,83 % pour Nicolas Sarkozy[T 5].

Divisions territoriales

Vesoul est la préfecture du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Au niveau cantonal, la ville de Vesoul était le siège d'un unique canton, de 1790 à 1973. En 1973, le canton de Vesoul est scindé en deux pour former le canton de Vesoul-Ouest et le canton de Vesoul-Est[14]. Aujourd'hui, la commune de Vesoul est le chef-lieu du canton de Vesoul-1 et du canton de Vesoul-2, créés à la suite du redécoupage cantonal de 2014[63].

Sur le plan subdépartemental, Vesoul était le chef-lieu du district de Vesoul entre 1790 et 1795. Depuis 1801, la ville est le chef-lieu de l'arrondissement de Vesoul, qui totalise en 2013, Template:Nombre[14].

Communauté d'agglomération de Vesoul
Communauté d'agglomération de Vesoul
Arrondissement de Vesoul
Arrondissement de Vesoul
Canton Code cantonal Population[Note 1] Communes[Note 2]
Template:Infobox Parti politique français/couleurs| Canton de Vesoul-1 70 15 Template:Nombre[M 4] 12[M 5]
Template:Infobox Parti politique français/couleurs| Canton de Vesoul-2 70 16 Template:Nombre[M 4] 13[M 6]

La ville est le siège de la communauté d'agglomération de Vesoul, qui, au Template:1er janvier 2014, compte environ Template:Nombre et réunit Template:Nombre de l'unité urbaine et de l'aire urbaine de Vesoul[M 7]. Cette intercommunalité, nommée à son origine « District urbain de Vesoul », fut institué par arrêté préfectoral le 30 octobre 1969[E 10]. Le 28 décembre 2000, le district urbain de Vesoul fut transformé en communauté de communes[64] et le Template:1er janvier 2012 en communauté d'agglomération[A 12].

En matière de groupement de structure intercommunale, la commune est à la tête du pays de Vesoul et du Val de Saône, territoire qui est constitué de Template:Nombre et possède, en 1999, Template:Nombre[M 1]. L'agglomération de Vesoul fait aussi partie d'un territoire formé afin de favoriser l'intérêt communautaire et la coopération entre grandes unités urbaines : le pôle métropolitain Centre Franche-Comté, englobant plus de Template:Nombre[3].

Instances administratives et judiciaires

Palais de justice.

Grâce notamment à sa fonction de préfecture départementale, la ville est le principal centre de décision du département. La commune dispose de plusieurs instances, dont la majorité est réunie au palais de justice de Vesoul[65].

La ville de Vesoul possède un tribunal de grande instance, un tribunal d'instance, un tribunal de commerce, un tribunal correctionnel, un tribunal de police, un tribunal paritaire des baux ruraux, un tribunal des affaires de Sécurité sociale, un tribunal pour enfants, un conseil de prud'hommes et une cour d'assises. Par ailleurs, la commune dépend du tribunal administratif et de la cour d'appel de Besançon ainsi que de la cour administrative d'appel de Nancy[65].

Vesoul est également le siège de plusieurs organismes départementaux tels que le conseil départemental[66], les archives départementales[67], la chambre de commerce et d'industrie[68] et la chambre d'agriculture de Haute-Saône[69]. La commune est aussi le siège de plusieurs services déconcentrés de l'État dont diverses directions départementales comme celle de la sécurité publique, des territoires ou encore des finances publiques.

Gestion de l'environnement

Des arbres élagués sur la place du Template:11e Chasseurs.

La commune de Vesoul gère son eau, du captage jusqu'à l'assainissement de type non collectif. Plus de Template:Unité de mètres
Unexpected use of template {{3}} - see Template:3 for details. d'eau potable circulent, annuellement, à travers un réseau de Template:Unité afin de desservir environ Template:Nombre de Vesoul et d'une fraction de l'agglomération. L'eau est recueillie à la font de Champdamoy, une des plus grandes ressources en eau captée de Franche-Comté, qui peut fournir jusqu'à Template:Unité par jour. Elle est ensuite traitée dans l'usine des eaux localisée à Quincey, où sont pratiqués annuellement Template:Nombre analysant plus de Template:Nombre et où sortent quotidiennement plus de Template:Unité dirigés vers des réservoirs. Après avoir été consommée, l'eau est dirigée au centre de traitement des eaux usées, située sur la commune limitrophe de Pusey[A 13] · [A 14].

La gestion des déchets est assurée par la communauté d'agglomération de Vesoul, pour Vesoul et les autres communes membres[A 15]. L'agglomération vésulienne est pourvue de deux déchetteries qui sont accessibles aux habitants[A 16]. En 2009, l'intercommunalité a mis en place une filière DASRI (déchets d'activités de soins à risques infectieux)[A 17].

La ville compte environ Template:Nombre d'espaces verts, Template:Nombre, Template:Nombre et Template:Nombre annuelles, qui sont régulièrement entretenus par des agents muncipaux[A 18]. L'éclairage public à Vesoul se compose d'environ Template:Nombre lumineux et Template:Nombre. Plus de Template:Unité de déchets verts sont collectés chaque année à Vesoul.

Jumelages et coopérations

La commune a signé des accords de coopération décentralisée avec deux collectivités territoriales étrangères. Elle est jumelée avec une seule autre ville Gerlingen, en Allemagne et entretient des relations avec la ville de Man, en Côte d'Ivoire. La municipalité de Vesoul favorise les échanges internationaux en aidant financièrement des établissements scolaires vésuliens et les associations locales qui développent des partenariats avec des organismes étrangers[A 19] · [70].

Distinctions

La ville de Vesoul a de nombreuses fois été récompensée pour sa qualité de vie ; de multiples labels régionaux et nationaux distinguent la ville et son patrimoine. La commune s'est également démarquée grâce à des innovations dans différents domaines. En voici une liste non-exhaustive :

Vesoul, ville fleurie.
Cadre de vie et société
  • Élue « Ville la plus sportive de France » en 2001 pour ses actions et sa politique envers le sport[Note 3] · [71].
  • Labellisée « Ville fleurie » 3 fleurs pour la qualité de son patrimoine naturel[72].
  • Labellisée « Ville conviviale et solidaire » en 2015 afin de récompenser le travail de la municipalité, en faveur du lien social du voisinage[A 20].
  • Première commune de Franche-Comté à être labellisée « Qualité Tourisme »[73].
  • Labellisée « Ville Internet » @ en 2013 grâce à sa politique faisant la promotion d'Internet[74].
  • Labellisée « Ville amie des enfants » par l'Unicef en 2006 pour ses actions au profit des enfants[75].
  • Prix du « Ruban Bleu de la sécurité » en 2011 pour l'intercommunalité grâce à sa politique en faveur des aménagements cyclables[76].
  • Deuxième ville de France à avoir engagé une démarche Palme[77].
  • Labellisée « Ville vélotouristique » en 2015, grâce à ses services et à ses équipements pour la pratique du vélotourisme[78].
Patrimoine et écologie
Des jets d'eau au centre-ville.
  • Remise du Prix Territoria de Bronze 2010 dans la catégorie « Aménagement de l'espace public »[79].
  • Classée « Cité Patrimoine de Franche-Comté », grâce à la richesse architectural de son quartier historique[B 5].
  • Labellisée « Collecte QualiTri » en 2012, grâce à sa qualité du service public lié à l'environnement[A 21].
  • Élue « Marianne d'Or » du développement durable en 2010, pour le passage sous la voie ferrée[80].
  • Remise du Template:1er prix du Concours départemental du tri 2011 qui récompense les progrès en matière de collecte sélective[A 22].
  • Classée « Ville Terroir et Patrimoine », opération internationale qui certifie de sa gastronomie et de la richesse de son territoire[81].
  • Victoire d'or des victoires du Paysage 2012 pour la rénovation du lac de Vesoul - Vaivre[82].
Innovations

Population et société

Démographie

Vesoul recensait en 2009, Template:Nombre, étant ainsi la ville la plus peuplée de Haute-Saône, pour une densité de population de Template:Unité. Un pic a été atteint en 1982 avec Template:Nombre[14] · [D 7]. L'unité urbaine et l'aire urbaine de Vesoul figurent parmi les zones les plus importantes de la région avec, respectivement, une population de Template:Nombre[M 8] et de Template:Nombre[M 9], en 2009. La communauté d'agglomération, quant à elle, est la première intercommunalité du département avec une population de Template:Nombre (2009)[M 7]. Le gentilé est Vésuliens et Vésuliennes.

La commune est composée de Template:Nombre, soit 46,23 % de la population totale, et de Template:Nombre, ce qui représente 53,77 % de la population vésulienne, selon le recensement mené en 2009[D 8]. Le nombre de ménages s'élevait, en 2009, à 8,352, alors qu'il était de 8,072, en 1999[D 9]. La ville de Vesoul totalisait en 2007, Template:Nombre dont Template:Nombre venaient d'Algérie, 430 du Maroc, 190 de Turquie, 180 du Portugal, 60 d'Italie et 352 d'autres pays[M 10].

Pendant toute l'époque moderne (1492-1789), Vesoul reste un petit bourg de quelques milliers d'habitants ; il commencera à se développer à l'approche du 19th century.

Historical population of User:Sfhsfhwdf/sandbox
Year15571569161417161784
Population17001810194822254870


Template:Section démographie d'article de commune de France

Enseignement

Siège de l'inspection académique de la Haute-Saône, qui dépend de l'académie de Besançon[85], la ville de Vesoul est pourvue de multiples établissements scolaires d'enseignement primaire, secondaire et supérieur, qui totalisent annuellement en moyenne plus de Template:Nombre et étudiants[A 24]. La commune dispose d'un système éducatif complet.

Lycée Les Haberges.
Institut universitaire de technologie de Vesoul.

Concernant l'enseignement primaire, on recense sept écoles maternelles publiques, six écoles élémentaires publiques, ainsi qu'une école élémentaire privée[A 25].

Au niveau du second degré, la ville compte trois collèges publics, un collège privé catholique et cinq lycées publics : deux lycées polyvalents, deux lycées professionnels et un lycée général. Aussi, Vesoul possède un centre de formation d'apprentis, un centre de formation d'apprentis agricole, un centre de formation professionnelle et de promotion agricoles et enfin un centre de formation d'apprentis de l'industrie[A 26].

Sur le plan de l'enseignement supérieur, on dénombre plusieurs établissements qui proposent des diplômes d'étude supérieure, fréquentés en moyenne annuellement par plus de Template:Nombre[A 27]. L'agglomération de Vesoul possède un campus baptisé « Pôle universitaire de Vesoul » rassemblant l'institut universitaire de technologie de Vesoul, composante de l'université de Franche-Comté, ainsi qu'une école supérieure du professorat et de l'éducation[86]. La commune compte également une antenne de l'école de gestion et de commerce de Franche-Comté, qui propose de multiples diplômes d'études supérieures orientés vers les métiers du commerce, de la comptabilité, du marketing et du management[87]. De plus, la ville abrite un institut de formation en soins infirmiers[88].

Liste des établissements scolaires :
Écoles maternelles publiques
  • École Saint-Exupéry
  • École Montmarin II
  • École de la Banque
  • École Jean-Morel
  • École Petit
  • École du Grand Grésil
  • École du Stade
Écoles élémentaires publics
  • École Rêpes Sud
  • École Pablo-Picasso
  • École du Boulevard
  • École Henri-Matisse
  • École du Stade
  • École du Luxembourg
École élémentaire privée
  • École de Marteroy
Collèges publics
Collège privé
Lycées polyvalents publics
  • Lycée Édouard-Belin
  • LEGTA Étienne-Munier
Lycée général public
  • Lycée Les Haberges
Lycées professionnels publics
  • Lycée Pontarcher
  • Lycée Luxembourg
Écoles d'enseignement supérieur
Centre de formation d'apprentis
  • Centre de formation d'apprentis de Haute Saône
  • Centre de formation d'apprentis agricole de Haute-Saône
  • Centre de formation professionnelle et de promotion agricoles
  • Centre de formation d'apprentis de l'industrie de Haute-Saône

Sécurité

Prison de la place Beauchamp.

La commune est dotée de divers établissements de sécurité et de défense. Vesoul compte un commissariat de police nationale, une brigade de gendarmerie nationale, une maison d'arrêt[89] et un centre d'interventions principal des pompiers[90]. En 2008, la police municipale est dotée d'un effectif de Template:Nombre[A 28] et la police nationale de Template:Nombre. La même année, le nombre de faits élucidés par policier s'élevait à 14,4 %, pour une moyenne nationale de 10,6 %[91].

Sur le plan de la criminalité, la circonscription de sécurité publique de Vesoul affiche le Template:19e plus haut taux de criminalité parmi les circonscriptions métropolitaines de provinces de 25,000 à Template:Nombre, en 2008. En effet, ce taux s'élève à 80,87 pour Template:Nombre, taux très largement supérieur à la moyenne départementale (35,00), régionale (39,97) et nationale (57,51), ce qui fait du taux de criminalité de la circonscription de sécurité publique de Vesoul le plus important du département, de la région et même l'un des plus élevés de l'Est de la France. Dans la circonscription de sécurité publique de Vesoul, qui correspond approximativement à l'agglomération, il y a eu Template:Nombre et délits qui ont été commis lors de l'année 2008, dont 183 infractions relatives à l'usage de stupéfiant et 165 relatives à des coups et blessures volontaires criminels ou correctionnels[92].

La commune est équipée de nombreux dispositifs de vidéosurveillance, notamment dans le quartier de la gare et dans le centre ancien[93]. Par ailleurs, le quartier du Montmarin est classé zone urbaine sensible[M 11]

Festivités

De multiples événements culturels et festivals sont régulièrement organisés à Vesoul. Les principaux sont :

Des illuminations de Noël à Vesoul.

Durant le mois de décembre, environ Template:Nombre de guirlandes sont installés dans différents quartiers de la ville et plus particulièrement dans le quartier ancien.

Social

Centre communal d'action sociale.

En matière d'action sociale, Vesoul totalise de multiples établissements proposant des services sociaux de toutes sortes[97], dont l'un des organismes gestionnaires est le centre communal d'action sociale[A 30]. On compte aussi de nombreuses associations reconnue d'utilité publique œuvrant dans l'action sociale ayant leurs sièges à Vesoul.

En ce qui concerne la protection de l'enfance, l'un des établissements les plus connus est l'institution Bourdault, maison d'enfants à caractère social inauguré en 1853, qui reçoit des enfants en difficulté familiale[98]. S'y ajoutent également un foyer de l'enfance et un centre maternel et familial. En termes de réinsertion sociale, plusieurs structures aident les personnes connaissant de graves difficultés à Vesoul comme un foyer de jeunes travailleurs et plusieurs centres d'hébergement et de réinsertion sociale. Au niveau du handicap, on recense un établissement et service d'aide par le travail, un foyer de vie, une entreprise adaptée ainsi que divers services d'accompagnement à la vie sociale[97].

La ville est aussi équipée de centres d'accueil comme une maison relais ainsi que l'organisme « Missions locales pour l'insertion professionnelle et sociale des jeunes »[99]. De nombreux autres services sociaux se trouve à Vesoul comme le service de prévention, d'éducation spéciale, d'aide aux personnes âgées, de soins infirmiers à domicile ou encore d'éducation spéciale.

Santé

Clinique Saint-Martin.

La ville est équipée de nombreux établissements de santé dont la plupart sont situés au « Pôle santé des Haberges », zone constituée de multiples organismes médicaux. Ce quartier moderne est notamment composé du principal site du Centre Hospitalier Intercommunal de la Haute-Saône (CHIHS), construit sur une surface de plus de Template:Unité, abritant plus de Template:Nombre et doté d'une qualité environnementale élevée[100]. Auparavant l'hôpital de la commune était l'actuel hôtel de ville de 1619 à 1938[101], puis l'hôpital Paul-Morel de 1938 à 2009[B 3]. La clinique Saint-Martin, établissement chirurgical fondé en 1957 et fréquenté en moyenne par plus de Template:Nombre par an, fait également partie des importants établissements sanitaires de la ville[102].

D'autres centres de santé, moins notables, sont implantés sur le territoire vésulien tels qu'un centre médico-psychologique, des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, un centre d'action médico-sociale précoce, un institut médico-éducatif… L'agglomération dispose également d'un centre de rééducation fonctionnelle[103].

L'offre de soins est complétée par la présence de plusieurs dizaines de professionnels de la santé dans la ville. La commune compte divers cabinets de médecine générale et spécialisée dans différents domaines, tels que la dermatologie, la radiologie, la podologie ou encore l'ophtalmologie ainsi que plusieurs pharmacies et laboratoires de biologie médicale[104].

Sports

Stade omnisports René-Hologne.

Élue « Ville la plus sportive de France » en 2001[Note 3], la commune de Vesoul guide, en partenariat avec l'office municipal des sports, environ Template:Nombre proposées par près de 75 clubs pour en tout servir plus de Template:Nombre, qui peuvent pratiquer sur plus de Template:Nombre sportives différentes[A 31]. Par ailleurs, de nombreuses compétitions sportives se tiennent chaque année à Vesoul, dont les principales sont le triathlon de Vesoul, événement rassemblant plus de Template:Nombre et professionnels[105] et la semaine de la pétanque, tournoi majeur de pétanque qui accueille plus de Template:Nombre lors de chaque édition[106]. De plus, Vesoul a accueilli des épreuves des championnats du monde de side-car cross 2014[107].

La commune compte plusieurs clubs réputés qui détiennent de riches palmarès tels que le Football Club de Vesoul (football), le Cercle Sportif Vesoul Haute-Saône (handball) et l'Avant-garde de la Motte (omnisports). Beaucoup de sportifs de haut niveau ont évolué dans des clubs sportifs vésuliens tels que les athlètes François Châtelet et Julien Casoli, le boxeur Francis Tripp, le footballeur Claude Robin, le triathlète Danylo Sapunov

Les principaux équipements sportifs de la ville sont le stade omnisports René-Hologne pour le football et l'athlétisme, le lac de Vesoul - Vaivre pour les sports aquatiques, l'aérodrome de Vesoul - Frotey pour les sports aériens et la maison des associations, complexe sportif couvert de Template:Unité comportant plusieurs salles spécifiques[A 32] · [A 33]. Vesoul totalise, en outre, de multiples gymnases, terrains multisports, boulodromes, circuits de courses, piscines, stands de tir, dojos, centres de remise en forme, courts de tennis[108].

Médias

Le siège de La Presse de Vesoul

La commune de Vesoul dénombre plusieurs établissements liés aux sciences de l'information et de la communication tels qu'une Cyber-base (la première de France, ouverte le 24 juin 1999[A 23]) ainsi que la médiathèque départementale de prêt de la Haute-Saône, située dans le quartier du Montmarin et disposant de plus de Template:Nombre en prêt[109].

Au niveau de la radiodiffusion, la ville de Vesoul compte trois stations de radio locales. Fréquence Amitié Vesoul, radio associative créée le 16 janvier 1991, est la plus ancienne[110]. S'y ajoutent deux stations de radios plus récentes : Plein Cœur, fondée en 2007 et radio Vintage, créée en 2008[111]. En plus de nombreuses stations de radio nationales, les vésuliens reçoivent les programmes de France Bleu Besançon, station du réseau France Bleu. Par ailleurs, la commune est couverte par les programmes de France 3 Franche-Comté, antenne régionale de la chaîne de télévision généraliste, dont Vesoul détient des bureaux excentrés[112].

La presse écrite est représentée par le grand quotidien régional L'Est républicain et par le journal hebdomadaire d'information locale la Presse de Vesoul, créé en mars 1981[113]. La municipalité édite un magazine quadrimestriel d'information communale qui se nomme « c'est Vesoul »[A 34].

Télécommunications

L'émetteur de télévision de Vesoul se trouve à côté de la chapelle de la Motte.

Au niveau de l'accès à la télévision, Vesoul peut recevoir les réseaux R1 à R6 de la télévision numérique terrestre (TNT) depuis avril 2012[114]. Cette réception se fait principalement grâce à deux émetteurs existant sur l'agglomération ; le principal est l'émetteur de la Motte (dont le pylône atteint Template:Nombre), situé à côté de la chapelle Notre-Dame-de-la-Motte à Template:Nombre d'altitude. Cet émetteur permet de capté à 100% le signal et couvre entièrement l'agglomération vésulienne[115]. L'autre émetteur de l'agglomération est l'émetteur de la Croix de Cassini situé à La Demie.

Concernant internet et la téléphonie, la commune, qui a été labellisée Ville Internet @ en 2013[74], est éligible à l'ADSL 2+ (depuis juin 2006) ainsi qu'au VDSL2 grâce à deux répartiteurs téléphoniques situés sur le territoire communal (Vesoul Breuil et Vesoul Technologia). Ces répartiteurs sont dégroupés par plusieurs opérateurs alternatifs. En 2016, environ Template:Nombre de l'agglomération de Vesoul étaient abonnés à Internet[116]. Pour l'accès à internet, quelques quartiers de Vesoul ont été dotés, dès fin 2015, de la fibre optique ce qui permet donc un accès à internet à très haut débit (environ 200 Mbit/s). De plus, la ville dispose de multiples points Wi-Fi publics et gratuits[117].

Globalement, les réceptions de signaux à Vesoul sont de bonnes qualités malgré que la commune se situe dans un creux géographique.

Cultes

Temple protestant de Vesoul.

La ville fut le siège épiscopal du diocèse de Vesoul, de 1791 à 1801. Aujourd'hui rattachée à l'archidiocèse de Besançon, la commune est le siège de l'unité pastorale de Notre-Dame-de-la-Motte[118], qui appartient au doyenné des plateaux de Vesoul[119]. On dénombre trois lieux de culte catholiques, où se déroulent régulièrement des cérémonies religieuses : l'église Saint-Georges, l'église du Sacré-Cœur et l'église Saint-Joseph[118]. Le saint patron traditionnel de la commune est Saint-Georges.

Les protestants de l'Église protestante unie sont affectés au temple protestant de Vesoul[120]. La commune compte aussi des paroisses de l'union des Églises missionnaires[121] et de l'Église évangélique baptiste[122]. Les témoins de Jéhovah disposent de la salle du Royaume[123].

La commune possède un lieu de culte musulman : la mosquée Arrahma, qui propose cinq classes d'apprentissage de langue arabe et d'enseignement de l'islam[124]. Les musulmans de Vesoul disposent de plusieurs autres salles de prières[125] ainsi que des associations musulmanes, développées majoritairement dans les années 1990, dont la principale est l'« Association franco-musulmane de Vesoul »[126].

La ville abrite notamment une ancienne synagogue, édifiée en 1875 et désaffectée en 1945, ainsi qu'un cimetière juif aménagé à la fin du 19th century[C 2]. Aujourd'hui, la ville ne détient plus de lieu de culte juif, néanmoins une association israélite, créée en 1986 est répertoriée[127].

Économie

Repères et traditions économiques

Une banque à Vesoul.

Durant toute son histoire, Vesoul a connu plusieurs activités prédominantes dans son économie. Dès le 11th century, l'économie de la cité est principalement axée sur les marchés artisanaux et agricoles[6]. À partir du 13th century, la cité devient une importante place bancaire et commerciale, grâce notamment aux affaires de la communauté juive de Vesoul[44]. L'agriculture, le commerce des bois et des animaux restent les seules activités économiques du bourg, durant de nombreux siècles[47]. C'est au cours de tout le 19th century, Vesoul connait une activité économique intense : l'exploitation de la viticulture que la ville a entreprise connait une réputation sans précédent et la cité devient l'un des plus vastes et renommés centres viticoles de la région, jusqu'à la fin du 19th century[B 2].

La révolution industrielle sera relativement en retard à Vesoul. Elle fait véritablement son apparition seulement dans les années 1950 avec l'aménagement de plusieurs zones industrielles mais surtout grâce à l'implantation de l'usine PSA, qui est actuellement le plus gros pourvoyeur d'emplois du département et le plus important site industriel de pièces détachées de PSA Peugeot Citroën, ce qui positionnent Vesoul au rang de « capitale européenne de la logistique automobile »[A 8].

Aujourd'hui, Vesoul est le siège de deux chambres consulaires départementales : la chambre de commerce et d'industrie[68] et la chambre d'agriculture[69]. De plus, la commune possède une antenne de la chambre de métiers et de l'artisanat[128]. La compétence développement économique de la commune de Vesoul est gérée, depuis le Template:1er janvier 2003, par la communauté d'agglomération de Vesoul, qui se charge, entre autres, de l'accueil personnalisé des porteurs de projets[A 24]. Au 31 décembre 2010, la ville comptait, Template:Nombre actifs, dont 53 de plus de Template:Nombre[D 10].

Aspects socio-économiques

Selon les données de 2009 de l'Institut national de la statistique et des études économiques, la population vésulienne âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Template:Nombre, parmi lesquelles on comptait 68,4 % d'actifs dont 57,1 % ayant un emploi et 11,2 % de chômeurs[D 11]. Sur les Template:Nombre habitant à Vesoul, 5,545 sont des salariés et 462 des non-salariés[D 12].

Depuis de nombreuses années, la ville compte de plus en plus d'emplois dans le tertiaire[D 13].

Emplois selon le secteur d'activité à Vesoul[D 13]
Tertiaire Industrie Construction Agriculture
2009 80,1 % 15,9 % 3,3 % 0,7 %
1999 78 % 18,7 % 2,5 % 0,8 %

Principale zone d'emploi du département[M 12], Vesoul comptait Template:Nombre dans sa zone d'emploi, contre 15,725 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 6 013, l'indicateur de concentration d'emploi est de 293,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre quasiment trois emplois pour un habitant actif[D 14]. La répartition des actifs par catégories socioprofessionnelles, en 2009, était disposée ainsi : 0,3 % d'agriculteurs exploitants, 3,4 % d'artisans, de commerçants et de chefs d'entreprise, 11,1 % de cadres et de professions intellectuelles, 27,6 % de professions intermédiaires, 29,0 % d'employés et 28,6 % d'ouvriers[D 15].

Au 31 décembre 2011, sur l'ensemble des chômeurs, 7,7 % ont été licenciés, 1,4 % ont démissionné, 34,8 % sont arrivés au terme d'un contrat à durée limitée, et 2,8 % ont fait l'objet d'une première inscription en tant que demandeurs d'emploi[D 16].

Le revenu fiscal moyen par ménage pour la ville de Vesoul est, en 2009, de €17707, pour la communauté d'agglomération de Vesoul de €20888, et pour la Haute-Saône de €19850[M 13]. Le pourcentage des foyers fiscaux imposables sur l'ensemble des foyers fiscaux de Vesoul est de 44 %[D 17]. En 2010, la médiane du revenu fiscal des ménages par unité de consommation à Vesoul est de €15172[D 18].

Secteurs d'activités

Industrie

L'usine PSA de Vesoul, la plus importante entreprise de la ville et du département.

Vesoul se trouve dans un département et plus globalement dans une région où l'industrie tient une place importante dans l'économie. L'industrie et le bâtiment et travaux publics sont représentés par respectivement 89 et Template:Nombre en 2010[D 10].

L'industrie automobile constitue l'un des principaux secteurs d'activités ; la commune de Vesoul est notamment connue pour abriter une usine de production et de logistique du groupe PSA Peugeot Citroën. Elle a un effectif constant de plus de Template:Nombre et joue le rôle de centre mondial de pièces détachées du constructeur automobile. Ce site industriel s'étend sur une surface totale de Template:Unité pour un total de Template:Unité de bâtiments. On y recense Template:Nombre de l'automobile : l'atelier de production des équipements intérieurs, la cataphorèse, le ferrage, la logistique des pièces de rechange et l’expédition des éléments détachés à l'international[A 8].

L'industrie textile est représentée par une usine de plus de Template:Nombre, implantée à Vesoul depuis 1958, de la société des matelas « Mérinos », entreprise de fabrication et de distribution de literie. D'une superficie de Template:Unité, l'établissement comprend des ateliers de production et des bureaux d'études[129].

Il existe également une quinzaine de petites et moyennes industries spécialisées dans différents domaines tels que la fabrication de produits métalliques ou encore des équipements automobiles.

Tertiaire

Le tertiaire est le premier secteur économique de la commune, en termes d'établissement. En 2010, on recense Template:Nombre de commerce, de transports et de services divers, soit 69,6 % du total d'établissements[D 10]. Template:Nombre du tertiaire comptent plus de Template:Nombre.

Halles de Vesoul.

L'agglomération est équipée de nombreux organismes de grande distribution ; on dénombre notamment deux hypermarchés, qui totalise environ Template:Nombre chacun (E.Leclerc à Pusey[130] et Cora dans la zone Kennedy[131]) ainsi que plusieurs supermarchés tels que Lidl, Intermarché, et Super U. De plus, un marché bihebdomadaire rassemblant plus de Template:Nombre se déroule sur la place de la République, la place Pierre-Rénet et dans les halles de la ville[A 35].

Vesoul regroupe un grand nombre d'établissements publics ; le secteur de l'administration publique, de l'enseignement, de la santé, de l'action sociale est le deuxième secteur le plus représenté avec Template:Nombre, soit 20 % du total[D 10]. Les plus importants sont le centre hospitalier intercommunal de la Haute-Saône (Template:Nombre en 2006) et la commune de Vesoul (Template:Nombre en 2006). La caisse primaire d'assurance maladie, la direction départementale des territoires de la Haute-Saône et le lycée Édouard-Belin comptent Template:Nombre[132].

L'agglomération concentre un grand nombre de transporteurs et de sociétés axées dans l'automobile telles que des concessionnaires ainsi que divers ateliers de réparation automobile. Concernant le secteur d'activité du tourisme, la ville de Vesoul dispose de Template:Nombre répartis dans Template:Nombre, au Template:1er janvier 2012[D 19]. S'y ajoute un vaste camping 3 étoiles de plus de Template:Nombre[D 20].

Zones d'activités et rues commerçantes

La majorité des entreprises vésuliennes se situent dans le cœur historique de la ville et dans les zones d'activités de la périphérie.

Le centre-ville abrite à lui seul plus de Template:Nombre, dont de nombreux commerces indépendants, réparties principalement autour des grands axes commerçants que sont la rue d'Alsace-Lorraine, la rue Paul-Morel, la rue Georges-Genoux, la rue Gevrey, la rue Leblond et la rue du Breuil[A 36]. De multiples zones d'activités, notamment à caractère commercial et industriel, sont recensées dans la périphérie de la ville de Vesoul. En décembre 2012, la communauté d'agglomération de Vesoul compte onze zones d'activité, qui totalisent plus de Template:Nombre, dont six qui sont situées entièrement sur le territoire vésulien : Technologia, Les Haberges, Espace de la Motte, Les Rêpes, Poincaré et Espace Kennedy[A 6].

La zone de services des Haberges, située à l'ouest de la ville.
La rue d'Alsace-Lorraine, l'une des principales rues commerçantes de Vesoul.
Liste des zones d'activités de l'agglomération de Vesoul[A 6] · [Note 4]
Nom de la zone Commune Superficie
(en hectares)
Activité
prédominante
Année de
création
Nombre
d'entreprises
Technologia Vesoul 45 Logistique 1998 44
Les Haberges Vesoul 44 Service 2001 35
Espace de la Motte Vesoul 38 Commerce 1970 103
Les Rêpes Vesoul 38 Industrie 1956 46
Poincaré Vesoul 13 Industrie 1957 12
Espace Kennedy Vesoul 8 Commerce 2007 14
Oasis Pusey 47 Commerce 1980 54
Les Saussis Noidans-lès-Vesoul 26 Artisanat 1980 59
Le Durgeon Noidans-lès-Vesoul 16 Transports 1975 47
Champ au Roi Vaivre-et-Montoille 6 Artisanat 1990 25
Les Angles Vaivre-et-Montoille 2 Artisanat 1970 8

Budget et fiscalité

Le budget municipal de fonctionnement de la ville de Vesoul s'élevait à €19909000 (€1159 par habitants) et les charges de fonctionnement se présentait à €19077000, soit un résultat comptable de €832000, en 2011. Le montant total des ressources d'investissement était de €4808 tandis que le montant total des emplois d'investissement s'élevait €5044[S 1]. La capacité d'autofinancement en 2011 était de €1732000, soit €101 par habitants, en hausse par rapport à 2010, qui était de €1167000, soit €68 par habitants. Le budget de la communauté d'agglomération de Vesoul s'élevait à €19710000 (€18413000 en 2010), les charges se sont montées à €15048000 (€16657000 en 2010) et le résultat comptable était donc de €4661000[S 2]. L'encours de la dette au 31 décembre 2011 s'élevait à €23505000, soit €1368 par habitants. Depuis le début des années 2000, un pic d'endettement a été atteint en 2010, avec €24696000[S 3].

Le taux de la taxe d'habitation était de 10,52 % en 2011, alors qu'il était de 10,31 % en 2010. La taxe foncière sur le bâti s'élevait à 25,71 % en 2011, légèrement inférieur au taux de 2010 qui était de 25,21 %. Quant au taux de la taxe de foncier sur le non bâti, il était de 42,36 % en 2010 pour atteindre un taux de 43,21 % en 2011. Les taux moyens de la strate pour les trois taxes étaient respectivement de 15,65%, de 22,89% et de 59,39%, en 2011[S 4] · [S 5].

Culture et patrimoine

Monuments

Vesoul détient de nombreux édifices civils et religieux monumentaux, concentrés majoritairement dans le centre ancien : le Vieux-Vesoul, ensemble architectural homogène et dense datant du Template:Sp-[B 8]. Classé Cité Patrimoine de Franche-Comté et à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, ce quartier abrite plus de Template:Unité qui ont été inscrits en 1977 pour leurs richesses architecturales[N 4]. Ses rues historiques sont pourvues d'hôtels particuliers, de maisons vigneronnes, d'édifices religieux, de monuments commémoratifs, de fontaines, de statues et de divers bâtiments dotés de trompes-l'œil, de fresques murales, de frontons et de cadrans solaires. Ces monuments constituent les principaux éléments du patrimoine architectural vésulien. De plus, le quartier ancien à un périmètre classé « zone archéologique sensible ».

Depuis le début du 21st century, le centre historique a connu plusieurs opérations de rénovations : les logements et les façades de ces édifices ont été restaurés et les trottoirs reformés[B 9]. Le quartier ancien n'a pas été significativement marqué par le renouvellement urbain ; les édifices de ce secteur sont relativement anciens et bien préservés et peu de bâtiments modernes y ont récemment été élevé.

La Base Mérimée recense treize monuments historiques[C 3] et la Base Palissy dénombre soixante œuvres[C 4] à Vesoul.

Maisons particulières et villas

Dès le Moyen Âge, de multiples familles nobles édifient des hôtels particuliers dans la cité. La ville en compte plus d'une quinzaine, répartis dans tout le centre historique, remarquables notamment par leurs constructions en pierres calcaires, leurs hautes tours, leurs escaliers extérieurs et leurs vastes cours. La majorité ont été érigés entre les Template:S2- et sont, pour la plupart, désormais protégés. L'extérieur du centre-ville a également vu s'élever des maisons bourgeoises, qui sont entourées généralement d'un vaste terrain clos. Plus récemment, des villas ont été édifiées dans la commune.

Hôtel de Magnoncourt.

Parmi les hôtels particuliers bâtis au 15th century, on peut citer l'hôtel Thomassin, constitué de 1480 à 1483 par le seigneur Jacques Thomassin. De forme rectangulaire, le bâtiment possède une façade d'architecture gothique flamboyant ainsi qu'une haute tour d'escalier. L'hôtel Thomassin fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 24 décembre 2008[C 5]. Situé place de l'Église, l'hôtel Baressols a été construit aux Template:S2- ; ses façades de style gothique et ses toitures sont inscrites monument historique depuis le 7 novembre 1979[C 6].

Hôtel Baressols.

Concernant ceux édifiés au 16th century, on trouve l'hôtel Simon Renard, qui a été bâti en 1525 et subit d'importantes rénovations en 1784. Côté rue se trouve une façade régulière en pierre de taille et dans la cour se trouve une tour d'escalier polygonale accompagnée de différents ornements[C 7]. Autre témoignage du 16th century, l'hôtel de Magnoncourt, constitué en 1530. Avec une forme rectangulaire, une cour, un jardin et une tour d'escalier, l'hôtel s'organise comme certains autres hôtels particuliers vésuliens. De plus, l'hôtel possède deux cheminées à hotte au rez-de-chaussée[C 8]. Érigé en 1549, l'hôtel de Mongenet est protégé pour son élévation et sa toiture depuis le 26 mars 1934[C 9].

La ville est également pourvue de plusieurs hôtels particuliers édifiés au 18th century. L'hôtel Pétremand, construit au cours de la deuxième moitié du 18th century, est notable pour ses balcons et garde-corps en fer forgé des façades nord et est[C 10]. L'hôtel Lyautey de Colombe, bâtiment édifié en 1712 dont la façade côté rue est d'architecture classique est situé place du Grand Puits[E 11] · [B 10]. La rue Salengro abrite deux hôtels particuliers du 18th century, protégés au titre des monuments historiques : la maison Ébaudy de Rochetaillé (1781), résidence d'un bienfaiteur vésulien[C 11] et l'hôtel Lyautey de Genevreuille (1760), qui abrite des décorations baroques du 18th century ainsi qu'un remarquable escalier en pierre avec un garde-corps en fer forgé[C 12].

Hôtel Pétremand.

Différents styles de maisons anciennes du quartier historique sont à mentionner. Il renferme quelques maisons à colombages dont l'une des plus anciennes est l'hôtel Carriage, édifice construit au 15th century. Ancien important centre viticole, la cité a conservé de nombreux ouvrages liés à l'exploitation de la viticulture ; on trouve notamment plusieurs maisons vigneronnes, dont les caves donne directement sur les rues.

À l'époque contemporaine, majoritairement pendant le 20th century, de multiples villas sont érigées dans la ville ; Vesoul en compte dans le centre historique, comme rue Noirot et avenue du général de Gaulle. La commune compte notamment deux villas réalisées par l'architecte André Maissonnier, compère de Le Corbusier, et distinguées par le label « Patrimoine du 20th century » depuis le 29 juin 2004 grâce à leurs architectures remarquables : la villa Henri Kielwasser (1956), construite en béton sur pilotis, de plan carré, et constituée de deux étages[C 13] ainsi que la villa Malitchenko (1963), composée d'un étage de soubassement et d'un étage carré, située au milieu d'un bosquet de pins[C 14].

Peu de ces maisons particulières sont encore habitées par leurs familles originelles.

Édifices religieux

Église du Sacré-Cœur.

À partir du 11th century, l'apparition du christianisme à Vesoul est marqué par les fondations des deux premiers bâtiments religieux de l'histoire de la cité : une première église dédiée à Saint-Georges[F 20] et le prieuré du Marteroy consacré à Saint-Nicolas[F 21] · [L 13]. Au fil des siècles, de nombreux édifices religieux tels que des églises et des chapelles ont été bâtis dans la ville, dont la plupart subsistent aujourd'hui. Dès le le 19th century, des édifices religieux appartenant à de nouveaux courants religieux à Vesoul s'érigent.

La ville possède plusieurs chapelles dans son patrimoine religieux. Parmi la plus connue, la chapelle Notre-Dame-de-la-Motte, l'un des symboles de Vesoul, posée au sommet de la colline de la Motte. De style gothique, ce monument religieux a été inauguré en 1857 en présence des cardinaux Gousset et Mathieu[53] · [L 14].

Église Saint-Georges.

De nombreuses églises ont été construites dans la ville. Le plus important et ancien édifice religieux de Vesoul est l'église Saint-Georges, qualifiée de cathédrale du diocèse de Vesoul sous l'église constitutionnelle. Élevée de 1735 à 1746, son architecture fut conçue par Jean-Pierre Galezot et Jean Querret du Bois. Comportant une façade d'architecture classique, l'église inclut une nef et deux bas-côtés, qui est entourée de six chapelles sur les côtés et de deux chapelles entourant le chœur[C 15] · [133]. Classé monument historique en 1993, l'édifice abrite environ une quarantaine d'œuvres protégées au titre des monuments historiques (peintures, sculptures, vases...)[C 16]. L'église du Sacré-Cœur a commencé à être construite en 1913 puis bénie le 21 juin 1914. À cause de la Première Guerre mondiale, le clocher a pu être terminé qu'en 1922. L'architecte de l'église est Eugène Guillemot et l'entrepreneur M. Melk[134]. De style néo-byzantin, le bâtiment est situé rue Jules-Ferry, dans le quartier sud de Vesoul[E 12] · [135]. L'église Saint-Joseph est une église catholique bâtie durant la deuxième moitié du 20th century. Elle est localisée au numéro 4 de la rue Template:1re division française libre dans le quartier des Rêpes[136].

Chapelle Notre-Dame-de-la-Motte.

Dès le 17th century, trois couvents ont été élevés dans la vieille ville : le couvent des Ursulines, le couvent des Capucins et le couvent des Annonciades. Le couvent des Ursulines en est le plus important. Divisé en deux niveaux, l'édifice a été construit entre 1680 et 1683, rénové en 1981 et inscrit monument historique en 1992. Le bâtiment accueille actuellement le musée Georges-Garret[C 17] · [137]. La ville de Vesoul compte un chemin de Template:Nombre situé sur le sentier de la Motte ainsi que de multiples croix de chemin réparties dans toutes la commune. Enfin, le centre-ville concentre de nombreuses petites églises, chapelles et autres établissements religieux qui était autrefois tenus par des congrégations religieuses.

La pratique du protestantisme à Vesoul s'intensifie au 19th century. La communauté protestante locale inaugure le 16 juin 1866 un temple de culte protestant, principalement grâce aux démarches du pasteur Racine. Le temple est muni d'un clocher en 1965 et d'un orgue en 1974[138].

L'histoire des Juifs à Vesoul prend de l'ampleur après la guerre franco-allemande de 1870. C'est en 1875 que les Juifs de la ville font édifiés une synagogue d'architecture néo-mauresque. L'édifice est inscrit monument historique depuis le 5 décembre 1984[C 2] · [B 11].

La ville compte aussi un édifice religieux musulman érigé au cours de la deuxième moitié du 20th century : la mosquée Arrahma du quartier du Montmarin qui est constituée d'un minaret[124].

Bâtiments administratifs

Divers bâtiments d'équipement public monumentaux sont dénombrés dans la cité. Les principaux sont constitués de hauts portails et de vastes cours.

Hôpital Paul-Morel.

Le 17th century a vu l'élévation de plusieurs édifices notables à Vesoul. L'hôtel de ville est un imposant bâtiment édifié en 1619, mais qui a été considérablement rénové en 1769 et en 1811. À sa construction, le bâtiment était destiné à être l'hôpital de Vesoul. Rénové en 1937, l'édifice est aménagé en l'hôtel de ville le 29 mai 1938[139]. Il est pourvu de mobilier classé monument historique[C 18] dont une fresque d'Albert Decaris située dans le hall[C 19].

Hôtel de ville de Vesoul

L'hôpital Paul-Morel est un vaste bâtiment comportant des fondations datant de 1603 et qui était initialement un couvent. Depuis le 17th century, le bâtiment a subi de multiples travaux et a été de nombreuses fois transformés (hôpital militaire, caserne d'infanterie, école secondaire ecclésiastique…). Aménagé en hôpital dans les années 1930, le bâtiment est désaffecté depuis 2009. L'édifice est notamment remarquable grâce à sa chapelle et sa cour entourée d'arcade[B 3]. Il abrite du mobilier protégé au titre des monuments historiques[C 20].

Parmi les édifices élevés au 18th century, on peut citer le palais de justice, construit de 1765 à 1771 par l'architecte Charles-François Longin. Il abrite notamment un escalier d'intérieur accompagné d'une rampe en fer forgé et d'une salle d'audience avec un riche décor de boiserie. Il est inscrit monument historique depuis le 7 décembre 1976[C 21] · [L 15]. Le bâtiment de l'inspection académique de Haute-Saône est un édifice de taille significative qui abritait autrefois l'école normale d'instituteurs. L'hôtel de préfecture de la Haute-Saône fut érigé en 1770 sous les ordres du maire de Vesoul Beauchamp. Rénové et agrandi en 1859 et 1860, le bâtiment est notamment remarquable par sa grille dotée de soixante-quatre lances à pointes dorées[L 16].

Gare de Vesoul.

Deux anciens bureaux d'octroi subsistent à Vesoul : le bureau central de l'octroi (1864) construit par l'architecte vésulien Charles Dodelier et le bureau de l'octroi du Rhin (1830), édifié selon les plans de l'architecte Ridoux, de style néoclassique et composé d'un portique de quatre colonnes et de deux piliers aux extrémités[140]. D'architecture hispano-mexicaine, la maison d'arrêt a été dessinée par l'architecte Le Beuffe en 1837 sur une surface de Template:Unité. Elle a été édifiée sur un terrain appartenant à un ancien établissement religieux[89] · [L 17].

C'est au 19th century et au 20th century que plusieurs infrastructures de transport voit le jour. La ville possède une gare ferroviaire mise en service le 22 février 1858, par la Compagnie des chemins de fer de l'Est. Le bâtiment voyageurs s'étend sur plus de Template:Nombre[25]. La gare des tramways départementaux de Vesoul a été édifiée en 1910 pour gérer les chemins de fer vicinaux de Haute-Saône. Localisée rue du Commandant Girardot, c'est l’une des plus grandes gares de France à avoir été érigée pour ce type de réseau. Elle accueille aujourd'hui le bureau de poste principal de la ville de Vesoul[27].

Autres monuments

Bâtiment de la Caisse d'Épargne

La ville de Vesoul détient également d'autres constructions historiquement et culturellement importantes.

De nombreux entrepôts commerciaux et industriels anciens sont répartis dans la ville.La ville de Vesoul possède des halles construites en 1868, comprenant un étage. Située place de la République, ce marché couvert a subis des travaux menés durant l'après-guerre qui ont modifié sa façade principale. Inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel, la manufacture des tabacs est un magasin industriel désaffecté datant de 1898 composé de trois bâtiments réalisés en moellon de calcaire enduit, autour d'une cour rectangulaire[C 22]. Concernant les bâtiments importants construits au 20th century, on peut mentionner l'usine Dollé-Chaubey, élevée en 1908 au sud-ouest de la ville, qui était une des plus importantes manufactures françaises de machines agricoles. Classé à l'inventaire général du patrimoine culturel, l'établissement est aujourd'hui occupé par des ateliers de l'usine PSA[C 1]. Le Caisse d'Épargne loge dans un bâtiment construit en 1909 et orné de multiples éléments d'architectures.

Collège Gérôme.

On dénombre aussi plusieurs sculptures de tout types tels que des statues rendant hommage à des personnalités locales (Docteur Gevrey, Paul-Morel) ainsi que divers autres monuments commémoratifs. La commune de Vesoul dispose notamment de nombreuses fontaines (fontaine à l'obélisque, fontaine de la Chapelle d'Eau) et d'un kiosque.

Établi en 1610 à l'ouest de la cité, le collège Gérôme est l'un des plus anciens établissements d'enseignement du département. Autrefois, l'édifice fit notamment usage d'école centrale et de lycée Impérial[141] · [142].

N'ayant pas été une place militaire dans son passé, Vesoul possède peu de fortifications et d'infrastructures militaires ; néanmoins il y existe une vaste caserne désormais désaffectée se trouvant proche du centre-ville. Cet imposant complexe militaire a commencé à être construit en 1740. Puis, en 1776, quelques bâtiments vinrent accompagner l'édifice initial. De 1843 à 1858, plusieurs structures sont érigés, dont majoritairement des écuries permettant ainsi au 11e régiment de chasseurs à cheval d'y être cantonné[L 18]. Les bâtiments accueillent aujourd'hui des organismes publiques.

Monuments aux morts de 1914-1918

La ville de Vesoul compte trois cimetières. Le plus historique est l'ancien cimetière, contenant un grand nombre de sépultures monumentales ainsi qu'un carré militaire. Aménagé dès 1783, le cimetière couvre actuellement une surface de plus de Template:Nombre. Le 5 janvier 1941, à la suite d'une décision du conseil municipal de la ville relative, des travaux débutèrent le Template:1er juin 1942 pour la création d'un autre cimetière : le nouveau cimetière, s'étendant sur plus de Template:Nombre, est inauguré le 5 juin 1944. La commune de Vesoul compte aussi un cimetière juif de Template:Unité, aménagé au 19th century, témoignage de l'importance de la communauté juive de Vesoul[L 19] · [A 37].

D'autres monuments aujourd'hui disparus, liés à l'histoire locale, peuvent être cités comme l'imprimerie Marcel Bon, entrepôt commercial bâti pendant le second quart du 20th century et détruit en 2014, qui était constitué d'un étage carré, d'un étage en surcroît et d'un toit à longs pans en tuile mécanique[C 23]. Autrefois, la ville comptait Template:Nombre : le moulin Saint-Martin (édifié au 18th century, acheté par la ville en 1826 et qui cessa son activité avant 1880[C 24]), le moulin des Prés et le moulin de Pontarcher. La ville totalisait aussi auparavant plusieurs portes de ville, qui ont toutes été détruites entre 1765 et 1800, ainsi que plusieurs fermes qui étaient situées dans les hameaux environnants[L 20].

Patrimoine naturel

La commune est entourée par de multiples sites naturels protégés possédant d'importantes valeurs patrimoniales et des intérêts faunistiques et floristiques significatifs. Plusieurs parcs publics existent dans la ville, la majorité des rond-points de la commune sont fleuris et de nombreuses voies, notamment les larges artères, sont bordées d'arbres ; en tout, Vesoul totalise plus de Template:Nombre, Template:Nombre et Template:Nombre annuelles et Template:Nombre biannuelles, répartis dans ses différents quartiers[A 18]. En tout, la ville de Vesoul dispose de plus de Template:Nombre de zones vertes (sites naturels et espaces verts).

Grâce à la qualité de ses nombreux espaces verts, Vesoul a été labellisée trois fleurs au concours des « Villes fleuries »[72].

Espaces verts

Jardin anglais.

Le plus ancien jardin public de la ville est le Jardin anglais, premier parc public classé « jardin remarquable » en Franche-Comté[A 38]. Il fut aménagé en 1863 dans le cadre de l'exposition régionale d'horticulture par l'architecte paysagiste Brice Michel. Retracé en jardin à l'anglaise en 1976, l'espace vert s'étend sur une superficie de Template:Nombre, comprend plus de Template:Nombre d'espèces végétales et est notamment constitué d'une rocaille, d'une cascade, d'une pergola, d'une roseraie ainsi que des arbres d'alignement et de divers arbustes, plantes annuelles et vivaces[143] · [C 25]. Différents autres types de jardins sont répartis à Vesoul comme Template:Nombre inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel, situé dans le centre-ville, ainsi que Template:Nombre, situés avenue du lac[A 39].

La ville compte aussi des espaces vertes réservés aux déplacements non motorisés comme une coulée verte, qui a été aménagée dans les années 1980 et qui relie le jardin anglais aux quartiers Est de Vesoul, en longeant la rivière Durgeon[B 12]. De plus, Vesoul est relié par deux voies vertes, qui sont majoritairement bordées d'arbres, de buissons et de haies : le Chemin vert (1980), l'une des plus anciennes voies vertes de France aménagées sur voie ferrée,[30] et la Trace du Courlis (2008)[31].

Sites naturels protégés

Réserve naturelle nationale du Sabot de Frotey.

Deux sites naturels ont été classés pour leurs caractères remarquables : la colline de la Motte, large espace boisé de Template:Unité, classé pour son caractère pittoresque[N 5] et le Sabot de Frotey, rocher qui a été sculpté avec le temps en forme de sabot, classé pour son caractère artistique[N 6]. Le lac de Vesoul - Vaivre et ses abords accueillent de multiples espèces d'oiseaux migrateurs, ce qui a valu au site d'être intégré au réseau « Refuge LPO » de la ligue pour la protection des oiseaux[144]

L'agglomération abrite également plusieurs zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique dont le plateau du sabot de Frotey (Template:Unité)[P 2], la plaine de Vesoul-Vaivre (Template:Unité)[P 3], les bois du plateau de Cita (Template:Unité)[P 4], la vallée de la Colombine[P 5] et le camp de César et ses coteaux (Template:Unité)[P 1]. La préfecture haut-saônoise est aussi entourée par de plusieurs zones naturelles classées Natura 2000 : les pelouses de la région vésulienne (Template:Unité), protégées notamment grâce aux oiseaux qui y émigrent[P 6] · [P 7] et le réseau de cavités à rhinolophes (Template:Unité), composé de six cavités souterraines qui accueillent des espèces de l'ordre des chiroptères[P 8].

En outre, deux réserves naturelles se trouvent dans l'agglomération vésulienne. Il s'agit de la réserve naturelle régionale de la grotte de la Baume Template:Unité)[145] et de la réserve naturelle nationale du Sabot de Frotey (Template:Unité)[146] ; cette dernière aire protégée a été créée en 1981 et totalise plus de Template:Nombre inventoriées dont la plupart sont particulièrement rares.

Équipements culturels

De par le nombre important d'équipements pour la pratique d'activités culturelles qu'elle possède, la ville de Vesoul est l'un des principaux pôles culturels de la région. L'offre culturelle est marquée par la présence d'établissements de conservation et d'exposition réputés ainsi que des lieux de ressources documentaires et divers services d'archives. Par ailleurs, la ville compte plusieurs salles d'expositions artistiques qui permettent à tous types d'artistes dont des peintres, sculpteurs et photographes de présenter leurs œuvres.

On dénombre aussi des salles de spectacles modernes, vastes et spécifiques qui proposent, plusieurs fois par semaine, des programmations pluridisciplinaires. La ville détient également des centres culturels qui présentent des animations socioculturelles variées, tout au long de l'année.

Établissements de collections

Musée Georges-Garret.

Des établissements de conservations et d'expositions de renom sont dénombrés sur le territoire vésulien. Fondé en 1882 par Victor Jeanneney, le musée d'archéologie et des beaux-arts Georges-Garret est installé dans l'ancien couvent des Ursulines depuis 1981, et possède le label « Musée de France ». Constitué de quatorze salles d'expositions dans lesquelles sont réunis plus de Template:Nombre, le musée est divisé en deux sections sur plus de Template:Unité : le premier niveau est dédié à l'archéologie, qui expose des monuments anciens retrouvées sur le territoire haut-saônois et le deuxième niveau est consacré aux beaux-arts dont la majorité est réservée à l'art de la seconde moitié du 19th century, notamment autour du peintre et sculpteur vésulien Jean-Léon Gérôme[147] · [A 40]. La commune dispose également de deux salles temporaires d'expositions d'art : la chapelle de l'hôtel de ville (Template:Unité) et la salle des Ursulines (Template:Unité), qui permettent aux artistes d'exposer leurs œuvres[A 41].

Archives départementales de la Haute-Saône.

Plusieurs centres de ressources documentaires sont présents dans la commune. La principale bibliothèque publique de la ville porte le nom de bibliothèque Louis-Garret. L'actuel bâtiment date de 1981 et abrite un espace de lecture de plus de Template:Unité. Le fonds général de la bibliothèque recense Template:Nombre et Template:Nombre anciens dont Template:Nombre et incunables. La bibliothèque totalise chaque année plus de Template:Nombre et réalise plus de Template:Nombre[A 42] · [148]. La commune est aussi pourvue de deux autres bibliothèques, plus petites : la bibliothèque annexe Vesoul et la bibliothèque associative Le Liseron[B 13]. On note également la présence d'une médiathèque abritant plus de Template:Nombre en prêt, disponible sous différents supports[109].

Concernant les services d'archives, Vesoul compte sur son territoire les archives départementales de la Haute-Saône, localisées dans un bâtiment construit en 1965 et rénové à maintes reprises. L'organisation offrent des actions culturelles et éducatives en plus de ses missions principales[67]. Les archives municipales de Vesoul, ouvertes depuis le 1Template:Er septembre 1992, sont situées dans l'hôtel de ville et conservent les documents relatifs à Vesoul postérieurs à 1900[A 43].

File:Vesoul Théâtre Edwige Feuillère 6.jpg
Théâtre Edwige-Feuillère.

Le centre régional de restauration et de conservation des œuvres d'art (CRRCOA) est basé à Vesoul. Créé en 1985 par le conseil départemental de la Haute-Saône, l'établissement est équipé de plus de Template:Unité d'ateliers et de laboratoire et opère dans la conservation du patrimoine en restaurant du mobilier tel que des sculptures, des peintures sur toile et des textiles[149]. Vesoul est aussi le siège de la société d'agriculture, lettres, sciences et arts de la Haute-Saône, l'une des plus anciennes associations haut-saônoises créée le 9 avril 1801 et reconnue d'utilité publique en 1925. Ses actions sont centrées sur la défense du patrimoine haute-saônois, la recherche sur la généalogie et l'histoire[150].

Salles de spectacle

Pour les représentations de spectacle vivant, la commune est équipée du théâtre Edwige-Feuillère, bâtiment doté d'une salle abritant Template:Nombre et une vaste scène de Template:Unité, et qui offre des prestations musicales, scéniques et théâtrales. Première scène conventionnée de France à être labellisée « Voix d'enfants/espace scénique », le théâtre reçoit annuellement, en moyenne, plus de Template:Nombre, qui assistent à près de Template:Nombre d'artistes de notoriété locale à nationale[151] · [A 44].

Parc des Expositions de Haute-Saône.

Pour les conférences, réunions et congrès, la ville de Vesoul dispose sur son territoire du Parc des Expositions de Haute-Saône, qui est à la fois un centre de congrès et une salle de concert. Avec une surface couverte de Template:Unité, situé sur un terrain de Template:Unité dans la zone Technologia, le complexe a une capacité de plus de Template:Nombre et peut accueillir des événements et des manifestations de types salons, réunions, concerts, congrès et foires[152]. Enfin, d'autres salles utilisées pour certaines représentations de spectacle et conférences sont situées dans la commune comme la salle Parisot, d'une capacité de Template:Nombre assises ou de Template:Nombre debout[A 11] · [B 14].

Le spectacle cinématographique est représenté dans différents lieux de la ville dont très majoritairement dans une structure : le Majestic - Espace des Lumières, l'un des plus grands complexes cinématographiques de l'Est de la France, totalisant chaque année plus de Template:Nombre. Ouvert le 6 juillet 2005, ce multiplexe, classé « Art et Essai », dispose de Template:Nombre répartis dans Template:Nombre, toutes équipées d'air conditionné, d'accessibilité aux handicapés et de numérisation[153]. La ville possède en plus une salle de cinéma d'une capacité de Template:Nombre, intégré dans le centre social et culturel « Espace Villon »[A 11] · [A 45].

Cinéma « Majestic - Espace des Lumières ».

L'enseignement des arts à Vesoul est représenté par les écoles municipales de musique et de dessins qui offre régulièrement des spectacles divers[A 46]. Aussi, la ville détient une école départementale de musique créée en 1985, de type conservatoire à rayonnement intercommunal (CRI)[154]. Le siège de l'association départementale pour le développement et l'initiative de la musique et de la danse en Haute-Saône (ADDIM 70) est situé à Vesoul. Créée en 1983, par le conseil départemental de la Haute-Saône et la direction régionale des affaires culturelles de Franche-Comté, cette association a pour principale mission de favoriser le développement artistique notamment dans le domaine chorégraphique et musicale[155].

De plus, l'agglomération compte deux boîtes de nuit qui contribuent au développement de la vie nocturne : Manouchka (Template:Nombre), plus ancienne discothèque de la région, ouverte depuis le 22 novembre 1972[156] et le Template:3e Monde (Template:Nombre). Ces établissements accueillent de manière régulière des concerts d'artistes musicaux de réputation nationale.

Vesoul dans les arts et la culture

Tableau de Henri Blandin : Défilé de la compagnie des sapeurs-pompiers de la Place Neuve à Vesoul.

La ville de Vesoul a de nombreuses fois été mentionnée dans différentes œuvres artistiques et littéraires.

Quelques artistes ont représenté la ville au sein de la peinture. En 1882, le peintre et caricaturiste Henry Blandin réalisa un tableau d'une place vésulienne, une peinture à l'huile baptisée Défilé de la compagnie des sapeurs-pompiers de la Place Neuve à Vesoul.

De multiples chanteurs citent le nom de la commune dans leurs productions dont Jacques Brel, auteur-compositeur-interprète de la chanson Vesoul (1968), composition mondialement connue avec l'un de ses refrains « T'as voulu voir Vesoul ». Vesoul est aussi rapporté dans d'autres œuvres musicales significatives telles que Il pleut sur Bruxelles (1981) interprété par Dalida, Le Temps de nos guitares (2008) de Georges Moustaki, Fous ta cagoule (2006) du groupe Fatal Bazooka et l'album V'soul Vesoul V'soul ! (1995) de Christian et Tristan Décamps, fondateurs et membres du groupe Ange.

Plusieurs auteurs ont évoqué Vesoul dans leurs œuvres littéraires : Olivier Rolin (Tigre en papier), Jacques Lanzmann (Café-Crime), Jean Giraudoux (Lectures pour une ombre), Alain Guel (Aârio), Nathalie Démoulin (La Grande Bleue), Ali Ghalem (Le serpent à sept têtes)...

Personnalités liées à Vesoul

Un nombre considérable de personnalités sont liées à Vesoul, qui ont pour la plupart été nommées citoyen d'honneur de la ville de Vesoul ; on peut y compter des hommes politiques, des musiciens, des sportifs, des magistrats, des scientifiques ou encore des savants. Plus de Template:Nombre nés à Vesoul ont été récompensées de l'ordre national de la Légion d'honneur[C 26].

De multiples figures sont nées à Vesoul, parmi les plus réputées et importantes on peut notamment citer l'artiste Jean-Léon Gérôme, l'ingénieur Édouard Belin, le pilote Stéphane Peterhansel, l'actrice Edwige Feuillère, le résistant Raymond Aubrac, le physicien Alexis Petit, le poète Charles Grandmougin et le diplomate Pierre Joseph de Beauchamp. D'illustres personnalités sont décédées à Vesoul comme les peintres Pascal Dagnan-Bouveret et Jules-Alexis Muenier, l'économiste François Ébaudy de Fresne, le militaire Jacques Bardenet et le traducteur Roger Munier. Le politicien Georges Genoux-Prachée, le religieux Jean-Baptiste Flavigny et le premier buteur de la première coupe du monde de football, Lucien Laurent sont enterrés à Vesoul.

Vesoul est également la ville où des personnalités notables ont exercé leurs professions telles que le photographe Marc Paygnard, le philosophe Théodule Ribot, l'écrivain André Blanchard ainsi que de nombreux maires de la ville dont les députés Alain Joyandet et Alain Chrétien. Divers personnages ont réalisé leurs études dans la commune dont l'historien Albert Mathiez, l'officier Jean Compagnon et le journaliste Éric Dupin.

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Devise et héraldique

La ville de Vesoul est l'une des premières localités haut-saônoises à se doter d'un blason. Le premier sceaux aux armes de Vesoul a été créé le 2 mai 1581. Les armoiries de Vesoul ont été gravées sur de nombreux édifices vésuliens tels que la mairie et l'hôtel des Postes.

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La commune n'a pas de devise officielle. Cependant, des devises familiales sont gravées sur quelques hôtels particuliers de la cité telles que « Differ in posterum » ce qui signifie « Remets à plus tard »[E 13] et « Soli Deo gloria » ce qui signifie « À Dieu seul la gloire »[E 14].

Le logo de Vesoul reprend intégralement le blason communal. S'y ajoute la mention du site Internet de la ville.

Gastronomie

Quelques produits régionaux.

La gastronomie de Vesoul est principalement axée sur la cuisine franc-comtoise, qui utilise des produits tels que la charcuterie, le vin rouge, les champignons et le fromage. Classée « Ville Terroir et Patrimoine », la commune abrite une cinquantaine de restaurants, cafétérias et brasseries ainsi que divers établissements proposant des spécialités étrangères comme celles de lacuisine chinoise, américaine, italienne et turque. On compte aussi l'école de l'Art et du Goût français du chocolat, institut fondé par le maître chocolatier-pâtissier vésulien Mickaël Azouz[81] · [B 9].

La ville compte quelques spécialités culinaires locales : le poulet à la vésulienne, le brochet à la vésulienne, la truite à la mode de Vesoul, le bœuf en gelée à la vésulienne, les escalopes de veau à la vésulienne, le sandre à la vésulienne, les gaufres du Vieux-Vesoul, les pains d'épices de la foire de la Sainte-Catherine[B 15]. Exemples de produits régionaux[157] · [158] :

Voir aussi

Bibliographie

Panorama de Vesoul depuis la colline de la Motte.

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  • Morey, Abbé (1886). Chronique de l'église de Vesoul. Template:Plume
  • Bouton, Alain; Bouton, Françoise; Michel, Guy-Jean (1991). Vesoul et ses environs : vision du temps passé. ISBN 2-903524-48-3. {{cite book}}: Unknown parameter |pages totales= ignored (help)
  • Sassi, Daniel (2003). Vesoul : eaux & civilisation. Franche-Comté édition. ISBN 2-915402-05-1. {{cite book}}: Unknown parameter |pages totales= ignored (help)
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  • Belin, Bernard (2013). Jacques Brel, T'as voulu voir Vesoul... !. F.C. Culture & Patrimoine / Vesoul-Edition (Préface : Editions Jacques Brel). ISBN 978-2-36230-026-4. {{cite book}}: Unknown parameter |pages totales= ignored (help)

Articles liés

Articles détaillés

Articles détaillés sur Vesoul
Histoire et patrimoine
Population et société
Religion

Articles connexes

Articles connexes sur Vesoul
Territoires actuels
Territoires historiques

Liens externes

Notes et références

Notes

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