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User talk:Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt

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Welcome[edit]

Hello Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt, and Welcome to Wikipedia!

Welcome to Wikipedia! I hope you enjoy the encyclopedia and want to stay. As a first step, you may wish to read the Introduction.

If you have any questions, feel free to ask me at my talk page – I'm happy to help. Or, you can ask your question at the New contributors' help page.


Here are some more resources to help you as you explore and contribute to the world's largest encyclopedia...

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Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt, good luck, and have fun.ceradon (talkcontribs) 23:57, 14 February 2015 (UTC)[reply]

Welcome to Wikipedia: check out the Teahouse![edit]

Teahouse logo
Hello! Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt, you are invited to the Teahouse, a forum on Wikipedia for new editors to ask questions about editing Wikipedia, and get support from peers and experienced editors. Please join us! Missvain (talk) 05:25, 15 February 2015 (UTC)[reply]


Petite réflexion philosophique de bas étage mais reflétant bien la société actuelle : "Que d'octets gaspillés pour simplement se faire entendre. La politesse est une valeur qui se perd de nos jours".



Quelle ambiance délètère sur Wikipéda en français! Je le ferai savoir un de ces jours. La politesse, certains ne connaissent pas. Provocations pour arriver à leurs fins! Les administrateurs de Wikipédia ne reculent vraiment devant rien. Finalement, sur Wikipédia en français, je dis : "Vive les vandales".


Blocage sur la Wikipédia francophone.[edit]

Please, don't revert immediately this message. It's very important. You can revert this message but, before, I would like you to answer on my talk page (in french please). I write you here because I've no choice.


Bonjour Hégésippe Cormier.

Je vous demande de bien me lire même si c'est long et je m'en excuse d'avance, mais je pense que ma situation nécessite des explications détaillées.

Je voudrais que l'on discute sérieusement d'un problème qui mérite réflexion.

Si vous n'êtes pas disponible tout de suite, laissez-moi tout de même une réponse et vous aurez un retour dès que je le pourrai.

Je suis l'IP 89.82.115.106.

Vous m'avez bloqué (blocage B) le 19 janvier pendant un an suite à ma demande de déblocage (blocage A).

Le blocage A a été effectué parce que j'avais demandé des explications concernant la suppression de ma modeste contribution sur l'article René Vautier.

Après avoir analysé posément mes contributions, je me suis rendu compte que j'avais trois torts :

- premièrement, j'ai accusé Habertix d'avoir supprimé ma contribution alors que je n'en avais aucune preuve (j'ai juste vu bêtement que c'est lui qui avait contribué à ma suite et, finalement, peu importe si c'est lui ou non),

- deuxièmement, je ne lui ai pas parlé poliment mais directement sur un ton arrogant et prétentieux,

- enfin, je n'ai pas supposé sa bonne foi (si c'est lui qui a procédé à cette suppression, ce que je ne peux même pas affirmer).

Pour ces trois points, veuillez transmettre toutes mes excuses à Habertix.

Mais si j'ai réagi ainsi, c'est parce que j'étais en colère. En effet, je suis colérique et ce n'est pas facile d'arriver à se maîtriser devant un écran face à ce qu'on estime, peut-être à tort, être une injustice.

Habertix aurait pu m'avertir, me dire de me calmer et proposer un dialogue plutôt que de me réverter et me bloquer. Cela m'a mis en colère car je n'avais toujours pas la réponse à ma question, et je me suis emporté.

D'ailleurs, j'en profite pour reposer cette question : pourquoi ma modification sur l'article René Vautier, le 5 janvier 2015 à 1h55, a-t-elle été supprimée? Ce n'était qu'une simple Wikification. Je ne comprends pas. Si j'avais fait une bêtise, il fallait (et faut toujours) me le dire, mais je me demande bien quelle faute il peut y avoir à wikifier le mot "français". En procédant ainsi, je finis par croire que vous (quand je dis "vous", cela désigne les administrateurs en général) cachez quelque chose alors que si cela se trouve cela est peut-être dû à un non respect des règles de la part d'un utilisateur ayant contribué avant moi, et se répercutant sur ma modification. Il n'y a peut-être rien d'anormal, peut-être que le règlement a été respecté mais vous vous rendez suspects par vous-mêmes. Il ne faut pas vous étonner si par la suite des gens voient une "théorie du complot" là où il n'y a peut-être rien du tout. [En fait, je connais maintenant la réponse que j'ai vue dans la requête mais j'aimerais que l'on me réponde directement, question de principe - ou caprice si vous voulez -].


Ainsi, je me suis mis en colère, me suis encore plus énervé, ai été encore plus impoli et ai fini par être bloqué (blocage B). J'avais parlé à nouveau de façon impolie à Habertix qui a dû se sentir harcelé et attaqué et, encore une fois, je vous demande de lui transmettre toutes mes plus sincères excuses.

Ensuite, vous n'en êtes pas resté là et avez lancé une requête pour débusquer des faux-nez.

C'est ainsi que vous avez décidé de me bloquer pendant un an.

J'avais déjà eu un problème de ce genre avec deux comptes nommés "Gilles massé" et "Pierre ducon" (sans commentaire). Vous pouvez d'ailleurs le voir sur ma page de discussion d'IP en date du 09 novembre 2014, un utilisateur (...X10 si ma mémoire est bonne - j'ai la flemme de chercher -) m'ayant prodigué des conseils que j'ai essayé de suivre au mieux. Je m'en étais rendu compte en voulant contribuer après eux, mon adresse IP ayant été bloquée automatiquement.

Cela m'avait profondément déprimé et j'avais peur de perdre la confiance de Wikipédia ainsi que celle de mon bailleur. J'en avais parlé sérieusement à ce dernier ainsi qu'à mes colocataires et ils avaient promis de ne plus recommencer.

En fait, visiblement, ils n'en avaient rien fait.

J'avoue que mon bailleur et moi-même avons été aussi surpris que vous après avoir découvert le résultat de la requête. J'avoue que je ne vois pas l'intérêt de faire ce genre de vandalisations.

J'ai bien contribué sous le compte "Levetop" pendant quelques jours (et vous pouvez regarder, il n'a pas fait de vandalisation), mais je n'ai pas créé autant de faux-nez. Et surtout pas 4, 5 ou 6 par jour. Mais je me rends compte maintenant que s'il y a des règles strictes sur Wikipédia, c'est qu'il y a une bonne raison. J'avais créé quelques "faux-nez" parce qu'en fait, ma philosophie, c'était de ne pas m'embêter à retenir un nom d'utilisateur et un mot de passe (j'ai déjà assez de codes à retenir comme cela) pour contribuer une fois de temps en temps. Le jeu n'en valait pas la chandelle. Je ne retenais le mot de passe que quelques secondes pour le confirmer, je tapais un nom d'utilisateur au hasard, je contribuais un peu et on "jette" le compte. L'une des seules fois où j'ai fait un effort pour le nom d'utilisateur, c'est pour le compte "Levetop" parce qu'ayant un peu de temps libre, j'avais prévu de contribuer sur une période de plusieurs jours d'affilée. Apparemment, mes colocs s'en sont aperçus et en ont profité pour "s'amuser" incognito. Bien fait pour moi, je n'avais qu'à respecter les règles. J'ai compris maintenant. Mais on a tous le droit à l'erreur et à une deuxième chance, je pense. A partir de là, difficile de me faire confiance, je reconnais. Comment savoir si, derrière le clavier, c'est moi ou un de mes colocataires? Impossible, je le reconnais, et heureusement d'ailleurs.

Ainsi, cet incident aura eu un point très positif : faire la lumière sur toute cette histoire avant qu'elle ne devienne plus grave (par exemple diffamation de personnalité publique, violation de droits d'auteur, insultes graves, ...). Aussi surprenant que cela vous paraisse, je vous en remercie donc vivement de nous avoir évité de potentielles poursuites judiciaires dont nous n'avions vraiment pas besoin par les temps qui courent.

Suite à tout cela, nous avons pris, mon bailleur et moi, le temps de réfléchir à une solution pérenne à ce grave problème, car, à ce stade, difficile de me faire confiance sur la base d'une parole.

Mon bailleur a acheté un nouvel ordinateur (un gros investissement pour lui d'après ce qu'il m'a dit), qui ne sera utilisé que par mes colocataires mais pas par moi ni mon bailleur (qui n'est de toute manière pas intéressé par Wikipédia). De plus, il a été envisagé d'empêcher la contribution sur Wikipédia par l'intermédiaire de ce nouvel ordinateur, mais je ne sais pas ce qu'il en est. Peu importe de toute manière, s'ils continuent, ils seront bloqués et ne pourront rien faire. Moi, je ne serai plus concerné.

Ainsi, il n'y aura plus que moi qui contribuerai sous cette adresse IP. S'il y a de la vandalisation à partir de cette adresse IP, je n'aurai plus aucune excuse. Mais bien sûr, je n'ai aucune intention d'en faire et je tenterai de rester calme en cas de désaccord (normalement, il n'y a pas de raison qu'il y en ait plus que cela vu ce que je compte faire). Si vous estimez que ce que je fais est de la vandalisation, n'hésitez pas à me le dire et m'expliquer pourquoi c'en est selon vous et je rectifierai le tir. N'hésitez pas à me dire de me calmer voire me bloquer pendant une journée si je m'énerve (difficile de se refaire même avec toute la volonté du monde).


Mais pour renforcer la confiance, je vais faire l'effort d'utiliser un seul compte : celui avec lequel j'écris le présent message. Si j'oublie le mot de passe (peu probable), je crée un nouveau compte et j'indique d'emblée sur la page de discussion que je suis un "faux-nez" du compte précédent. Ainsi, vous pouvez me surveiller à tout moment. Vous pouvez même me nommer un parrain qui sera chargé de me surveiller (et de m'aider aussi au besoin, tant qu'à faire). Ainsi, à moins que j'oublie une donnée, il ne devrait plus y avoir de problème je pense.

Je vous demanderai enfin de faire le ménage sur ma page de discussion d'IP 89.82.115.106 en supprimant au moins les contributions du 19 janvier.

Je voudrais aussi savoir ce qu'il y avait sur ma page utilisateur d'IP (sauf si c'est une violation des droits d'auteurs, de la diffamation d'autrui, ...). Si ce sont des insultes contre moi, ce n'est pas grave, je voudrais savoir tout de même. Et ne vous inquiétez pas, nous n'allons pas nous entre-tuer. Ils sont jeunes, il faut les pardonner maintenant qu'ils sont hors d'état de nuire.

Je présente aussi de la part de mes colocataires vandales (même si en fait, eux n'ont pas l'intention de s'excuser) des excuses sincères envers les contributeurs, administrateurs, ... insultés, diffamés ou je ne sais quoi encore. Il me semble m'en être pris à vous "Hégésippe" ainsi qu'à "Habertix" dans des pages de contestation de statut d'administrateur ou quelque chose comme cela, toujours sous le coup de la colère. Là encore, je m'en excuse (et encore des excuses pour "Habertix"). Enfin, désolé pour tout ce dérangement occasionné. Cela ne se reproduira plus.

Enfin, si cela ne le dérange pas, j'aimerais contacter Lomita afin qu'il me serve d'intermédiaire pour un problème important sur Vikidia. Merci d'avance de votre réflexion sur ce problème.

Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 21:42, 14 February 2015 (UTC)[reply]

Monsieur Cormier, vous pouvez nettoyer votre page mais la moindre des politesses serait de me répondre. Quand quelqu'un pose une question non saugrenue (je pense que c'est le cas ici), on répond. J'ai l'impression d'être un mendiant quémandant des réponses à ses questions. Je ne voudrais pas avoir l'impression de vous harceler, mais je prends sur moi et me retiens de m'énerver. Je vous en conjure, répondez-moi sur ma page de discussion en argumentant. S'il vous faut un peu de temps (pas trop quand même), précisez-le moi sur ma page de discussion et j'attendrai. C'est important car ceci explique en détail le problème (il en va de mon honneur et de ma réputation). De plus, je tiens à ce que vous preniez note des excuses vous concernant et transmettiez à Habertix celles qui lui sont dues et surtout leur justifications. J'ai aussi besoin de contacter Lomita pour régler un problème similaire sur Vikidia. Si vous faites ce que je propose dans mon message, il n'y aura normalement plus de problème. Pour ma réputation, je voudrais que vous débloquiez le compte Levetop qui n'a pas vandalisé, même s'il ne contribuera plus car j'ai oublié le mot de passe. Je compte sur vous pour étudier cela en détail ET ME REPONDRE. Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 03:17, 3 March 2015 (UTC)[reply]


En résumé  :

1) Pourquoi ma modification sur René Vautier le 5 janvier à 1h55 a-t-elle été supprimée? ;

2) Débloquer symboliquement le compte Levetop. ;

3) Je souhaite joindre Lomita pour régler un problème similaire sur Vikidia. ;

4) Transmettre les excuses ad-hoc à Habertix, ... AINSI QUE LES JUSTIFICATIONS CORRESPONDANTES - très important : je ne tiens pas à passer pour celui qui vient s'excuser mielleusement pour tromper le monde -. ;

5) Bloquer l'adresse IP définitivement (mon bail expire à l'été, je ne pense pas le renouveler, l'ordinateur ne sera utilisé désormais que par des étudiants et mon bailleur n'en n'a rien à cirer de Wikipédia). ;

6) M'autoriser à contribuer uniquement sous le présent compte (le seul que vous me laisserez créer). ;

7) Merci de nous avoir évité de potentielles poursuites judiciaires. ;

8) Désormais, je respecterai les règles (je ne peux pas faire autrement de toute façon si vous suivez mes propositions). Je sais que j'aurais dû le faire dès le début, mais je n'aurais jamais imaginé pareille mésaventure (cela m'apprendra à être paresseux). ;

9) Nettoyer la page de discussion d'IP (que je ne pourrai plus jamais toucher si vous appliquez mes propositions). ;

10) Vous pouvez même me nommer un parrain chargé de me surveiller - et éventuellement de m'aider si besoin ou me dire de me calmer si je dérape, ce que je tâcherai d'éviter au maximum - (je serai donc facilement repérable et je n'ai rien à cacher). ;

11) Pour plus de détails, voir ci-dessus.


Je pourrais bien sûr aller contribuer sous une autre IP ni vu ni connu, mais d'une je n'en ai ni le temps ni les moyens, et de deux je tiens à être honnête jusqu'au bout. D'autant plus que ce blocage ne nuit qu'à moi, car rien n'empêche mes colocataires de vandaliser à partir de postes de leur fac (postes publics!!!!!), même si j'ose espérer qu'ils ne le feront pas. Je ne m'inscrirai que lorsque vous vous serez penché sur mon cas, car je ne souhaite pas passer en force, ce serait contre-productif. Enfin, sachez que je ne ferais pas toutes ces démarches si mon intention était de "semer la merde". Beaucoup d'efforts pour une minute de vandalisation, ce ne serait vraiment pas rentable pour personne. N'hésitez pas à montrer ce message à Rifford, Habertix, Esprit Fugace, ... car c'est bien joli de le faire apparaître sur la page "Faux-nez Levetop" (ce qui n'est d'ailleurs pas vrai, je ne vais pas réexpliquer pourquoi), mais si personne n'est mis au courant ni ne se penche sérieusement dessus, cela ne sert à rien.

Je pourrais aussi établir la liste des comptes que j'ai créés en analysant votre liste, mais j'avoue avoir la flemme de le faire et n'avoir pas une excellente mémoire. D'autant plus que ce ne serait que ma parole et que nul ne serait obligé de me croire.

Désolé pour la longueur, mais c'était indispensable. J'espère que vous allez consacrer quelques minutes pour me répondre.

Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 03:17, 3 March 2015 (UTC)[reply]



Très bien, vous ne voulez pas me répondre sur ma page de discussion. J'en prends note.

Vous ne voulez pas qu'on discute du problème, c'est bon, vous avez gagné. Je capitule.

Je ne vais pas me fatiguer davantage à parler à un mur.

Sachez que votre comportement est parfaitement déplorable et je ne manquerai pas de le faire savoir.

Puisque vous continuez à me mépriser, sachez que je vais encourager mes colocataires à aller vandaliser et leur dire d'aller vous harceler sur votre page à partir d'un ordinateur PUBLIC (la la lère!) et que j'en ferai de même dès que j'en aurai l'occasion. Vous pouvez bloquer 89.82.115.106 définitivement (ne soyez pas hypocrite) puisque mon bail expire bientôt et je ne le renouvellerai pas, mon bailleur s'en fichant royalement de Wikipédia et préférant que ses étudiants locataires ne contribuent pas afin d'éviter les poursuites. Vous pouvez donc bannir cette IP fixe sans risque si vous n'êtes pas un lâche.

Voilà, ça y est, vous êtes content? Vous avez obtenu ce que vous vouliez, je viens de donner une légitimation à mon bannissement! Vous pouvez sabrer le champagne (attention à l'abus d'alcool). Voilà, 89.82.115.106 est mort! Hourra! Vous pouvez être fier de vous, monsieur Cormier.

Ce n'est pas grave, je n'en mourrais pas, je contribue ailleurs, là où il n'y a pas de gens obtus d'esprit comme vous, et ne m'en porte que mieux.

Sachez que je n'avais pas l'intention de vandaliser, mais puisque vous vous comportez ainsi, je le ferai dès que j'aurai la possibilité de changer d'ordinateur comme de chemise. Patience, cela viendra (je ne serai pas lâche, je me signalerai). Et ce qu'ont fait mes colocataires (même si je n'ai pas tout regardé - il y certainement aussi des contributions masquées que je ne pourrai jamais voir -) sera de la rigolade à côté de ce que je ferai. Oui, je suis ambitieux, mais votre comportement m'a tellement énervé que je me surpasserai afin de vous nuire au maximum. Patience! Vous avez créé un futur vandale de toutes pièces, vous pouvez être fier de vous (champagne encore une fois!).

J'insiste cependant afin que vous transmettiez mes excuses et leur justification à Habertix (voir plus de détails sur ma page de discussion).

Tant pis pour le reste, puisque vous faites partie d'une secte qui peut faire n'importe quoi sans avoir de compte à rendre à quiconque.

Message à EdJohnston : vous préférez que cela se passe sur Wikipédia en français. Comment voulez-vous que je le fasse si je suis bloqué? Cela vous arrive-t-il parfois de réfléchir au lieu d'écouter vos pulsions dictatoriales? On dirait que cela vous amuse de détruire du contributeur.

Une dernière chose tout de même : nettoyez ma page de discussion d'IP, sinon j'engage des poursuites judiciaires à votre encontre.


Adieu pauvre type, je ferai connaître votre comportement un de ces jours. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 09:45, 12 March 2015 (UTC)




                                     Puisque cet abruti de Cormier refuse d'engager le dialogue,


                                                          GOODBYE!


I have left Wikipedia.


GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE GOODBYE




Please dont revert this message before Esprit Fugace read this.


Blocage sur WP FR[edit]

Bonsoir.

J'ai eu un grave problème sur Wikipédia en français. Je suis bloqué et ne peux donc exposer mon problème qu'ici.

J'ai laissé des messages à Hégésippe Cormier sur sa page de discussion et les ai transférés sur ma page de discussion.

Il a effacé les messages sur sa page sans m'apporter aucune réponse sur ma page de discussion comme je le lui demandais.

Vous pouvez voir tous les détails de l'affaire sur ma page de discussion.

Je vous demande de prendre connaissance de toutes les demandes et de transmettre ce qu'il faut (d'autant plus que vous étiez aussi intervenu sur mon cas à la demande d'autres administrateurs).

Vous pouvez aussi inviter toutes les personnes concernées (Rifford, Starus, Enrevseluj, etc.) à prendre connaissance de ces messages.

Surtout, transmettez les excuses ET LEUR JUSTIFICATION à Habertix, c'est important pour mon honneur.

Voilà, je vous demande d'examiner ces demandes à titre honorifique car le comportement de cormier (je ne lui mets pas de majuscule, il ne le mérite pas) m'a dégoûté de revenir contribuer à Wikipédia.

Aujourd'hui, je me suis énervé comme vous pouvez le voir (massage d'aujourd'hui visible sur ma page de discussion) et ai décidé d'abandonner la bataille (marre de parler à un sourd). Mais je tiens à régler les problèmes avant de partir.

Désolé pour le dérangement.

Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 02:22, 13 March 2015 (UTC)


Message à supprimer APRèS lecture[edit]

Bonsoir.

J'ai transféré le message sur ma page de discussion. Pourquoi refusez-vous de me répondre vous aussi? Moi, lorsque j'étais petit, l'on m'a appris un principe sacré nommé "politesse". Cela n'existe apparemment plus (je suis pourtant plus jeune qu'Hégésippe). Je suis désespéré de voir cela. Effacez ce message, mais venez me répondre sur MA page de discussion. Je n'aime pas répéter cent fois les mêmes choses quand une seule fois suffirait. Je ne reviendrai plus, mais j'en prendrai note si vous ne me répondez pas. Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 20:09, 13 March 2015 (UTC)


Réponse d'Esprit Fugace[edit]

Bonsoir,

Moins de 24h avant de venir sur ma page de discussion, vous avez laissé en commentaire de modification "PLACE AU VANDALE DANS UN TEMPS PROCHAIN". Quand j'étais moins petite, on m'a appris un principe moins sacré mais plus efficace que la politesse : action implique conséquence. Vous agissez en vandale ou menacez de le faire : vous êtes traité comme tel.

N'essayez même plus de me contacter. Esprit Fugace (talk) 20:46, 13 March 2015 (UTC)[reply]


Mais bien sûr, c'est cela! Foutez-vous de moi! La coalition des administrateurs a obtenu ce qu'elle voulait : m'énerver afin d'avoir un prétexte pour m'éjecter (je l'ai d'ailleurs mentionné dans mon message à Hégésippe). Je m'en doutais. Bande d'hypocrites! Ne me prenez au moins pas pour un imbécile car je n'apprécie guère cela. Ayez l'honnêteté de dire que vous avez obtenu ce que vous cherchiez et dites-moi que je suis tombé dans le panneau comme l'idiot pour lequel vous cherchez à me faire passer. Adieu bande de dictateurs. Quelle mauvaise foi! En tous cas, cela m'encourage davantage à inciter les vandales à vandaliser et à le faire moi-même dans quelques mois ou années, dès que j'en aurai l'occasion. Vivement l'abolition du système des administrateurs. Une idée que je vais aller proposer à Wikibuster et autres. Quand on dit que ce sont toujours les voyous (ici mes colocataires) qui s'en tirent les cuisses propres et les victimes qui trinquent voire sont traitées comme des coupables, en voici l'illustration parfaite. Je me vengerai un de ces jours, dans quelques années, directement ou par l'intermédiaire d'un ami (peut-être qu'en me comportement en voyou - dur quand on n'y est pas habitué, mais je ferai un effort -, j'aurais des chances d'être respecté et non méprisé comme actuellement). Sous diverses IP, je me ferai passer pour faux-nez d'Hégésippe Cormier, d'Esprit Fugace, ... et ferai des "âneries subtiles". Cormier, Esprit Fugace, ... seront discrédités, tenteront de se justifier et seront traités comme de la me... comme je le suis aujourd'hui (si les administrateurs sont honnêtes, mais j'ose espérer qu'entre temps, Wikibuster et les autres auront gagné leur combat). Ils verront à quel point c'est agréable et juste (ironie). Conclusion : soyez voyou en toutes circonstances, cela rapporte davantage. Pitoyable. Pauvre monde.

En tous cas, vous m'avez répondu contrairement à Hégésippe. Cela, je suis forcé de le reconnaître et vous en remercie.


Très bien, pour moi, tout ceci est réglé. Adieu les dictateurs. Je ne reviendrai que quand ce système aura été amélioré et que les abus auront été sanctionnés et seront contrôlés. En attendant, je "fais des stocks".




For Lomita

Important[edit]

J'ai transféré sur ma page de discussion un message très important que je vous ai adressé. Cordialement. Charles-Edouard de la Pannerie de la Villardière de Mardricourt (talk) 19:54, 13 March 2015 (UTC)


FOR LOMITA (VERY IMPORTANT)


Problème[edit]

Bonsoir Lomita.

Sur ma page de discussion, vous pouvez voir le grave problème que j'ai eu sur Wikipédia; problème dont j'ai tenté de parler à Hégésippe qui préfère faire la sourde oreille. Tant pis, je viens d'abdiquer. Prenez-en connaissance pour comprendre ce que je vais vous dire par la suite (désolé pour la longueur). Vous pouvez vous en mêler si vous voulez, mais il n'y a aucune obligation. C'est vous qui voyez.

Le but de mon message est de vous dire que j'ai eu un problème similaire sur Vikidia : là aussi, mes colocataires ont hélas fait des leurs.

Ne connaissant que vous (et Nosfer'atu) qui contribuez à la fois sur Wikipédia (en français) et sur Vikidia, même s'il y en a certainement d'autres, je voulais m'adresser à vous afin que vous me serviez de médiateur suite à mon problème sur Wikipédia dont je parle ci-avant.

J'avais bien conscience que ce n'est pas le lieu pour faire ce genre de requête (comme c'est aussi le cas ici, d'ailleurs), mais, étant bloqué sur la Wikipédia française, je n'ai pas le choix.

Cela n'a pas plu à Nosferatu qui m'a bloqué (le compte s'appelait "Valentin Lerond").

Je n'étais pas décidé à en rester là et suis revenu le lendemain avec un compte nommé "Valentin Lecarré", ayant choisi un tel nom car je n'avais rien à cacher (ce que Fraf a pris pour du "foutage de gueule" - peut-être préfère-t-il les traîtres qu'on ne repère pas? -).

Je voulais absolument avoir un moyen de vous contacter pour la raison mentionnée ci-dessus et ne savais pas que vous étiez ici aussi (pour tout vous dire, c'est seulement maintenant que j'ai eu la curiosité de vérifier et de constater avec joie que vous y êtes, ce qui simplifie grandement les choses pour moi).

Un utilisateur, Arsendis, a alors déposé un message sur ma page me disant que "Vikidia n'est pas une tribune ..." (je ne me souviens plus de la formulation exacte, mais cela voulait dire ce que je viens de mentionner ci-dessus, que ce n'est pas le lieu pour faire ce genre de requête), ce dont j'avais parfaitement conscience, mais je n'avais d'autre choix.

N'obtenant pas de réponse, j'ai alors insisté et déposé des messages sur les pages d'autres utilisateurs en espérant avoir une réponse. Arsendis a fini par me répondre. Il fallait que j'aille sur IRC pour vous contacter (je ne l'ai finalement pas fait car je n'y suis pas parvenu). Je n'ai hélas pas eu le temps de la remercier et lui dire de "faire le ménage" sur sa page si elle voulait (pas parce que j'avais quelque chose à cacher mais parce que c'était "hors sujet") avant de partir, ni de faire le ménage sur les autres pages utilisateur. En effet, Fraf est arrivé et m'a accusé de harcèlement, troll,...

J'ai été bloqué et banni, puis menacé de poursuites judiciaires.

Apparemment, si j'en crois les formulations de Fraf, "je" vous aurais insulté. Si c'est le cas, je m'en excuse au nom de mes colocataires, envers vous et les éventuelles autres victimes.

Bon, je pense que vous avez compris le problème, c'est la même chose que sur Wikipédia (c'est d'ailleurs ce problème qui a entraîné le second). Je pense qu'il est inutile de détailler davantage, mais si je me trompe, dites-le moi sur ma page de discussion.

En réfléchissant, j'ai commis quelques maladresses, il est vrai, en "harcelant" sans réaliser que l'utilisateur n'était pas derrière son clavier 24h/24 et en m'énervant un peu. Mais on a tous le droit à l'erreur et c'est difficile de lutter contre un caractère qu'on a depuis 30 ans.

Voici ce que je voudrais pour faire court :

- que tous ceux qui auraient été insultés par mes colocataires sous l'IP 89.82.115.106 prennent connaissance des excuses que je leur destine au nom de mes colocataires (vous en faites apparemment partie)

- que Fraf prenne connaissance du problème;

- que je sois "blanchi" symboliquement même si je ne reviendrai plus contribuer sur Vikidia;

- que Fraf annule sa poursuite judiciaire (le plus important) car ceci est ridicule : même si mes colocataires vandales ont menacé quelqu'un de mort, comment voulez-vous qu'ils passent à l'action contre quelqu'un dont ils ne connaissent ni nom réel, ni adresse, ni quoi que ce soit, dont ils n'ont pas de photo, ... Contre les Kouachi ou Coulibaly potentiels, c'est le laxisme total mais contre des étudiants à peine majeurs (pas encore pour l'un d'entre eux!), là on sort l'artillerie lourde!!! N'importe quoi;

- enfin, que Fraf masque mon adresse IP de la liste des blocages, sinon je porte plainte pour violation de la vie privée (tant qu'à faire dans le ridicule, puisqu'il veut jouer aux poursuites judiciaires, on sera deux).

Voilà, j'espère que vous allez étudier mon cas. Désolé pour le dérangement. C'est mon premier et dernier message que je vous adresse ici. Moi, je vais d'ailleurs disparaître. Une fois que vous aurez pris connaissance de ce message, vous pourrez l'effacer mais merci d'aller essayer de régler le problème et éventuellement de me répondre (ce serait mieux tout de même).

Merci aussi de transmettre mes excuses ET LEUR JUSTIFICATION (voir ci-dessus) à Habertix (sur Wikipédia en français). Cordialement.

Au revoir.



PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME PERIME



Tant pis, on était prévenu. Apparemment, Lomita ne passe pas souvent par ici. Poignardé dans le dos par mes colocataires, méprisé par Hégésippe, vilipendé par Esprit Fugace et poursuivi par Fraf, ainsi s'achève pour moi ce triste feuilleton.





A PARTIR D'ICI : ESPACE DE TRAVAIL ENCORE VALABLE




Brouillons à travailler (mise en forme) et destinés à Wikipédia en anglais (après traduction) un de ces jours[edit]

1) ETIENNE ROMANO


Étienne Romano[edit]

Étienne Romano, né le 15 décembre 1889 à Aubagne (Bouches-du-Rhône)[1] et mort le 19 février 1966 (à 76 ans) à Aups (Var)[2],[3], et inhumé au cimetière du Grand Jas à Cannes [3], est un ingénieur français.


Biographie[edit]

Il passe 8 ans à la SNCASE, de 1929 à 1937.

D'origine marseillaise, ayant réalisé et fait voler son premier prototype en 1910, il vient sur la côte, attiré par l'École de pilotage d'hydravions de Paulhan, à Golfe-Juan, et crée les Ateliers de la Croisette, rue Pasteur à Cannes, pour y fabriquer bateaux et hydravions.

Ces ateliers, jugés insuffisants pour une construction aéronautique par les Services Officiels, Étienne Romano s'installe à La Bocca en bordure de l'aérodrome de Cannes-Mandelieu. L'usine ayant alors 9000 m2 voit la réalisation jusqu'en 1940 de 10 prototypes, certains utilisés par l'Armée de l'air et la Marine nationale, dont le R.80, Avion-école d'acrobatie devenu le R.82, chasseur réalisé à 180 exemplaires[4].


Les débuts[edit]

La condition modeste de ses parents ne lui permet pas d'aller au-delà du certificat d'études primaires, lui qui rêvait de devenir officier de marine. Il décide en octobre 1911 de voyager avec son frère unique, André, au sein de cirques en Algérie, en tant que musicien. Précoce titulaire d'un permis de conduire les "automobiles à moteur à pétrole", il se retrouve au Biskra Auto-Palace comme chauffeur pour des excursions dans le Sahara[5].

Féru de mécanique, il s'associe à un grand fabricant de poupées en porcelaine de Levallois-Perret, installant la Maison Vautier & Romano à Neuilly. Mais il ne tarde pas à voler de ses propres ailes, avec un atelier E. Romano Construction Mécanique au 23, rue St Paul.


La Première Guerre mondiale[edit]

Volontaire à la déclaration de Guerre en 1914, Étienne Romano est mobilisé au 4e régiment d'Infanterie coloniale à Toulon, puis devient chauffeur pour le contre-espionnage anglais[6].

Le 8 juin 1916, il est détaché par le Ministère de l'Armement et des Fabrications de Guerre, en tant que directeur technique de son usine de Neuilly.

Il est démobilisé en juillet 1919.


Cannes[edit]

Ayant été impliqué dans plusieurs entreprises à Cannes, on ne retrace, ci-après, que celles ayant construit des aéronefs.

Ayant perdu cinq frères et sœurs, suite à des affections pulmonaires, Étienne Romano est quelque peu effrayé lorsque son fils Jean échappe de justesse vers 1920 à une broncho-pneumonie. Il décide dès lors de rejoindre son frère André à Cannes, où ce dernier est associé à Louis Rival dans un commerce d'import-export en bois de construction, la Société ARMA (André Romano Matériaux et Agrumes), rue Pasteur (ex. rue Sainte-Trinité), près de la mer[5].

Féru de mécanique, et à une époque où les choses de l'air passionnent, Étienne Romano, qui dispose alors des meilleurs bois de Roumanie et de Yougoslavie, se trouve tout naturellement conduit à créer les Chantiers Aéronavals de la Méditerranée.

En août 1921, il propose - déjà ! - de combattre les incendies de forêts à l'aide d'hydravions pour la reconnaissance et le largage d'eau ; sa lettre étant cosignée par le célèbre pilote local Auguste Maïcon, agent Caudron à Nice.


Chantiers de Constructions Navales Navis[edit]

Étienne Romano et Joseph Vidal créent, le 18 mars 1921, les Chantiers de Constructions Navales Navis - "Constructions et Armements maritimes" avec un siège social rue du 14 juillet à Cannes[7], transféré plus tard au 4 quai Saint-Pierre[8]. Les quatre administrateurs sont : - André Romano, directeur des Etablissements Vautier et Romano, demeurant à Cannes ; - Etienne Romano, industriel, demeurant à Paris ; - Lucien Benjamin-Vautier, industriel, demeurant à Paris; - Joseph-Marius Vidal, industriel, demeurant au Cannet.

Le premier aéroplane de la nouvelle société est l'hydravion école triplace R.I[9], à moteur Clerget, de 130 CV, étudié par l'ingénieur parisien Gaspard. Son originalité réside dans une coque facilement démontable via quatre boulons, brevetée le 29 novembre 1921. En quatre mois, deux ingénieurs et une vingtaine d'ouvrières et ouvriers fabriquent le prototype chez Rival[5],[10].

Auguste Maïcon le fait voler le 22 janvier 1922. S'élançant devant le casino municipal, il est chronométré entre la Pointe de la Croisette et la baie de Cannes. En confiance, Maïcon vire serré à gauche devant la nouvelle jetée ouest. Le flotteur bâbord touche, provoquant le passage sur le dos de l'hydravion, dont une aile se brise, Maïcon regagnant le rivage à la nage. Remorqué sur le quai du Môle, le R.I est rapidement réparé et sa coque très améliorée sur le plan hydrodynamique[11].

Dès le 12 avril, on le retrouve en vol, afin de préparer la Croisière Marseille-Monaco et retour, où Maïcon est engagé en première catégorie (on ne connaît pas son résultat)[12].

Romano débute alors des négociations avec la Marine pour créer une école de pilotage d'hydravions, dans le cadre des Chantiers de Constructions Navales Navis.


Romano Frères[edit]

Le 27 décembre 1923, Étienne Romano crée à Paris avec son frère André et avec Jeanne Cavillat, veuve Planque, une société en commandite simple, dont il reçoit la gérance[11].

Le 12 février 1925, par un nouvel acte sous seing privé, les associés décident d'étendre leurs activités et fixent le siège de la société à Cannes, sous la raison sociale "Romano Frères". L'apport de chacun passe à 50 000 Francs pour Étienne et la veuve Planque et à 100 000 pour André Romano. La société cesse de s'occuper de l'industrie du bois, le 1er avril 1925 et prend pour objet : toutes les opérations commerciales et industrielles se rattachant à la construction navale et aéronavale ou au commerce d'automobile.

La société est dissoute en octobre 1931[13].


Les Chantiers navals de la Croisette[edit]

Les difficultés des Chantiers navals Paul Bosquain en 1924, au 124 boulevard de la Croisette, offrent à Romano l'occasion de prendre son indépendance. Avec l'aide de plusieurs banques, il peut racheter les 6.000 m² correspondants et un slip de mise à l'eau. Il crée sur place les Chantiers Navals de la Croisette - E. Romano & Cie, et un bureau d'études avec ingénieurs de l'aéronautique et architectes navals. Un total de 60 à 80 personnes sont employées, essentiellement des charpentiers de marine[5].

Des bateaux sont construits : hydroplanettes à moteur amovible de course et de plaisance pour les colonies, 5 m plats, vedettes de remorquage d'hydravions, stars, petits yachts et voiliers de 6 m de jauge internationale. Du gardiennage et des réparations navales sont également effectués. Il y a un bureau à Paris, au 138, boulevard Péreire.

En 1926, Étienne Romano loue une partie de hangar, à titre de concession précaire, à la base d'hydravions d'Antibes, appartenant au constructeur Lioré et Olivier, pour y entreprendre la construction de nouveaux hydravions[11]. Sous la direction d'Albert Waldmann, deux hydravions à flotteurs, de même formule, sont réalisés en bois et toile :

- un nouveau biplace R.3[9], à moteur Hispano HS8A de 180 ch, permet d'étudier la forme des coques, grâce à un flotteur principal central amovible. Après un premier vol avec Macheny vers 1927, six types de flotteurs sont essayés, avant livraison en février 1928 à la Commission d'Études Pratiques de l'Aéronautique de la Marine (CEPA) à Saint-Raphaël;

- le biplace R.4, à moteur Salmson 9A de 230 ch, est proposé au concours des hydravions de reconnaissance catapultables, remporté par le CAMS 37 et le Gourdou-L3. Bien que réussi, il ne peut en effet être retenu, au vu du manque de moyens de production de son promoteur, et est livré à la CEPA fin juin 1927. Mais dès le 2 novembre, les mâts avant de fixation du flotteur principal cèdent, et l'hélice entaille ce dernier. Ayant capoté, le R.4 est réformé.

Vie privée[edit]

Le 18 février 1927, Étienne Romano épouse la champenoise Jeanne Charlotte Cavillat, veuve Planque, dont il aura un fils unique, Jean.


Chantier naval d'Antibes[edit]

Projet de Chantier Romano au port d'Antibes[edit]

Le 22 juillet 1929, Étienne Romano crée la société Chantier naval d'Antibes (SA) avec :

- l'apport du matériel de son Chantier naval Romano, créé le 10 décembre 1927 ;

- un apport de capitaux de la société Anglo-Française Auniac-Guinness.

André Auniac en devient le PDG. Le siège social est situé au 4 quai de la Jetée, au port d'Antibes, et comprend un magasin d'accastillage au 4 quai Saint-Pierre à Cannes[17].

Chantiers aéronavals Étienne Romano[edit]

Devenu trop à l'étroit sur la Croisette, Étienne Romano crée, le 16 août 1929, la SA des Chantiers aéronavals Étienne Romano (CAER), une usine d'aéronefs, Avions et Hydravions, sur la commune de Cannes, quartier de La Bocca. Article principal : Chantiers aéronavals Étienne Romano.


L'après aéronautique[edit]

Après la nationalisation de son entreprise en 1936 au sein de la SNCASE, Étienne Romano produit encore un chasseur naval R.90, un bimoteur multi-missions R.110 et un bombardier léger R.120, avant de claquer la porte[5].

Il continue alors ses activités navales au Chantier naval d'Antibes et entre en Résistance dans le réseau Mithridate.

Ayant de solides amitiés latines (il avait soutenu un révolutionnaire d’Amérique Centrale), il s’expatrie au Mexique, où il fabrique de la fibre de bananier, avant de revenir au pays.


Activités politiques[edit]

Conseiller municipal de Cannes[edit]

Étienne Romano est élu conseiller municipal de Cannes le 10 janvier 1932, sur la liste du Comité Démocratique et Groupe Économique (Union des Gauches)[19]. Le maire élu est Jean Gazagnaire, médecin.

Maire d'Aups[edit]

Étienne Romano est élu maire d’Aups (Var) 1959[2].

C’est là qu’il s’éteint le 19 juin 1966. (juin ou février?)


Distinctions[edit]

Étienne Romano est promu chevalier de la Légion d'honneur le 14 mars 1932[20],[21] et officier le 28 décembre 1953 [22]. Pour son activité primordiale au profit de l'économie de la ville de Cannes, le rond-point sur la route du bord de mer, proche de l'établissement, a été baptisé : Étienne Romano[23].


Notes et références[edit]

↑ Extrait d'acte de naissance

↑ 3,0 et 3,1 Marcel Couchot, « L’établissement de Cannes - Les histoires des origines - Romano & Romano », 2010, en cours de publication

↑ Un peu d'histoire, dans aerospatiale 06, N° 1, octobre 1982, en ligne sur le site CASP

↑ 5,0, 5,1, 5,2, 5,3 et 5,4 Philippe Jung, Histoires extraordinaires : l'Établissement aerospatiale de Cannes, Édition Cannes Aéro Spatial Patrimoine, décembre 2011, 18 pages, en ligne

↑ 6,0 et 6,1 Archives communales de la ville de Cannes, Demeures anciennes et beaux jardins, Direction des Actions de Promotion et des Relations publiques de la ville de Cannes, avril 2005, 238 pages, (ISBN 2-9520745-4-2)

↑ Le Littoral 17 avril 1921

↑ Voir cette adresse actuellement sur Street View

↑ 9,0 et 9,1 Les Romano R1 et R3 sur le Site web "Ailes Anciennes Azuréennes"

↑ Dans les années 2000, des membres de l'association "Ailes anciennes azuréennes" en construisent une maquette

↑ 11,0, 11,1 et 11,2 Jean Bernard-Lacroix, Hélène Cavalié, Cent ans d'aviation dans les Alpes-Maritimes, Édition Conseil général des Alpes-Maritimes & Silvana Editoriale Spa, octobre 2011, 240 pages

↑ Il n'y a pas de trace d'un R.II, mais l'analyse du brevet de 1921 montre une extension du concept d'interchangeabilité au niveau d'un l'appareil complet, pouvant être utilisé indifféremment en avion ou en hydravion : le train d'atterrissage devait être remplacé par un flotteur central et deux ballonnets en bout d'ailes. Cette machine, très proche du R.I, fut donc probablement le R.II, non réalisé.

↑ Le Littoral 4 octobre 1931

↑ Cette villa est à cheval entre la Croisette et l'avenue de Lérins; elle peut être citée sur l'une de ces deux voies lors des divers recensements ou annuaires

↑ Il la revendra à l'actrice Viviane Romance, puis démolie en 1963, remplacée par un immeuble : la résidence Le Romance, face au petit port du Yacht Club.

↑ Le Littoral, 5 décembre 1920, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Dossier 1336w1076 Chantier naval d'Antibes aux archives départementales des Alpes-Maritimes

↑ Archives de la ville de Cannes

↑ Le Littoral, 10 avril 1932, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Voir Les Ailes, 24 mars 1932

http://www.culture.gouv.fr/LH/LH220/PG/FRDAFAN84_O19800035v1196498.htm Base Léonore]

↑ Le rond-point Etienne Romano sur Google Maps.


Annexes[edit]

Bibliographie[edit]

Pierre Marchal, « Cannes retrouve ses origines », dans Aerospatiale 06, N° 53, juin 1987

Jean Bernard-Lacroix, Hélène Cavalié, Cent ans d'aviation dans les Alpes-Maritimes, Édition Conseil général des Alpes-Maritimes & Silvana Editoriale Spa, octobre 2011, 240 pages

Philippe Jung, Histoires extraordinaires : l'Établissement aerospatiale de Cannes, Édition Cannes Aéro Spatial Patrimoine, décembre 2011, 18 pages, en ligne

Marcel Couchot, « L’établissement de Cannes - Les histoires des origines - Romano & Romano », 2011, en cours d'édition

Nelly Nussbaum, « Cannes : Étienne Romano, un génie de l'aéronautique », dans Nice-Matin, rubrique Histoire Gens d'ici, 3 novembre 2013, en ligne sur CASP

Œuvre commune sous la direction de Marie-Hélène Cainaud, responsable des Archives municipales de Cannes, Un siècle de vie cannoise 1850-1950, Edition ville de Cannes, Cannes, 2014, 404 pages, (ISBN 978-2-9162-6134-8).


Articles connexes[edit]

Chantiers aéronavals Étienne Romano

Aéroport de Cannes-Mandelieu

Aéronefs Romano

André Auniac.


Liens externes[edit]

Statuts de la Société anonyme NAVIS (début) et (fin) Étienne Romano et Marius-Joseph Vidal

Statuts de la Société CAER (début) (fin) Administrateurs : Compagnie Algérienne, Étienne Romano et André Auniac

Les Chantiers de Constructions Maritimes Paul Bosquain

Étienne Romano sur le site aaazureennes.chez.com.


Source : Caspwiki.



Catégorie:Ingénieur français

Catégorie:Ingénieur aéronautique

Catégorie:Naissance en décembre 1889

Catégorie:Naissance dans les Bouches-du-Rhône

Catégorie:Naissance à Aubagne

Catégorie:Décès en février 1966

Catégorie:Décès dans le Var

Catégorie:Décès à Aups

Catégorie:Décès à 76 ans


2) ANDRE AUNIAC ET GEORGES AUNIAC

André Auniac[edit]

André Auniac (né le 14 juin 1890 à Bellegarde, Loiret[4],[5] et mort le 13 mai 1961 (à 70 ans) à Cannes où il est inhumé) est un homme d'affaires français. Il est le premier Président de l'entreprise Chantiers aéronavals Étienne Romano, entreprise qui deviendra plus tard le Centre spatial de Cannes Mandelieu, 1er constructeur européen de satellites.


Biographie[edit]

Débuts et vie privée[edit]

En 1908, il part découvrir l'Egypte où il exerce le métier de journaliste dans un quotidien cairote avant de prendre un poste à la Bibliothèque de la capitale égyptienne. A son retour en 1913, il rejoint sa famille à Cannes et, jusqu’à son service militaire, y exerce la profession de publiciste.

Le 19 mai 1916, il épouse à Cannes, en premières noces, Maria Matheline Lebard dite "Mathurine" (née à Cannes, le 8 octobre 1880), fille d'un ancien conseiller municipal de Cannes.

Le 23 février 1940, il épouse en secondes noces, à Senlis (Oise), Claire Colonna Leca, née le 7 juillet 1905, à Cannes[7].

Georges Auniac[edit]

Il avait un fils unique, Georges Auniac, né à Cannes le 21 septembre 1918, mort le 24 mai 1966 (à 47 ans), et inhumé à Cannes.

Ce dernier effectue son service militaire de 1938 à 1942, dans les chasseurs alpins[16] (comme son père), puis dans la RAF[17] en Angleterre pendant le début de la Seconde Guerre mondiale.

Après sa démobilisation, il entre comme directeur-administratif au Chantier naval d'Antibes.

En 1961, après le décès de son père, il devient PDG du chantier naval d'Antibes.


Militaire[edit]

Il effectue son service militaire en avril 1913 dans les Chasseurs alpins, avec le grade de caporal[16].

Il est mobilisé au front lors de la Première Guerre mondiale où il fera 26 mois de guerre, puis, blessé, il sera réformé à 55% en mars 1917[30].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, il aura un rôle actif dans la Résistance[33], groupe MAX (Chiapello, d'Antibes)


Activités[edit]

Agence Havas de Cannes[edit]

En 1920, André Auniac est directeur de l'agence Havas de Cannes[22].

Agence de Tourisme Automobile et Maritime sur la Côte d'Azur[edit]

En 1920, il est administrateur délégué de la Société Anonyme dite Agence de Tourisme Automobile et Maritime sur la Côte d'Azur (ATAMCA), sise 3 square Mérimée à Cannes[34].

Agence Auniac[edit]

En 1922, Auniac ouvre une Agence Auniac au 3 square Mérimée, où il va traiter diverses affaires, dont un cabinet d'assurances nommé La Paternelle[10].

Lors de son départ à Paris, en 1930, elle se transforme en Gérance immobilière et financière (GIF), administrée par son beau-frère Humbert Savoye, transférée au 4 quai Saint-Pierre en 1938[19].

Société Auniac, Lépinay & Cie - Société de transports automobiles de la ville de Cannes[edit]

Le 15 novembre 1923, André Auniac, commerçant et Jean Lépinay, entrepreneur de transports, créent la société AUNIAC, LEPINAY & Cie - Société de transport automobiles de la ville de Cannes, au capital de 100 000 francs, avec pour objet la mise en service et l'exploitation de transport public par autobus dans l'arrondissement de Grasse[35]. Le siège social est fixé à Cannes, 130 route de Grasse[36].

Ce moyen de transport est surtout créé pour faciliter la liaison Cannes - Grasse, alors que le bord de mer entre Cannes et Mandelieu est assuré par des tramways depuis longtemps[37]. Une "guerre" s'ensuit entre les deux compagnies, tranchée par la Ville de Cannes au cours de réunions en mairie en novembre suivant avec tous les partenaires et corporations intéressés par ces moyens de transport. Elles sont relatés avec saveur dans le journal local Le Littoral du 30 novembre 1924[38].

Société Cannes-Riviera[edit]

En 1924, André Auniac est administrateur-gérant de la société Cannes-Riviera, sise au 21 quai Saint-Pierre[39] ; il en démissionne le 2 avril 1929[28].

Société Anglo-Française[edit]

Article détaillé : Famille Guinness.

C'est en 1924, lors de manifestations nautiques, qu'André Auniac fait la connaissance, au Cercle nautique de la Croisette (CNC), de Benjamin Solomon Guinness avec qui il va devenir très ami. Ils vont partager cette passion commune de la voile, participant à de nombreuses régates dans la région sur leurs voiliers respectifs : "Enchanteur", un 8m JI[40] pour André Auniac et Tanis[41], un 6m JI pour Benjamin Guinness[42].

Le 11 février 1926, il s'associent tous deux créant la société Anglo-Française, au capital de 100 000 Francs, dont le siège est à Paris, 18-20 place de la Madeleine, avec un bureau à Cannes, 3 square Mérimée. André Auniac en devient le Président Directeur Général[43]. Elle aura des participations dans la Société Cannes Balnéaire, la société Champagne Ayala[44], la Société des Chantiers aéronavals Étienne Romano, le Chantier naval d'Antibes, la Société de l'aéroport de Cannes-Côte d'Azur, la Compagnie Aéronautique du Centre, le Vendémiaire, Paris-Soir, la société du Haras de Piencourt-Bailleul[45], la Société Calypso, Victory Films Arthur Rank René Clair, Société Anonyme Industrielle d’Alimentation (SAIS) à Reims dite « Les Economiques de Reims » en quelque sorte l’ancêtre du supermarché[46].

Le 12 avril 1929, le capital est fortement augmenté passant de 100 000 Frs à 2 000 000 Frs. Un coadministrateur est nommé : Marc Neil[47].

Il est fort probable que cette augmentation est destinée à financer l'usine Romano[48], à lire l'écho du journal Écoutez-moi[49] de 1934 au titre racoleur "Rule Britannia".

Le 19 avril 1930, le capital de la société est porté à 8 000 000 Francs par émission de 56 000 actions de cent francs chacune[50].

Le 6 juillet 1934, les statuts de la société sont modifiés pour étendre le champ de ses activités[51].

Fin 1935, la Compagnie Aéronautique du Centre (CAC), dépendant du groupe anglo-français Guinness-Auniac, achète une usine située à Porchefontaine dans la banlieue de Versailles et la met à disposition de la Société Régnier pour y construire des moteurs d'avions[52].

En octobre 1937, le bureau cannois de la société est transféré du square Mérimée au 14 rue Vénizelos[53].

En 1940, lors de l'arrivée des Allemands à Paris, André Auniac résilie le bail de son appartement place de la Madeleine à Paris et transfère le siège de la société dans son appartement au 4 rue Saint-Honoré à Cannes.

C'est cette même société qui va s'impliquer en 1949 dans le financement de la Calypso du commandant Jacques-Yves Cousteau et la production du film « Le Monde du Silence », co-réalisé par Louis Malle et J-Y Cousteau, qui recevra en 1951 la Palme d’Or au Festival International du Film de Cannes.

Comité des Bains de Mer de Cannes[edit]

Le 10 novembre 1926, André Auniac est élu au conseil d'administration du Comité des Bains de Mer de Cannes. Il y restera jusqu'en 1930 et son départ à Paris. Il y relance l'idée de la création d'un casino d'été à la pointe Croisette[19].

Société du Casino d'été : le Palm Beach[edit]

En 1926, le Syndical des copropriétaires de la Croisette confie à André Auniac le soin de créer la société du Casino d'été à la pointe de la Croisette[54], avec Henry Rhul[55].

Il va s'investir fortement dans ce projet de "plus beau casino d'Europe, en quelque sorte, le phare étincelant de Cannes, visible de la Tête de Chien au Cap Gamarat" pour le faire aboutir malgré une opposition farouche d'habitants du quartier de la pointe Croisette[56]. L’architecte est son ami Roger Séassal[57].

Un hommage lui est rendu lors de la pose de la première pierre le 16 février 1928 par le maire André Capron, le plaçant "parmi le palmarès des promoteurs de l'idée de ceux qui ont mérité de voir leurs noms inscrits sur cet établissement"[58]. La gestion en est confiée[59] à Henry Rhul et François André[60]. Il aura ensuite l'occasion de l'utiliser pour des soirées de gala du Centre nautique de la Croisette où son nom est cité dans la presse à des tables d'honneur au côté des plus hautes personnalités nationales et étrangères.

Club nautique de la Croisette[edit]

En janvier 1927, André Auniac est élu président[61] du Club nautique de la Croisette[62] et devient secrétaire général du comité des régates internationales de Cannes en février de la même année[63].

Il aura les honneurs de la presse pendant les régates royales de février 1930, lors d'un déjeuner intime avec le roi du Danemark[64].

Lors de l'assemblée générale de 1939, il est nommé président d'honneur à vie du Club[65].

International Yacht Club de Cannes[edit]

En novembre 1928, André Auniac est nommé administrateur du tout nouveau International Yacht Club de Cannes[66],[67]. Le vice-président en est Benjamin Guinness[68].

Les ports de Cannes[edit]

André Auniac se révèle, dans les années 1928], comme un ardent défenseur des ports de Cannes, non seulement le Vieux-Port historique mais également les ports à l'Est de la baie : le port du Palm Beach (dit du Yacht Club), accolé à la pointe de la Croisette et le port du Mouré Rouge[19].

Dans un éditorial à la une du journal "Le Littoral", il s'insurge contre la volonté de la chambre de commerce de Nice de prendre la gestion du Vieux-Port de Cannes, et en fustige toutes les nuisances à venir pour le secteur du quai Saint-Pierre[69]. Un mois plus tard, il publie une tribune dans le même journal, tentant de démonter les arguments de la CCI[70].

Le 8 avril suivant, "Le Littoral", publie un courrier qu'il a envoyé au ministre des Travaux publics, ainsi que des réponses faites par les représentants de la CCI[71]. La CCI lui répond, par presse interposée, le 22 avril suivant, "louant son désir de maintenir un beau port pour les magnifiques yachts, au détriment du commerce se développant dans les ports de nombreuses autres villes françaises"[72]. Sa réponse ne se fait pas attendre : elle est publiée sous sa signature le 29 avril, réclamant la réunion d'une commission de concertation[73].

Malheureusement, le journal local ne publie pas la suite de ce feuilleton, ni le site officiel de la ville de Cannes[74]. Force est de constater au XXIe siècle, que la CCI a eu raison de ce duel puisque le port de Cannes est géré par elle ; mais en ayant probablement tenu compte du combat mené par André Auniac, car on n'y voit pas de cargos polluants, mais plutôt tous types de navires de plaisance, y compris des paquebots de croisière.


Chantier naval d'Antibes[edit]

Le 22 juillet 1929, Étienne Romano crée la société Chantier naval d'Antibes (SA) avec :

- l'apport du matériel de son Chantier naval Romano, créé le 10 décembre 1927 ; - un apport de capitaux de la société Anglo-Française.

André Auniac en devient le PDG. Le siège social est situé au 4 quai de la Jetée, au port d'Antibes, et comprend un magasin d'accastillage au 4 quai Saint-Pierre à Cannes[75].

Son fils Georges l'y rejoint après la Guerre et devient directeur-administratif, puis PDG après le décès de son père en 1961, poste qu'il occupe jusqu'à son décès en 1966.


Chantiers aéronavals Étienne Romano[edit]

Les Chantiers aéronavals Étienne Romano sont créés le 16 août 1929.

André Auniac est un des membres fondateurs[77] et le président du Conseil d'administration[78],[13].

Lors de la nationalisation de l'usine en 1937, André Auniac, devient un des vice-présidents de la SNCASE[79].


Maison du tourisme de Cannes[edit]

Dans les années 1930, André Auniac dirige la Maison du tourisme, sise 3 square Mérimée à Cannes.


Société anonyme de constructions aéronavales[edit]

En 1930, il crée une nouvelle Société anonyme des constructions aéronavales (SACA), au capital de 7 500 000 Francs, au 18-20 place de la Madeleine à Paris, où se trouve son domicile, avec deux annexes :

- un chantier naval à La-Bocca qui sera transféré par la suite au Chantier naval d'Antibes en 1939 ;

- un magasin de fournitures générales pour la Marine, un shipchandler tenu par son beau-frère, Humbert Savoye au 4 quai Saint-Pierre, Cannes, siège également des CAER[80].

Cette société, sous la direction d'Henri Rambaud, architecte naval, va notamment construire des vedettes pour la Marine nationale avec un carnet de commande de 11 navires en 1939 au début de la seconde Guerre mondiale.

Après l'Armistice, elle est appelée à travailler pour les Italiens, à partir de novembre 1942, puis les Allemands après leur invasion de la zone sud[81].

André Auniac refuse notamment les contrats d’armements - dont la construction de lance-torpilles - mais accepte la construction de petits bateaux et ne parvenant à honorer que quelques livraisons. En revanche, grâce aux embauches de personnel suite à ces commandes, il va permettre d’éviter autant de départs vers l’Allemagne nazie dans le cadre du Service du travail obligatoire (STO).


Société de transports aériens rapides[edit]

En 1930, Auniac est aussi l'agent de la Société de transports aériens rapides dans son agence Auniac du 3 square Mérimée, dans la Société de l'aéroport de Cannes-Côte d'Azur.

Le 30 août 1931, il crée la société anonyme de l'aéroport de Cannes-Côte d'Azur au capital d'un million de francs avec un conseil d'administration comptant notamment le banquier cannois Sauvan et l'industriel Étienne Romano[82]. Il en est élu président[78].


Aéro-club de Cannes[edit]

En 1937, il est président de l'aéro-club de Cannes[30],[83].


Autres activités hors de Cannes[edit]

André Auniac est administrateur d'un certain nombre d'autres sociétés hors de Cannes :

- les Haras de Piencourt-Bailleul[84],

- les champagnes Ayala, à Aÿ[85],

- la société Anonyme Industrielle d’Alimentation (SAIS) à Reims dite « Les Economiques de Reims ».

Dans les années d'après-guerre, il entretient des relations avec plusieurs personnalités, dont l'architecte Roger Séassal[57], son ami depuis la construction du casino d'été de Cannes et des militaires comme l'amiral Henry Nomy[86]et l'aviateur Pierre Clostermann[87] qui, après la Guerre, devient industriel de l'aéronautique dans la région de Reims[88], reprenant l'usine de Max Holste[89].


Épilogue de la Seconde Guerre mondiale[edit]

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, en novembre 1944, se sont produites des campagnes d'épuration dramatiques. André Auniac va la subir sur dénonciation calomnieuse de quelques ouvriers de son entreprise Chantier naval d'Antibes[90].

Leur principale accusation, auprès du Comité de Libération d'Antibes, porte sur le fait d'avoir poussé le chantier à travailler pour la marine allemande, dès l'Armistice[91] - et donc sur incitation de l'État français du régime de Vichy -, alors que les armées allemandes n'étaient pas encore arrivée sur la Méditerranée.

Le 3 octobre 1944, ils le font arrêter à son domicile, au Cannet et entament immédiatement une procédure de destitution de son poste de PDG du chantier naval. Mais grâce aux appuis des autorités locales, dont le préfet des Alpes-Maritimes, il est libéré dès le lendemain dans l'attente d'une convocation devant le Comité d'épuration départemental.

Le 10 octobre, il écrit au Président du Comité d'épuration d'Antibes pour se justifier, mettant en exergue son rôle dans la Résistance dans l'Équipe "Roger-Claude-Max" (D. Chiapello, "Monsieur Max")[92] et ses actions au chantier pour essayer d'éviter des départs du personnel en STO[93],[94], voire même à cacher des Juifs[95] ce qui lui vaudra de nombreux témoignages, après la Guerre, le remerciant de ses actions.

Le 26 décembre, à la veille de comparaître devant le Comité département d’Épuration, il produit un document justificatif beaucoup plus complet[31]. Il sort du tribunal complètement blanchi, aucune accusation ne figure aux archives judiciaires. Il peut alors reprendre ses activités.


Notes et références[edit]

↑ Voir le site officiel des Régates royales de Cannes

↑ Les régates du Roi, dans Le Littoral, 2 février 1930, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ 4,0, 4,1, 4,2, 4,3, 4,4, 4,5, 4,6, 4,7, 4,8 et 4,9 Actes d'état-civil trouvés sur Internet ou confiés à l'association par Viviane Auniac-Larra ; ils sont archivés à l'association

↑ 5,0 et 5,1 Acte de naissance d'André Auniac

↑ 6,0, 6,1 et 6,2 Informations recueillies par Guy Lebègue de Viviane Auniac-Larra, belle-fille d'André Auniac, voir référence bibliographique

↑ Celle-ci décède à Paris en 2000 et est avec inhumée à Cannes dans le même caveau que son époux

↑ Acte de décès d'André Auniac

↑ André Auniac, personnalité inhumée au cimetière du Grand Jas

↑ 10,0, 10,1 et 10,2

↑ Voir archives ville de Cannes

↑ 13,0 et 13,1 Œuvre commune sous la direction de Marie-Hélène Cainaud, responsable des Archives municipales de Cannes, Un siècle de vie cannoise 1850-1950, Edition ville de Cannes, Cannes, 2014, 404 pages, (ISBN 978-2-9162-6134-8)

↑ Le personnel de la Calypso

↑ Sera renommée rue Georges Clémenceau après la Première Guerre mondiale

↑ 19,0, 19,1, 19,2, 19,3, 19,4 et 19,5 Documentation consultée aux archives municipales de Cannes

↑ Archives communales de la ville de Cannes, Demeures anciennes et beaux jardins, Direction des Actions de Promotion et des Relations publiques de la ville de Cannes, avril 2005, 238 pages, (ISBN 2-9520745-4-2)

↑ Cette villa est à cheval entre la Croisette et l'avenue de Lérins; elle peut être citée sur l'une de ces deux voies lors des divers recensements ou annuaires ; Auniac l'a achetée à un amiral Foret

↑ 22,0 et 22,1 Le Littoral, 5 décembre 1920, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ qui la revendra à l'actrice Viviane Romance, puis démolie en 1963, remplacée par un immeuble : la résidence Le Romance, face au petit port du Yacht Club

↑ Histoire de l'hôtel Majestic

↑ Archives CG06 - Recensement population : 1926 Cannes Page 484 Feuille 958

↑ La villa face au port du Mouré Rouge est à cheval entre le Bd Eugène Gazagnaire et la rue de la Fourcade ; elle peut être citée dans les divers annuaires sur une voie ou l'autre

↑ 28,0 et 28,1 Le Littoral, 14 avril 1929, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Recensement de Cannes de 1931, voir page 182

↑ 30,0, 30,1 et 30,2 Archives départementales 06, dossier 1M573

↑ 31,0, 31,1 et 31,2 Justification d'André Auniac devant le tribunal d'Épuration départemental, 26 décembre 1944

↑ Voir Le Littoral du 15 juin 1939

↑ Le Littoral, 15 février 1920, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Littoral, 6 janvier 1924, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Ce n'est peut-être pas par hasard si cette villa est voisine de l'habitation de Sylvestre Auniac, frère d'André, arrivé dans les années 1914 à Cannes, sculpteur de renommée encensé par la presse lors des salons des Beaux-Arts de Cannes ; lequel Sylvestre fait partie également du syndicat d'initiative au côté de son frère André

↑ Le Littoral, 30 novembre 1924, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Immeuble dans lequel il réside.

↑ Prénom de sa fille

↑ Le Littoral, 25 août 1929, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Voir Le Littoral du dimanche 7 mars 1926

↑ Voir sur le site Scriponet

↑ Voir Haras de Piencourt sur le site scriponet

↑ Voir le site www.scriponet.com

↑ Voir le Le Littoral illustré du 12 mai 1929

↑ Aviation magazine international: Numéros 915 à 920

↑ C'était probablement le Canard enchaîné de l'époque

↑ Voir Le Journal de Cannes, du 27 janvier 1931

↑ Voir le Littoral illustré du 29 juillet 1934

↑ Patrick Bessas, Les établissements Régnier, archives CASP

↑ Voir Littoral illustré du 30 octobre 1937

↑ Le Littoral, 19 décembre 1926, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Henry Rhul (1882-1955) est un homme d'affaires britannique important des années 1920, impliqué principalement dans l'hôtellerie. Il va créer de nombreux hôtels en France, dont l'hôtel Rhul sur la promenade des Anglais à Nice, et s'implique dans la construction de palaces à Cannes : le Majestic et le Carlton. La ville de Cannes a baptisé une rue en son honneur.

↑ Le Littoral, 3 juillet 1927, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Littoral, 19 févier 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Palm Beach sur le site officiel de la ville de Cannes

↑ Le Littoral, 30 janvier 1927, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Voir le site web du Club nautique de la Croisette

↑ Le Littoral, 6 février 1927, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Déjeuner en l'honneur du Roi, dans Le Littoral du 16 février 1930

↑ Le Littoral illustré, 26 janvier 1939

↑ Site web du Yacht Club de Cannes

↑ Journal de la Marine, 3 novembre 1928, en ligne

↑ Echos du Littoral illustré du 11 novembre 1928

↑ Le Littoral, 25 mars 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ André Auniac, « La gestion du port de Cannes », dans Le Littoral, 1er avril 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Littoral, 8 avril 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Littoral, 22 avril 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le Littoral, 22 avril 1928, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ Le "vieux" port de Cannes archives de la ville

↑ Dossier 1336w1076 Chantier naval d'Antibes aux archives départementales des Alpes-Maritimes

↑ Le Sylva d'André et Georges Auniac

↑ Le Littoral, 18 août 1929, en ligne archivesjournaux.ville-cannes.fr

↑ 78,0 et 78,1 Philippe Jung, « L'aéroport de Cannes - Saint-Cassien, de la mer aux étoiles », conférence 14 juin 2008, butte Saint-Cassien, Cannes, lire le texte intégral de la conférence et en ligne archives CASP

↑ Aviation magazine international: Issues 915-920

↑ Le Littoral illustré du 3 juin 1943

↑ André Auniac, « La Société anonyme de Constructions aéronavales », description de l'entreprise pour le Comité d'épuration, 26 décembre 1944, Archives départementales 06 - dossier 171w50 Épuration industrielle, en ligne

↑ 82,0 et 82,1 Jean Bernard-Lacroix, Hélène Cavalié, Cent ans d'aviation dans les Alpes-Maritimes, Édition Conseil général des Alpes-Maritimes & Silvana Editoriale Spa, octobre 2011, 240 pages

↑ Voir le site web de l'aéro-club

↑ Voir Haras de Piencourt-Bailleul sur le web

↑ Voir le site web des champagnes Alaya

↑ Voir l'histoire d'Henry Nomy sur le site officiel de la ville de Saint-Raphaël

↑ Reims, ville déjà citée pour y voir des activités d'André Auniac, s'étant peut-être impliqué dans ces rapprochements Clostermann - Holste, niçois, dans ces années 1950

↑ Archives départementales 06 - dossier 171w50

↑ Voir témoignage de D. Chiapello pour le tribunal, 12 décembre 1944

↑ Liste d'employés du chantier naval d'Antibes ayant échappé au STO

↑ Courrier d'André Auniac au président du Comité d’Épuration d'Antibes en date du 10 octobre 1944.


Annexes[edit]

Bibliographie[edit]

Guy Lebègue (CASP), Viviane Auniac-Larra, Entretien avec Viviane Auniac-Larra, Édition Cannes Aéro Spatial Patrimoine, juillet 2011, 9 pages, en ligne

Jean Bernard-Lacroix, Hélène Cavalié, Cent ans d'aviation dans les Alpes-Maritimes, Édition Conseil général des Alpes-Maritimes & Silvana Editoriale Spa, octobre 2011, 240 pages

Joseph Jourdan, « Recherche aux archives cannoises », Édition Cannes Aéro Spatial Patrimoine, mai 2014, en ligne.

Œuvre commune sous la direction de Marie-Hélène Cainaud, responsable des Archives municipales de Cannes, Un siècle de vie cannoise 1850-1950, Edition ville de Cannes, Cannes, 2014, 404 pages, (ISBN 978-2-9162-6134-8).


Articles connexes[edit]

Cannes

Étienne Romano

Famille Guinness

Chantiers aéronavals Étienne Romano

Aéroport de Cannes-Mandelieu

Chantier naval d'Antibes.


Références externes[edit]

Entretien avec Jacques-Yves Cousteau : Aide financière d'André Auniac, Le courrier de l'UNESCO, novembre 1991, en ligne.


Source : Caspwiki.



Catégorie:Homme d'affaires français

Catégorie:Naissance en juin 1890

Catégorie:Naissance dans le Loiret

Catégorie:Décès en mai 1961

Catégorie:Décès à Cannes

Catégorie:Décès à 70 ans


3) LOUIS MARNAY

Louis Marnay[edit]

Louis Marnay, né le 5 février 1911 à Béziers et mort le 31 janvier 1985 (à 73 ans), était un ingénieur français.


Biographie[edit]

Il dirige l'usine de Cannes de 1939 à 1976.


Source : Caspwiki.



Catégorie:Ingénieur français

Catégorie:Naissance en février 1911

Catégorie:Naissance à Béziers

Catégorie:Décès en janvier 1985

Catégorie:Lieu de décès inconnu

Catégorie:Décès à 73 ans



4) AUGUSTE MAICON

Auguste Maïcon[edit]

Auguste Maïcon, né le 3 décembre 1891 à Villefranche-sur-Mer et mort à Saint-Raphaël le 17 août 1974 (à 82 ans), était un aviateur français.


Biographie[edit]

Pionnier de l'aviation, Maïcon obtient le 695e brevet de pilote, le 3 novembre 1911, à l'âge de 20 ans. Installé à Nice, il donne le baptême de l'air aux personnalités du « tout Côte d'Azur ». Il atteint surtout à la notoriété par ses exploits spectaculaires : survol du festin des Cougourdons (25 mars 1912), remontée de la vallée du Paillon (juin 1912), passage sous le pont transbordeur de Marseille (6 décembre 1912), survol nocturne du Carnaval au-dessus de la place Masséna (24 janvier 1913). De 1914 à 1916, il sert dans une escadrille de reconnaissance, puis il est pilote d'essai pour la firme Caudron. De retour à Nice, il fonde une compagnie aérienne, la Compagnie méditerranéenne de transports, qui assure la desserte des principales villes de la Côte d'Azur. Il remporte de nombreux succès dans les meetings aériens et il reprend ses exploits dont le plus connu est le passage acrobatique sous une arche du pont du var (24 août 1919). Maïcon, s'orientant ensuite vers le cinéma, réalise quelques petits films et se spécialise dans les truquages : grâce aux moteurs d'avion, il peut produire à volonté vagues et tempêtes. En 1927, il achète les hangars de la Californie et y aménage un studio de prises de vues.


Source : Ralph SCHOR.



Catégorie:Aviateur français

Catégorie:Naissance en décembre 1891

Catégorie:Naissance à Villefranche-sur-Mer

Catégorie:Décès en août 1974

Catégorie:Décès à Saint-Raphaël

Catégorie:Décès à 82 ans



5) PIERRE LEMOIGNE

Pierre Lemoigne[edit]

Pierre-Marcel Lemoigne, born 10 april 1898 in Argentan and died 20 march 1985 (at 86), was a french pilot.


Biography[edit]

Il est l'inventeur du parachute ascensionnel.


Source : Caspwiki.








6) ANDRE PUGET

André Puget[edit]

André Puget, born 29 january 1911 in Nantes and died in Suresnes 26 january 1973 (at 61), was a french general.


Biography[edit]

Source : Caspwiki.







7) DENIS MAUGARS

Denis Maugars[edit]

Denis Maugars, born 11 may 1956 in Paris (16e) and died 8 august 2013 (at 57), was a french engineer.


Biography[edit]

Formation[edit]

Denis Maugars is :

- diplômé de l’École polytechnique (promotion 75),

- ingénieur en chef du corps des Mines.

Carrière[edit]

Il débute sa carrière en 1982 à la Direction régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement (DRIRE) Rhône-Alpes, en charge des questions industrielles.

Il rejoint le ministère de l’Industrie en 1984, puis la direction du Budget en 1986.

Il entre au ministère le l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR) en 1993, en tant que directeur adjoint de cabinet de François Fillon.

Aérospatiale[edit]

En 1995, Denis Maugars devient directeur des Opérations et Services de la division Espace d’aerospatiale et intègre l'établissement de Cannes.

Alcatel Space[edit]

En 1998, lors de la reprise d'Aérospatiale Satellites par Alcatel Space, Denis Maugars est nommé directeur Multimédia au sein d’Alcatel Space Industries, où il contribue à l’essor des services internet par satellite et des applications associées.

ONERA[edit]

Il est nommé en Conseil des ministres, le 23 avril 2003, Président Directeur Général de l’ONERA.

Autres activités[edit]

Denis Maugars va être par ailleurs dans le domaine de l'Astronautique, administrateur du CNES, de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (ISAE), du centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (CERFACS).

Notes et références[edit]

↑ Généalogie de Denis Maugars

↑ Nécrologie sur le site de l'ONERA


Source : Caspwiki.








8) FRANCOIS BOULIC

François Boulic[edit]

François Boulic, born 24 march 1889 in Riec-sur-Belon and died in Mandelieu 20 août 1937 (at 48), was a french pilot.


Biography[edit]

He is a famous test pilot of Établissement Romano for six years.

Formation[edit]

Élève studieux et intelligent de l'école de son pays, François Boulic s'engage très jeune dans la marine où il devient vite Maître principal[5].

War 1914-1918[edit]

During the war, François Boulic became pilot of hydravion in 1916 et montre déjà de brillantes qualités de pilote pour son sang-froid et sa rapidité de décisions en attaquant un sous-marin brusquement découvert dans la brume; ce fait lui vaut la Médaille militaire.

Aviation maritime[edit]

Après la guerre, il reste dans l'aviation maritime[7] au Centre de Saint-Raphaël, avec pour mission les contre-réceptions des appareils Romano. C'est là que les dirigeants de l'entreprise le remarquent et se l'attachent quand il quitte le service en 1931[4].

Parcours dans l'entreprise Romano[edit]

Chantiers aéronavals Étienne Romano[edit]

En 1931, François Boulic est embauché aux Chantiers aéronavals Étienne Romano en tant que pilote d'essai des hydravions. Il va effectuer les essais et la mise au point des hydravions catapultables R-4, du R-5 de grand reconnaissance, du R-90, appareil de bombardement en piqué, du R-15, appareil terrestre trimoteur de tourisma et, enfin, du R-80, appareil terrestre d'acrobatie.

L'essai continuel, souvent dangereux des prototypes lui vaut l'admiration de tous; patrons et ouvriers.

SNCASE - Usine de Cannes[edit]

Le 1er février 1937, les Chantiers aéronavals Étienne Romano sont nationalisés et intégrés dans la Société nationale des constructions aéronautiques du sud-est (SNCASE). L'établissement devient SNCASE - Usine de Cannes.

François Boulic continue son activité de pilote d'essai.

Activités péri-professionnelles[edit]

Lors de la création de l'Aviation Populaire[8], François Boulic est le pilote-moniteur choisi. II se donne de toute son âme à ses jeunes élèves et à cette grande idée. En moins d'un an il totalise plus de 300 heures de vol qui s'ajoutent aux 3 000 qu'il a déjà à son actif. Sur son livre de vol, on lit plus de 2 500 atterrissages[5].


Accident mortel[edit]

François Boulic décède le 20 août 1937 à 11h30, lors d'un accident d'avion sur l'aérodrome de Cannes Mandelieu, un avion militaire entrant en collision au moment de son atterrissage avec son avion du Club des Ailes-d'Azur[9] (Aviation populaire de Cannes)[10].


Distinctions[edit]

François Boulic est titulaire de :

- la Médaille militaire,

- la Croix de guerre 1914-1918 avec citation, le 9 mars 1918,

- la Légion d'honneur, le 18 juin 1929, en tant que pilote êprouvè, ayant plus de 300 heures de vol à son actif.


Cité à l'ordre de la Nation[edit]

Par ailleurs, lors de son décès, François Boulic est cité à l’ordre de la Nation par Pierre Cot, ministre de l'Air[11] :

« Le Gouvernement de la République cite à l'ordre de la Nation M. François Boulic, chevalier de la Légion d'honneur, titulaire de la Médaille Militaire et de la Croix de Guerre ».

« Excellent pilote d'essais, plein d'enthousiasme, qui eut une belle conduite pendant la guerre. Après sa démobilisation, contribua à la mise au point de nombreux prototypes. Moniteur de la section d'aviation populaire "Les Ailes d'Azur", a travaillé de la façon la plus heureuse à répandre le goût des idées aériennes dans la jeunesse. Par son zèle, par son allant, par la propagande active qu'il n'a cessé de poursuivre, a rendu de signalés services à a cause de l'aviation ».


Notes et références[edit]

↑ Avec pour prénoms François, Marie, Auguste, relevés sur tables décénales départementales par Michel Calvy, généalogiste. On ne sait pourquoi il est prénommé "Roger" dans certains médias;

↑ « A l'aérodrome de Cannes-St-Cassien : au moment d'atterrir, un avion militaire heurte un avion civil - Le chef pilote de ce dernier, Roger Boulic, meurt sur le coup », dans Le Petit Niçois, 21 août 1937, consulter page 1;

↑ 4,0, 4,1 et 4,2 « Le terrible accident de Cannes - L'avion militaire heurta de sa roue droite le plan gauche de l'appareil de Boulic », dans Le Petit Niçois, 21 août 1937, consulter page 5;

↑ 5,0, 5,1 et 5,2 « Décès de François Boulic », dans Le Littoral illustré, 29 août 1937, en ligne sur le site www.archivesjournaux.ville-cannes.fr;

↑ « Hier à Cannes - Les obsèques de Roger Boulic ont donné lieu à une imposante manifestation de sympathie », dans Le Petit Niçois, 24 août 1937, consuter page 7;

↑ L’aviation populaire des années 1930 en France;

↑ en ligne sur archivesjournaux.ville-cannes.fr;

↑ « La mort d'un aviateur breton », dans Ouest-Eclair, édition du Morbihan, 5 septembre 1937, copie en ligne sur le site de CASP;

↑ « Boulic est cité à l'ordre de la nation », dans Le Petit Niçois, 22 août 1937, consulter page 6.


Annexes[edit]

Bibliographie[edit]

« Décès de François Boulic », dans Le Littoral illustré, 29 août 1937, en ligne sur le site www.archivesjournaux.ville-cannes.fr</ref>

« La mort d'un aviateur breton », dans Ouest-Eclair, édition du Morbihan, 5 septembre 1937, Copie en ligne sur le site de CASP


Articles connexes[edit]

Pilote d'essai

Chantiers aéronavals Étienne Romano


Source : Caspwiki.









9) PIERRE USUNIER

Pierre Usunier[edit]

Pierre Usunier, born 6 june 1921 in Nancy and died in Boulogne-Billancourt 29 april 2010 (at 88), was a french engineer.


Biography[edit]

Source : Caspwiki.









10) ROGER CHEVALIER

Roger Chevalier[edit]

Roger Chevalier, born 3 may 1922 in Marseille and died 16 august 2011 (at 89), was a french spatial engineer.


Biography[edit]

Source : Caspwiki.







Blocage de ton ancienne IP (89.82.115.106)[edit]

Bonjour François.

C'est Daniel (tu te souviens de moi j'espère?).

Je t'informe que je suis en train de régler les problèmes semés par tes colocataires l'an dernier, notamment la menace de poursuites judiciaires sur Vikidia et la demande de mise au point sur Wikipédia concernant le blocage, ce dernier expirant mardi prochain. Sur ma page de discussion, je suis en train d'élaborer les messages que je vais adresser aux différents protagonistes. Je sais bien que tu ne veux plus entendre parler de "ces bandits", comme tu les appelles, en particulier d'Hégésippe Cormier et d'Esprit Fugace, mais si tu vois ce message à temps et que tu veux rajouter quelque chose, n'hésite pas à venir m'en parler. Si tu le vois trop tard ou que tu n'as rien à rajouter (ou ne veux rien rajouter), tu peux le supprimer.

Bonne continuation à toi pour ton travail. Cordialement. Danielenne (talk) 04:42, 15 January 2016 (UTC)[reply]